la chute d'asgardia (SUJET COMMUN - OUVERT A TOUS)

la chute d'asgardia
sujet commun - ouvert à tous

« …vous m’ent… » La radio grésille. La sueur perle son front, roule jusqu’à ses joues. « Est-ce que vous m’entend… » Elle maudit le seul moyen de communication qui relie son peuple au reste des survivants. Rien ne marche comme elle le veut. « HYDRA… frontières ! Je répè… HYDRA à nos front… » Le grésillement cesse. Elle sait que ce n’est pas une bonne nouvelle. Un bruit derrière elle l’alarme. Sa main lâche la radio, elle a le souffle court. Son cerveau comprend. Elle se retourne lentement. L’hydre a passé les frontières. L’hydre vient de pénétrer dans l’enceinte d’Asgardia. Et l’asgardienne, elle jette un coup d’œil derrière l’agent qui lui fait face. Ses frères et ses sœurs ont sorti les armes. Ses frères et ses sœurs se battent. Les cris fusent. Elle voit son monde s’effondrer au fur et à mesure des corps asgardiens qui touchent le sol. Son cœur se remplit de désespoir. C’est fini pour eux. Elle reporte son attention sur l’agent. Dans sa main droite, il tient encore le câble arraché. Celui qui était un atout particulier pour communiquer avec les autres, du monde en bas. Elle ne comprend pas. Elle ne comprend pas comment ils en sont arrivés là. Elle réfléchit, mais son esprit est brouillé par la confusion. Elle ne comprend que lorsqu’elle repose les yeux derrière le soldat d’HYDRA. Quelques visages familiers, des compagnons d’armes pour certains, des infirmiers, des sourires et des rires, de l’amitié, de la complicité : ils ont été trompés. Ils ont été trahis. Ses yeux rencontrent ceux des alliés qui deviennent des ennemis, et ils seraient presque désolés. Mais ça ne compte pas, pour elle. Plus rien ne compte. L’agent relâche le câble comme il enverrait balader sa veste à l’autre bout de la pièce, et il s’approche dangereusement. Elle veut lutter, mais à quoi bon ? Il l’agrippe. Elle n’a même plus le temps de réagir, que sa conscience s’éteint petit à petit. Elle est partie.

« Hail HYDRA. »

Désormais, elle fait partie des leurs.

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HYDRA envahit Asgardia. Ils ont réussi à la pénétrer grâce à des inhumains – agents doubles – recueillis à la cité, qui ont su correctement les renseigner. Un appel est passé jusqu’au Triskélion, malgré quelques coupures. Lorsque Fury a pris l’initiative de leur répondre, ils n’ont plus rien reçu. Asgardia lutte encore, mais il leur faut un coup de main. L’annonce est diffusée, et tous les volontaires partent aussitôt prêter main forte à la cité. New York City n’est pas encore attaquée. Vous aurez moyen de revenir, dans quelques heures IRP et dans une semaine IRL, à NYC si vous désirez participer à ce sujet commun. Vous avez la possibilité, en attendant mercredi prochain, de participer à ce sujet.

précisions
- La possibilité de faire mourir son personnage ne s’appliquera qu’au sujet commun basé à New York City.
- Aucune limite de mots. Faites avancer au maximum.
- L’issue de ce sujet commun est déjà décidée, et impactera le contexte.
- Dialogues en français.
- Vous êtes libres de poster autant de fois que vous le souhaitez, une fois comme de participer tout le long du sujet commun.
- Vous pouvez discuter du sujet commun dans le sujet flood adéquat.

If You're Disappointed Or Lost Something, Don't Stay In That Situation For Long. Be Like Hydra Which Has Never Die Attitude. When It Loses One Part of It's Body, It Reproduces Again. So, Transform Your Pain To A New Birth. ( music ) -- sujet commun

Tu croises les bras contre ton torse. Sous ton nez, posé sur le rebord du plan de travail, se présente ton téléphone portable. Tu lis et relis le message, plusieurs fois. Tes sourcils se froncent. Le danger est là. Le danger a frappé. Tes neurones s’activent, et tes yeux se dégagent de la carcasse électrique. Tu croises le regard de Jennifer, et l’expression de son visage te confirme qu’elle a lu exactement la même chose que toi. Comme tout le monde dehors, sûrement. « Je peux pas. » Elle t’a rien demandé, mais tu sens le poids de sa potentielle question sur toi. Puis tu soupires. « Je peux pas. » Tu répètes en te grattant l’arrière du crâne. Elle t’a toujours rien demandé. Mais tu t’adresses davantage à ta propre personne plutôt qu’à ton amie. T’es tiraillé, au fond. Tu peux pas, parce qu’on a besoin de toi. Parce-que tu ne peux pas t’empêcher de porter le poids du monde sur tes épaules. Tu as toujours été comme ça. Susan l’était, elle aussi. Tu tournes les yeux, et tu les poses sur les visages familiers qui travaillent, eux aussi, un peu plus loin dans la pièce. Ils sont occupés sur de petits composants, cahiers griffonnés de noir sous les yeux, le nez dans leurs recherches. Tu peux pas les laisser. T’essayes de te persuader que tu as pris ta décision, mais pourtant. Oh, pourtant.

Tes pieds, qui écrasent déjà le sol à cause de ta grande hauteur, prennent appui pour que tu puisses décoller tes fesses du tabouret sur lequel tu trônais depuis six heures ce matin. Tu te détournes de l’atelier et, les bras croisés dans le dos, tu t’approches de la large baie qui offre une vue sur la ville. Tu détailles les quelques personnes que tu arrives à distinguer un tant soit peu nettement. Certains autres ont lu le message, se questionnent aussi. Certains se sont vite décidés, appelés par le devoir et la justice, dirigés vers le Triskélion. Tu peux pas ? Bien sûr que tu peux. Elle souffle. C’est dans ta tête, mais tu entends sa voix. La voix familière d’une tête blonde qui ne cesse de hanter ton esprit. Elle, qui a disparu pour toujours. Tu as l’impression de sentir sa présence derrière toi, mais peut-être que tu deviens tout simplement fou. Ton état mental s’est énormément dégradé depuis l’A-Day, bien plus que tu ne pourrais l’imaginer, et tu ne t’attardes jamais dessus. Pour toi, ces hallucinations sont quotidiennes. Banales. Peut-être un peu trop. Elle te convainc, pourtant. Tu as passé deux années à te balader dans le vide. Tu pensais faire les bonnes actions, les bonnes choses. Mais ton chemin n’a été parsemé que de mauvais choix. Si tu avais su, oh si tu avais su. Tu aurais profité d’elle avant qu’elle ne périsse, au lieu de la laisser de côté en pensant que les choses étaient acquises. Karma.

Les minutes s’écoulent, et tu finis par glisser sur tes talons pour, cette fois-ci, être dos à la vitre. Tes yeux se posent une nouvelle fois sur Jennifer, puis ensuite sur les autres membres de la Future Foundation. Tu croises les yeux de Marvin, devenu un allié indispensable, et il te sourit. Un sourire sincère qui te réconforte. Ils peuvent se débrouiller sans toi. Bien sûr que tu peux. Tu t’avances jusqu’au plan de travail, tu attrapes ton téléphone – que tu glisses machinalement dans la poche arrière de ton pantalon – et tu souffles. « Hey, Walters. Je ne risque pas d’être beaucoup présent, les prochains jours. » Tu admets. Elle ne t’a toujours rien demandé, mais tu admets. Il semblerait que toi aussi, tu ne puisses pas lutter contre l’envie de venir en aide à autrui. Tu cherches à te racheter. à te racheter pour tous les mauvais choix que tu as pu faire jusqu’ici. Tu en as besoin. Tu le sens. Et elle, Susan. Elle a su te convaincre. Fantôme du passé qui hante ton esprit. « Je pars pour Asgardia. »

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résumé
- reed hésite, mais il prend la décision de se rendre à asgardia.
- jennifer incluse dans ma réponse avec l'accord de la joueuse.
- accord à @jennifer walters d'inclure reed dans son post jusqu'à leur arrivée sur asgardia.

it's like an avalanche, i feel myself go under cause the weight of it's like hands around my neck. i never stood a chance, my heart is frozen over, and i feel like i am treading on thin ice. ( music ) -- tc commun asgardia

l’alerte vient de tomber. tes sourcils se froncent tandis que l’appelle du devoir semble plus fort que tout. ils ont besoin d’aide, tu n’as pas besoin d’effectuer une plaidoirie dans ton esprit pour savoir si oui ou non, tu irais. tu aimerais qu’ils vous viennent en aide si besoin était, alors ça paraît presque logique que de ton côté, tu te rendrais jusqu’à asgardia pour les défendre. ils ont déjà tout perdu, ils peuvent pas perdre cet endroit. ton regard vert se tourne vers le brun à ta droite tandis que son murmure parviens à tes oreilles. tu te pinces les lèvres, sentant le dilemme face auquel il fait face. ta décision est prise de ton côté, tu iras t’battre pour défendre la liberté d’asgardia. autrefois, tu te battais pour la liberté de ceux qui avaient été accusé injustement par le système juridique américain, coupable jusqu’à preuve de l’innocence. c’est dans tes valeurs, dans les sermons que tu avais passé envers ta nation qui autrefois se basait sur des principes que tu défendais. alors tu irais, tu te battrais quitte à y laisser la vie comme tu l’avais tant fait. tu partais avec un certain avantage, peau pare-balle, force décuplés et toute autre chose qui ne pouvait que te permettre de réussir à aider asgardia. peut-être une force minime par rapport aux forces d’hydra mais tout de même essentielles. tu laisserais reed faire le choix qu’il voulait, tu ne lui en tiendrais certainement pas rigueur même si tu sais que susan l’aurait probablement accompagnée dans la défense de ceux dans l’besoin. mais tu dis rien. libre à lui de faire ce qu’il veut.

tu baisses de nouveau ton notepad, comme pour t’assurer que tu n’as rien perdu de vue avant de finalement le poser sur le plan de travail lorsque la voix de reed parvient à tes oreilles. tu te retournes pour lui faire de nouveau face tandis que tu assimiles ses paroles, ce petit sourire en coin naissant lorsqu’il évoque son départ pour asgardia. — je sais. tu dis, d’un ton des plus bienveillant. — j’attendais juste que tu ai fini de débattre avec toi même. ton sourire s’élargie alors que tu tires sur l’élastique qui retient ta chevelure brune, laissant tout ce qui pouvait être encombrant ici. tu retires ta veste de tailleurs pour la poser sur le dossier de la chaise et observer le brun en face de toi. — donne moi cinq minutes, que j’aille me changer et on se retrouve sur le départ. tu lui fait un clin d’oeil comme pour lui donner également le temps de pouvoir se changer si le désir lui prenait. toi tu files rapidement dans les couloirs de cette enceinte pour allez récupérer ton costume aux couleurs blanches et violettes. de toute évidence, c’était bien plus pratique que tes vêtements qui se déchireraient simplement à partir de l’instant où tu te transformerais. chose que tu voulais éviter. tu troques ce jean et cette chemise pour cette éternelle tenue aux couleurs de she hulk et après un peu de concentration, te voilà prenant de nombreux centimètres, ton corps prenant cette teinte émeraude vive qui est également visible dans ta chevelure d’origine si sombre, une silhouette plus longiligne que celle de ton cousin, plus délicate bien que tout aussi encombrante. compteur en main, tu mets exactement cinq minutes et vingt cinq secondes pour revenir sur le lieu de rendez-vous, et tu attends reed. ce n’est que lorsqu’il apparaît dans ton champs de vision que tu fait un signe de tête, prête à partir pour asgardia. — prêt ? tu demandes simplement en observant le scientifique. et alors que tu t’apprêtes à avancer, tu te stoppe, te retournant une dernière fois pour observer le brun. — t’as pris la bonne décision reed. sue serait fière. maintenant allons leur montrer c’qui se passe quand on s’attaque à la Liberté.

(c) mars.

résumé:

la chute d'asgardia | Sujet commun

Se baissant, Avril ramassa un morceau de roche qui traînait là, le retourna quelques instants entre ses doigts avant de le lancer. Dû à la gravité largement amoindrie par rapport à la Terre, le caillou retomba mollement en direction du sol, avant de soulever un très léger nuage de poussière en retombant le sol. Y avait pas à dire, s'il y avait bien une chose qu'elle ne regrettait absolument pas depuis qu'elle était devenue Quasar, c'était de pouvoir voyager dans l'espace. Quand elle était gamine, elle n'avait pas pu s'empêcher de regarder tout là-haut avec fascination, et ça n'avait pas changé avec les années, même quand la guerre opposant les Krees et les Skrulls s'était abattue sur Terre. Quand c'était arrivé, elle venait à peine d'entrer à la fac, et c'était de voir les Avengers en pleine action pour défendre leur monde qui l'avait poussée à intégrer le SHIELD. Mais elle était à des années-lumières d'imaginer qu'un jour, elle se tiendrait à l'endroit précis ou Niel Armstrong avait posé le pied sur la Lune. Et pourtant, elle y était. Ironiquement, ça l'aidait à garder les pieds sur terre. Elle venait ici à chaque fois qu'elle avait besoin d'être seule, de prendre du recul par rapport à tout le merdier qui pouvait à avoir lieu avec HYDRA et aux millions d'autres problèmes qui pouvaient l'assaillir à tout instant depuis n'importe quelle planète perdue à travers l'univers. Dans les bandes dessinés qu'elle lisait quand elle était gamine, Superman avait sa Forteresse de Solitude, elle... hé bien elle avait un caillou lunaire sur lequel poser ses fesses. C'était déjà mieux que rien.

Mais alors qu'elle se plaisait à contempler la Terre dans toute sa splendeur, Avril éprouva la sensation à présent familière lorsque le fragment de conscience cosmique conféré par Eon quand elle était devenue la nouvelle Quasar la prévenait qu'il se passait quelque-chose de grave. Et comme pour confirmer cette sensation, ses Bracelets se mirent à luire alors que la voix de Maria Hill se faisait entendre au creux de son oreille « Agent Kincaid, où est-ce que vous êtes? » « Pas loin. » Répondit Avril en se levant rapidement « Quel est le problème? » « On vient de recevoir un message d'Asgardia sur le canal d'urgence. La cité est attaquée par HYDRA. » La jeune femme resta interdite quelques instants, le temps d'accuser le coup. Par tous les diables, comment est-ce qu'HYDRA avait pu réussir à franchir les frontières d'Asgardia? Les rapports avaient fait état que l'organisation criminelle qui avait réussit à prendre le contrôle quasi-total de la planète ne cachait pas son désir de mettre la main sur toute la technologie asgardienne qui pouvait se trouver là-bas, mais Avril n'aurait jamais pensé qu'ils réussiraient vraiment à passer les défenses mises en place « Des infos sur la situation là-bas? » Toute information était bonne à prendre, même la plus minuscule bride « Négatif. La communication a été coupée presque tout de suite et nos contacts sur place ne répondent plus. Ils ont sûrement brouillé les communications. » Et merde. Même si c'était quelque-chose qu'elle faisait quasiment à chaque fois qu'elle portait secours à des gens, elle détestait se jeter dans la mêlée en étant dans le flou « Ok. Je devrais être sur place dans... soixante secondes. » Sans attendre plus longtemps, la jeune femme décolla, avant de franchir la faille quantique qui venait d’apparaître juste devant elle.

Moins d'une seconde plus tard, Avril ressortait par une autre faille dans les plus hautes couches de l'atmosphère – là ou elle ne risquait pas de causer un trou énorme dans la couche d'ozone – avant de prendre la vitesse, entendant le bang désormais familier qu'elle produisait à chaque fois qu'elle dépassait le mur du son. La cité asgardienne ne tarda pas à apparaître devant elle, et Avril serra les dents en voyant les colonnes de fumée qui s'élevaient à divers endroits. La super-héroïne atterrit dans un énorme nuage de poussière, et elle avisa un groupe de civils qui tentait de fuir, un Inhumain sur les talons. Bondissant en avant, Avril l'attrapa par le col, avant de l'expédier contre un mur au pied duquel il s'effondra, sonné « Allez-vous-en! » Beugla-t-elle en direction des civils qui s'étaient arrêtés pour la regarder. Le groupe de réfugiés ne se fit pas prier, alors qu'Avril s'éloignait déjà pour porter secours à un groupe de guerriers asgardiens aux prises avec des soldats d'HYDRA, qu'elle élimina sans peine « Hill, je suis sur place. C'est le chaos ici, on va avoir besoin de tous les renforts disponibles! » Elle ne doutait pas de sa capacité à repousser HYDRA, mais elle ne pouvait pas être partout à la fois, et il fallait à tout prix évacuer les civils au plus vite avant que l'assaillant ne les capture... ou pire.

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Raysumay :

If You're Disappointed Or Lost Something, Don't Stay In That Situation For Long. Be Like Hydra Which Has Never Die Attitude. When It Loses One Part of It's Body, It Reproduces Again. So, Transform Your Pain To A New Birth. ( music ) -- sujet commun

T’es décidé, ça y est. Ton souhait de rendre ta défunte femme fière de toi te tient beaucoup trop à cœur. Et puis, t’es un héros. T’as passé beaucoup de temps enfermé dans tes propres pensées, ta prison mentale, ton anxiété et ta déprime. Un deuil que tu n’as toujours pas fait, mais une perte que tu commences doucement à supporter. Tu sais que tu es loin d’en avoir fini avec cette histoire, mais au moins, depuis que tu t’es remis sur les rails, depuis que tu es revenu à New York City et que tu participes à rebâtir le monde tel que vous l’avez connu, tu as la tête bien plus occupée. Et tu sens une amélioration. Au niveau de ton humeur, au niveau de ta douleur. Tu fais avec et tu essayes d’avancer. Tu essayes désespérément. Ça n’empêche que tu ne l’oublieras pas. Tu ne l’oublieras jamais. Tu ne le peux pas. Elle compte encore tellement. T’as pas besoin de le dire, pour que les autres le sachent. Jenn aussi, elle le sait. Et elle connaît déjà l’issue de ta réflexion, bien avant même que tu ne te décides. Susan avait raison : tu deviens prévisible. « Donne-moi cinq minutes, que j’aille me changer et on se retrouve sur le départ. » Tu hoches le visage et tu la laisses filer. Tu te tournes une dernière fois vers la large baie vitrée, sans pour autant t’y approcher comme tout à l’heure. Puis tu soupires. A ton tour, tu quittes l’atelier, et tu t’empresse de rejoindre tes propres appartements pour te changer. Tu déterres un souvenir douloureux, une relique. Un tissu que tu n’as plus touché depuis longtemps, mais aussi ton dernier souvenir : Monsieur Fantastique. Lorsque tes doigts caressent la texture, t’as un pincement au cœur. C’est ton premier costume. Tu les as composés toi-même, à l’époque et jusqu’à la fin des Quatre Fantastiques. Les costumes ont régulièrement été repensés, réétudiés vis-à-vis de vos capacités extraordinaires et des évolutions que vous avez pu remarquer au fil des mois et des années qui sont passées. Tu déglutis, tu dérives ton regard du costume pour le poser sur ce que tes yeux te permettent de voir de ton corps. Tu grimaces un peu, tu n’es plus le même homme que tu fus. Tu feras avec.

Etonnamment, malgré les années, tu n’as pas un accoutrement aussi terrible que tu l’aurais pensé. Evidemment, il n’est plus très exactement à ta taille, mais ça le fera. Tu as une impression étrange lorsque tu t’observes dans le miroir. L’évidence de tes rides et tes cheveux davantage blancs te frappent de plein fouet. Oui, tu es plus vieux. Ravagé par le temps et les tragédies, par les expériences et les exploits. Tu secoues doucement le visage pour chasser ces vilaines réflexions, puis tu t’empresses de rejoindre Jennifer au Triskélion. Il est devenu rare que tu y mettes les pieds, souvent fourré dans ton laboratoire, entouré de la Future Foundation. De temps à autres, lorsqu’on te le demandait, tu daignais t’y déplacer, mais surtout pour participer aux réunions avec le Haut Conseil. Tu en as presque quelques frissons et un peu d’appréhension lorsque tu passes les portes et que tu gravis les étages. Mais alors que tu rejoins Jennifer, tout s’évapore. Tu te recentres sur votre mission. Elle est déjà là, et toi t’es un chouilla en retard. Tu préfères même pas le relever. « Prêt ? » T’es presque gêné de te présenter sous un costume aussi vieux, mais tant pis. « Prêt. » Tu songeais à l’idée d’en créer un nouveau, une renaissance de l’homme élastique, qui n’était encore qu’un souvenir. Vous vous dirigez vers l’un des téléporteurs, mais la brune – qui a revêtit ses teintes verdâtres reconnaissables entre n’importe lesquelles – se tourne une dernière fois vers toi. « T’as pris la bonne décision Reed. Sue serait fière. Maintenant allons leur montrer c’qui se passe quand on s’attaque à la Liberté. » T’as un petit sourire à ses paroles, et tu acquiesces.

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Vous débarquez – sans la moindre discrétion, par malheur – dans l’unique salle dédiée aux différents potentiels voyages entre le monde d’en bas et ce royaume. Habituellement, plusieurs guerriers et guerrières d’Asgardia gardaient l’endroit, afin de ne pas accueillir des visiteurs que l’on ne voudrait pas recevoir. Mais la pièce est déserte, vide. Il n’y a personne. Et tu t’en doutais. Tu te doutais que les gens d’ici ne seraient pas là pour vous saluer. Ce qui t’étonne, cependant, c’est l’absence d’agents d’HYDRA. D’un côté, tant mieux. Vous allez pouvoir vous faufiler plus aisément. Mais il allait malgré tout falloir faire preuve de vigilance. Tu lances un regard à Miss Hulk, et tu commences à faire le tour de la pièce. Tu cherches quelque chose, des preuves, n’importe quoi qui pourrait vous aider dans la lutte dans laquelle vous allez vous lancer. Tu passes bien cinq minutes à farfouiller, avant de te diriger vers la porte. Tu remarques un miroir brisé, et ses morceaux éparpillés sur le sol. Tu en attrapes un bout, et tu passes un œil curieux lorsque tu entrebâilles la porte. Tu la refermes presque instinctivement, et le plus silencieusement possible, alors qu’une patrouille passe. Tu souffles, tu attends quelques secondes, le dos collé contre la surface de la porte, avant de rouvrir un peu. Mais tu n’arrives pas à bien distinguer quoique ce soit. Le morceau de glace entre tes doigts, tu te décides alors à étirer ton bras et à le faufiler sous la porte, le pointant d’un bout et de l’autre. Tes oreilles, elles, restent attentives au moindre bruit. « Tu arrives à voir quelque chose ? » Tu tentes de faire en sorte que Jennifer réussisse à voir davantage le champ de vision que tu essayes d’agrandir, de lui donner pour détecter le moindre danger. Deux minutes plus tard, après que tu te sois assuré que la voix était libre, ton bras retrouve sa longueur naturelle, et tu reposes le morceau de miroir sur le carrelage. Tu ouvres la porte un peu plus, tu laisses ta partenaire s’éclipser dans le couloir, et tu la suis. Vous le traversez jusqu’à l’une de ses extrémités, et alors que vous alliez tourner pour vous engager dans un second couloir, tu t’arrêtes. Tu passes un bras derrière toi pour empêcher Jenn d’avancer plus, et tu poses un index sur tes lèvres pour lui signifier de ne pas faire de bruit. Alors que tu as l’impression que le bruit s’éloigne, tu oses un nouvel œil dans ce couloir, mais tu entends derrière vous le son d’une arme que l’on recharge. Vif, tu tournes le visage vers la nouvelle personne qui se présente ; un clone Black Widow. Vous entourent alors de nombreux autres soldats et agents de l’hydre. Tu lances un regard à Jennifer, la moue embêtée, et tu lèves tes mains au-dessus de ta tête. Si ta partenaire n’use pas de sa force légendaire maintenant, vous donnez une ouverture pour se débarrasser d’eux et vous échapper, vous êtes bons pour devenir des sbires d’HYDRA.

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résumé
- reed et jennifer se rendent sur asgardia.
- reed fouille la pièce l'on permet les arrivées des gens de NYC sur asgardia, à la recherche d'un potentiel indice qui les aiderait.
- il veille à ce que personne ne soit dans le couloir lorsqu'ils sortent.
- reed et jennifer sont pris dans une embuscade.
- jennifer incluse dans ma réponse avec l'accord de la joueuse.
- accord à @jennifer walters d'inclure reed dans son post.

To the soldier, the civilian, the martyr, the victim
This is war

HYDRA. Encore. Toujours. La colère qui monte. Instinctivement. Réflexe centenaire. Encore. Toujours. A peine l'alerte donnée, j'avais rejoint le Triskelion en moto, alors à l'extérieur pour sécuriser des rues contre des pillages. Uniforme sur la peau, bouclier au bras, j'arrivai d'un pas rapide dans la salle des portails de téléportation où des dizaines d'agents commandos du SHIELD étaient en train de s'armer et de se préparer, comme j'en avais été informé par oreillette. Tous firent soudainement le salut militaire réglementaire en m'apercevant. J'allais en prendre le commandement. Depuis mon poignet je cliquai sur l'hologramme qui s'afficha devant tous au-dessus, c'était le plan de la cité Asgardia, avec un chemin rouge traçant à travers les couloirs et étages de la Haute Tour où nous allions débarquer. « Repos. Pas de temps à perdre, vous avez été briefés sur la situation. Là-bas, nous affronterons des Asgardiens corrompus, des clones, autant que des agents d'HYDRA commandos tels que vous. Vous avez été formés à ça. Le plan d'action élaboré par le SHIELD, en cas d'attaque d'Asgardia, entre en application. Notre objectif : protection des alliés, repousser HYDRA et sécuriser les lieux. Pour cela, atteindre l'armurerie asgardienne avant HYDRA pour nous équiper avec des armes capables de blesser des Asgardiens et optimisés en renfort de nos équipements actuels. Ensuite seulement, nous pourrons secourir les alliés et civils. Escadron 7 vous resterez dans la salle des portails pour en sécuriser l'accès et permettre aux prochains renforts d'arriver. Est-ce clair ? » « Oui Captain ! » « Mister Fantastic, Miss Hulk et Quasar sont déjà là-bas. Profitez de rester dans leurs alentours pour agir sans vous aventurer seuls contre HYDRA. Vous ne serez d'aucune utilité si vous tombez avant d'accomplir la mission, et comme vous le savez, on ne laisse personne derrière. En avant ! »

Portail traversé. Le silence s'imposa en contraste parfait avec l'agitation générale du Triskelion. Je me postai à la porter pour m'assurer que personne n'allait venir nous attaquer tant que tous les agents du SHIELD n'avaient pas traversés. Commandos expérimentés, malgré leur barda et armes high-tech, leurs pas étaient légers comme des félins, se plaçant de part et d'autre de la pièce en ordres efficaces, armes brandies. L'Escadron 7 prit sa position de sécurisation de la salle pour y rester, plaçant charges et outils utiles à la prévention d'attaques. Quant à moi, je fis signe aux autres de me suivre alors que je m'engouffrai au-dehors dans les couloirs. Tout était désert mais bientôt un bruit atteignit mes tympans surdéveloppés plus loin. Je levai le poing en signe d'arrêt et avançai seul d'abord, donnant finalement l'ordre à une unité de contourner et d'aller sécuriser les autres couloirs, ne gardant d'une partie des agents derrière moi.

Je finis par voir l'escadron de Black Widow encerclant Mister Fantastic et Miss Hulk. Le calcul fut fait en une fraction de seconde. Je profitai de l'effet de surprise pour armer et lancer mon bouclier droit dans la tempe de l'une des ennemies, qui tomba à la renverse par la rambarde qui donnait sur le vide et les terrasses bien plus bas de la tour asgardienne. Le bouclier rebondit et frappa chaque Black Widow ou presque, car les dernières visées eurent les réflexes d'esquiver, évidemment, grâce à leur sérum. Le bouclier me revint au bras en sautant pour frapper la plus proche et engager le combat sans attendre avec mes agents, qui pour certains étaient heureusement mutants ou Inhumains aussi pour tenir la distance un minimum. Au moins cela avait le mérite d'avoir fait distraction pour permettre aux deux héros de réagir aussi.

« Reed, Jen', ravi de vous voir, » dis-je entre deux parades et contre-attaques. « Quasar est dans les rues. De notre côté, on doit rejoindre l'armurerie pour nous armer davantage avec des armes adéquates... Nous, mais aussi les civils et réfugiés qui souhaiteraient se battre. HYDRA est partout dans la cité, nous devons être partout nous aussi, » les informai-je afin de mieux coordonner nos actions, ensemble ou séparément, mais en connaissance de cause. « Si vous pouviez nous offrir du temps et un passage pour y parvenir plus vite ça ne serait pas de refus, » ajoutai-je sans savoir s'ils avaient déjà des objectifs à eux ou non. Mais j'avais espoir que casser un ou deux murs épais asgardiens pour se frayer un chemin plus rapide, ne seraient pas hors de leurs cordes.

Dans l'oreillette j'entendis la voix de Quasar parlant à Hill pour des renforts. « Quasar. Nous sommes en route. Armer les réfugiés et civils capables de se battre est la seule solution pour renverser la situation, ou nous serons submergés. » On ne serait pas dans les rues de suite, alors elle allait devoir improviser en attendant, ce pour quoi je ne m'inquiétais pas trop - pour le moment - du fait de sa puissance. Tant que son clone ou un clone tout aussi puissant ne déboulait pas en face d'elle évidemment.

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Résumé :

- Steve rejoint un groupement d'Escadrons commandos du SHIELD au Triskelion et les briefe
- Ils passent le portail : une unité reste dans la salle pour sécuriser les portails et le reste se disperse (une partie derrière Steve une autre qui contourne dans les autres couloirs de la Haute Tour)
- Steve profite de l'effet de surprise pour attaquer les Black Widow qui encerclent Reed et Jennifer
- Il leur demande un coup de main pour atteindre l'armurerie asgardienne et armer ses agents mais aussi civils et réfugiés voulant se battre pour éviter qu'HYDRA les submerge par le nombre
- Il informe Quasar qu'ils sont en route

La chute d'Asgardia

Hydra, quelle plaie ! Depuis les quelques mois que tu as passé à Asgardia, tu maîtrise -enfin- ton pouvoir, l'Inhumaine. La télékinésie, effrayée de toi-même, en fuite pendant plus d'une année et demie, pour remettre ainsi toute ta vie en doute, toi l'enfant volée. Vulgairement trimbalée depuis l'Espagne jusqu'en Amérique, puis de famille en famille, à droite, à gauche, en long large et travers. Un peu de douceur, comme beaucoup de cruauté envers toi, ce qui a fait la jeune femme que tu étais avant l'A-Day. Jusqu'à ce que AIM n'ajoute son grain de sel. Dans leurs laboratoires, ton humanité a été mise à mal, tu as été une bête de foire, un cobaye de plus sur leur liste noire. Jusqu'à la lueur d'espoir, la lueur de liberté, et le réconfort que t'as offert Asgardia. Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour ? Le voilà ton point d'ancrage, celui qui t'apporte plus qu'un semblant de foyer, mais une pointe d'amour. Mais ce n'est pas le plus important à l'heure actuelle. HYDRA, le troisième Reich est en marche, et tu ne laisseras plus jamais rien ni personne mettre en doute ta vie, vos vies. Tu as l'âme d'une justicière, et en apprenant plus de choses aujourd'hui sur le passé, sur chaque héros ayant été jugés inutilement, tu t'es jurée de te battre à leurs côtés. Ce que tu vas faire, sous peu. Ahora.

Alors t'étais déjà sur tes gardes, tu l'es toujours depuis ton arrivée même si tu te sens ici en sécurité. Mais est-ce que HYDRA s'en soucie réellement ? Non pas vraiment. Alors quand tu entends tout ce grabuge depuis la chambre que tu partages avec Matthew, c'est sans toucher une seule partie de la pièce que tu récupère ce malheureux couteau que tu te traînes pas sécurité -plus que par habitude- et que d'un geste de main tu ouvres la porte, envoyant valser un soldat intru à travers le couloir. « Il est temps de te transformer en torche humaine, Matt. Et surtout, survi, andouille. » Tu cours en remontant les allées, secouant ta menotte dans un geste de salut. « Utilise ce que je t'ai confectionné ! Y chaval. » (Et jeunot) Tu t'arrêtes et te tournes en souriant. « Hay que vivir, hasta el final ! » (Il faut vivre, jusqu'à la fin) Et tu disparait dans un tournant, maintenant seule face à tous. Pour l'instant, tu ne fais face qu'à des Inhumains tout comme vous. Tu les envoient valser en leur brisant la nuque, en retournant parfois leurs armes contre eux même. Fort utile finalement, la télékinésie en période de guerre civile. Est-ce seulement cela ? Non, cela touche le monde entier. Mais quand l'escadron ennemi se trouve être des amis à toi, des infiltrés, des personnages a deux visages... Et pour ta survie, pour celle de ceux ne sombrant pas dans les travers de l'hydre, tu n'arrives pas complètement à les éradiquer, c'est plus fort que toi. Tu les blesse suffisamment, pour qu'ils soient hors d'état de nuire.

Mais tu as une priorité, et parce que tu y a passé bien du temps, afin de trouver quelque chose de plus... Plus effrayant qu'un vulgaire couteau à ton poignet, il faut protéger les trésors de cette cité. Si HYDRA possède déjà une armée... Disons plus que prête et cruelle, chaque munition, chaque petite chose pouvant être utilisées contre vous est la bienvenue ? Et un seul être obsède tes pensées, mais il te faut faire fuir les novices, les petits nouveaux, ceux qui ne peuvent décemment pas mener bataille. "Hé l'hispanique, toi aussi tu évacues !" Qu'un garde te lances sans gêne, te prenant pour un bleue. Tu t'approches de lui, attire son armure sans y poser la pulpes de tes doigts abîmés et le dévisage. « Crois-moi que je serai plus utile ici, qu'ailleurs ! Alors me prends pas la tête, et fais ton job sans te soucier, Asgaardien. » Tu le relâche, et parcours encore les salles, les couloirs, tu soulèves les murs qui eux ont cédés, tu remarques des corps, sans vie, et les images se bousculent. Tu restes impassible. Il le faut. Tu n'es pas loin de l'armurerie, tu dois récupérer bien plus qu'un petit couteau et ton pouvoir, mais une balle traverse la peau fine de ton bras et tu retiens un hurlement entre tes dents. Tu te retournes, plus remontée que jamais, et envoi valser les soldats, les projectiles, tu restes en mouvement afin de te protéger. « Je vais pas durer longtemps toute seule joder de mierda de... » Tu manques de près de te prendre un soldat que tu fais danser dans les airs sur toi. « Après ça je jure que je me fais la plus grosse bouffe du siècle ! »

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Résu-May :

la chute d'asgardia | Sujet commun

Plongeant dans le vide, Avril se réceptionna sans mal une dizaine de mètres plus bas, alors que la grenade attaché à la ceinture d'un soldat d'HYDRA explosait, fauchant son malheureux porteur et les trois types qui se trouvaient juste à côté de lui. Retombant sur ses pieds après une roulade parfaitement exécutée, Avril jeta un nouveau coup d’œil autour d'elle, constatant à quel point la situation était mal engagée pour les défenseurs d'Asgardia. L'ennemi était venu en nombre, et il ne se gênaient pas pour retourner quiconque leur tombait sous la main contre leurs anciens alliés, usant de ces foutues nanopuces qui leur avaient permis de prendre le contrôle de la quasi-totalité du monde. Pour le coup, leur fameux slogan du « coupez une tête, il en repoussera deux de plus » se montrait particulièrement vrai, et c'était un énorme problème pour les défenseurs. À force, ils allaient se retrouver à court de bras pour protéger la Cité, qui finirait par tomber sous la coup du régime totalitaire imposé par l'Hydre. Déjà, ils étaient obligé de décider quelles parties d'Asgardia ils se décidaient à protéger, et lesquelles ils acceptaient de laisser à l'envahisseur, parce que c'était mieux que de les voir s'emparer des zones les plus cruciales de la Cité.

Alors que la jeune femme s'envolait à nouveau, Avril entendit la voix de Captain America dans son oreille, et elle ne put s'empêcher de pousser un soupir de soulagement. Bien, la cavalerie était arrivée, et allait pouvoir souffler un tout petit peu. Non pas qu'elle voulait se la couler douce, mais elle n'allait plus être à ce point obligée de bondir d'un combat à un autre pour essayer de sauver le plus de personnes possibles. Enfin encore fallait-il qu'ils arrivent dans les rues d'Asgardia, là ou la majorité des combats étaient en train de se dérouler « Compris Captain. » Répondit Avril en affichant une grimace. Elle n'aimait pas ça. Devoir exposer les civils au danger, alors qu'ils n'avaient pas la moindre formation militaire, ça ne lui plaisait pas du tout. Certes, Rogers avait raison, mettre une arme entre les mains de toutes les personnes en mesure d'en tenir une était le meilleur moyen d'endiguer la marée ennemie, mais Avril ne pouvait s'empêcher de penser au fait que la plupart d'entre eux ne risquaient même pas de survivre à leur premier contact avec l'ennemi. Les envoyer comme ça à l'abattoir... non, ça ne lui plaisait pas du tout. À moitié perdue dans ses pensée, la super-héroïne pût dire merci au champ de force qui l'entourait en toute circonstances, et qui stoppa sans la moindre difficultés la rafale de balles tirées depuis un des Héliporteurs qui coordonnait l'assaut d'HYDRA. Ce dernier tira une salve de missile, qui fut balayée sans la moindre difficulté par la jeune femme, comme si elle avait été dans une séance de tir au pigeon. Seul deux missiles réussirent à s'approcher, mais plutôt que de les pulvériser comme tous les autres, Quasar attendit le dernier moment, et quand ils arrivèrent à moins de dix mètres, elle lança deux filins d'énergie quantique solidifiée qui s'enroulèrent autour des projectiles, avant de tourner sur elle-même pour les renvoyer en direction de leur point d'origine. Fermant les yeux et tendant la main, Avril entoura les deux missiles d'une bulle d'énergie pour les protéger des tentatives de l'Héliporteur de détruire les deux engins de mort en plein vol, et ne les libéra de leur protection qu'au tout dernier moment. Les missiles frappèrent le centre de commandement volant de plein fouet, réduisant à l'état de ferraille tordue plusieurs points d'armes et une portion de sa coque. Pas de quoi lui couper les ailes, mais ça avait du sérieusement les ébranler là-dedans « Vous m'en direz des nouvelles, bande de céphalopodes à la noix. »

« Quasar, on a besoin d'aide, HYDRA essaye de forcer les portes de l'Armurerie! » Lança une voix paniquée à la radio, et la jeune femme se dirigea aussitôt en direction de ladite Armurerie, ou elle trouva un grand nombre de soldats d'HYDRA et de machines anciennement à la solde d'AIM essayer de passer les défenses établies autour du principal accès menant à l'Armurerie d'Asgardia. Sans attendre, Avril atterrit au milieu du groupe d'ennemi, et les plus proches se retrouvèrent catapultés par la vague d'énergie qu'elle balança au moment ou elle toucha terre. Sans attendre, l'agent du SHIELD utilisa la tactique qu'elle avait utilisé plus tôt avec les missiles pour envoyer un Adaptoïde manger les pavés. Un asgardien lobotomisé par HYDRA tenta de la trancher en deux, mais la super-héroïne cosmique bloqua sans mal l'attaque, avant d'expédier son assaillant contre un mur, ou il resta là, à moitié sonné. Plongeant pour éviter un tir, Avril attrapa une épée qui traînait au sol dans sa roulade, avant de la lancer sur un autre tas de boulons, qui s'effondra au sol, la lame profondément fichée dans sa caboche métallique « Captain, si vous voulez des armes, faudrait voir à pas trop lambiner sur le chemin! » Consciente qu'elle allait prendre un gros risque, Avril ne perdit pas une seule seconde, et d'une simple pensée, une bulle d'énergie dorée s'éleva rapidement autour de l'Armurerie, coupant court à l'assaut d'HYDRA sur la place « Vous voulez ce qu'il y a là-dedans? Alors bonne chance pour m'attraper, tas d'enfoirés! » Et sans laisser à HYDRA l'occasion de faire quoi que ce soit, Avril redécolla, s'éloignant du tas d'ennemis tout en prenant bien soin à garder systématiquement la bulle d'énergie dans son champ de vision, autant pour garder un œil sur la situation que pour éviter qu'HYDRA n'abatte sa protection alors qu'elle avait le dos tourné.

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Raysumay :

La chute d'Asgardia

HAsgardia est mon refuge finalement. Et depuis que je suis ici, je dois avouer que j'y ai trouvé ma petite place. Entre les petites habitudes et les quelques amis que j'ai pu me faire ici, je dois avouer que j'y serais bien resté des années. Même si ça fait déjà quelques temps, à dire vrai. Et si la journée avait commencée relativement correctement, que j'avais bien décidé de rester dans ma chambre sans trop demander mon reste, autant dire que le grabuge à l'extérieur n'est pas resté longtemps inaperçu. C'est Beka qui se redresse en premier et ouvre la porte et je hausse déjà les sourcils en voyant un des types se la manger assez violemment. Torche humaine. Oh bordel.

- Qu'est ce que c'est que ce bordel, encore ?!

Survit, andouille. Ah bah merci du conseil l'hispanique ! Ca m'emmerderait de crever maintenant. J'ai à peine le temps de me redresser qu'elle est déjà sorti de la chambre. Ok, bon... On va jouer les barbecues alors ? Mes pouvoirs sont moins incontrôlables, merci à Gwen pour l'entrainement intensifs. Je sors de la chambre et la regarde du bout du couloir. Ok, j'ai rien compris de ce qu'elle m'a dit. Sa manie d'essayer de me faire piger de l'espagnol ! C'est le bordel. Je gigote un peu mes mains et les enflammes finalement. Ok, Matt. Tu crames et tu restes en vie, ça devait aller.
Je cours dans le couloir et pivote à l'opposé de celui où Beka vient de s'engager. Je suppose qu'il faut prendre chacun des côtés, hein ? Ouais. Je sais pas. Inutile de dire que les soldats sont relativement visibles. Uniforme à la con oblige. Sauf que je suis quand même limité, si je vous le bâtiment en feu, ça ne va pas aider. Brûler mais pas trop. Tant pis. Je lève les paumes sans attendre et créer deux colonnes de feux qui atteignent la petite dizaine de soldat dans le couloir. Je tousse légèrement et recule.

- Je préfère faire griller des saucisses que des fils de putes comme ça, moi !

Peut-être pas parler de saucisse maintenant. Je fais demi-tour et prend le couloir d'où j'ai vu Beka. Pas question que je la laisse gérer toute seule, elle aussi. Je trouve pas mal de garde au sol quand j'y passe. Le bordel que j'entends se trouve surtout vers l'Armurerie. Je suppose donc qu'il est préférable de m'y rendre aussi. J'approche d'un soldat assommé et récupère l'une des armes. Dans le cas où je suis battu par un type qui contrôle la flotte ou la glace, ce sera toujours ça de plus. Mais plus je me rapproche de l'armurerie, plus je pense que mes sourcils se perdent dans la ligne de ma tignasse. C'est quoi toutes ses machines et ces soldats. On sera pas suffisamment de gens pour les arrêter ! A peine arrivée devant qu'une brune formait une sorte de champ de force autour de l'armurerie. Eh bah putain, elle est géniale celle là. Je repose les yeux sur la foule devant moi et repère Beka un peu plus loin.

- Beka ! Attrape ça !

Je lance l'arme dans sa direction. Je me tourne vers une des machines. Ooook. Elle me fait flipper la plupart de mes enceintres celle-là. Formant des boules de feu de différentes tailles, je vise la plupart des robots tentant de s'en prendre non seulement à la protection autour de l'armurerie mais aussi au reste des personnes tendant de la protéger.

- Dit moi que d'autres cinglés comme nous vont arriver ! C'est des machines ! On est que des bouts de viandes, bordel ! On va pas tenir longtemps !

Seul petit hic sur l'un des robots, je remarque le changement à la première boule de feu. Une fumée blanche s'extrait de son corps à chaque fois que les flammes tentent de l'atteindre. Et merde, je suis dans la merde s'il me touche celui-là. Je prend de la distance avec celui là pour m'approcher des soldats d'Hydra. Ceux qui ont l'air le plus humain possible. Il faut que je m'arme aussi. J'isole l'un des soldats en amenant mes flammes tout autour de lui avant de l'embraser en quelques secondes.

- J'ai besoin de ça. Tu m'en voudras pas trop avec ta tête de con, hein?

Ok, peut-être un peu violent. Jamais vu cette arme par contre. Je vise un soldat et une boule électrique vient s'écraser en plein dans son but. Je hausse les sourcils avant de hocher la tête. Ok, j'ai donc un gros taser!

(c) ANAPHORE

Resumaydelamortquitue:

And I'm back with a madness
I'm a champion of the people who don't believe in champions
I got nothing but dreams inside
I got nothing but dreams

Le chaos. Asgardia était entièrement sous le feu ennemi, depuis les airs comme la terre, gangrénée de l'intérieur par les infiltrés d'HYDRA. Après avoir neutralisé le premier commando de Black Widow avec l'aide des héros sur place et de mon unité du SHIELD, voilà que nous courions à travers les couloirs sans nous arrêter, ciblés par les tirs latéraux des Quinjets environnants et autres tireurs d'élite en suspension depuis ces derniers. Mon bouclier encaissait la majorité des projectiles, ma vitesse surhumaine de course faisant le reste. « On est bientôt sur place Quasar, tout le monde n'a pas de pouvoirs cosmiques pour gagner du temps ! » rétorquai-je à mon amie et alliée qui avait pu sécuriser l'armurerie avec ses pouvoirs plus que bienvenus. Décidant de prendre un raccourci, je laissai mon unité prendre les couloirs et escaliers normaux pour les déblayer de leurs intrus adverses, bifurquant pour ma part d'un bond. Je sautai par-dessus la rambarde, dans le vide, sur le morceau de toit intermédiaire en contrebas, et continuai de courir ainsi le long de ce dernier.

Nouveau bond à travers la fenêtre la plus proche menant dans un autre couloir, bouclier lancé immédiatement sur les agents d'HYDRA présents et nouveau combat engagé avec violence sans une once de répit. Surtout pour mes adversaires. Je n'eus cependant pas besoin de tous les neutraliser car certains se mirent à voler par télékinésie et finirent dans les murs ou les fenêtres alentours. Je repérai rapidement la jeune femme jurant en espagnol responsable de cette débâcle impressionnante. Une balle l'avait blessée au bras, et alors qu'elle était occupée à faire voltiger les ennemis en représailles, je perçus avant elle le nouvel escadron qui tournait vers nous au bout du couloir.

Je bondis et dressai mon bouclier instinctivement pour parer le coup d'épée de l'Asgardien ennemi arrivé le premier pour la frapper par derrière. « Rentrez dans l'Armurerie et équipez-vous, vite ! » hurlai-je à l'hispanique, dont j'ignorais l'identité, mais sur qui je comptais pour s'upgrader en termes d'armements, cumulés à ses pouvoirs, pour bien plus de dégâts. Je repoussai l'Asgardien en arrière avec ma force brute et me jetai à travers la porte de l'armurerie, passant le champs de force de Quasar en même temps, et contre lequel les salves de balles ricochèrent bien heureusement. A l'abri pour quelques dizaines de secondes.

« Est-ce que ça va ? Votre bras ? Encore de quoi tenir ? Parce que le choix ne nous est pas laissé j'en ai peur, » fis-je à la jeune femme ma main préventivement sur le haut de son bras valide en guise de salut comme de soutien dans cette situation compliquée. Voyant que sa hargne était au rendez-vous pour continuer le combat, je m'empressai d'aller m'équiper, accrochant une ceinture de cuir épais à ma taille où je fourrai poignards en métal asgardien ainsi qu'une épée, sans avoir aucune idée de ce que ces armes étaient capables de faire. Etaient-elles toutes magiques ou juste composées de métaux incassables par des armes mortelles ? Déjà rien que cela, serait énorme. Car seul mon bouclier en vibranium avait jusque-là cette capacité salvatrice. Avisant un casque d'apparence viking scintillant d'un métal pur et visiblement costaud, je revêtis ce dernier par-dessus le mien qui était déjà pare-balles. Qui sait si celui-là ne serait pas pare-magie ou quelque chose du genre. Vu les Asgardiens-HYDRA en face tout était bon à tester. Enfin, je décrochai une hache de son socle, serrai ma poigne sur le manche pour en tester l'équilibre en quelques mouvements. Un équilibre parfait en tous points comme je m'y attendais, qualité divine. « Quasar ? Possible de descendre l'armurerie dans les rues à mon signal ? » Réponse positive, sans surprise. Je me tournai vers la dénommée Rebecca. « Mon unité va arriver pour s'équiper ici, on leur dégage le couloir et ensuite on rejoint les rues. Restez avec moi nous serons plus efficaces ensemble, » lui dis-je, préférant combattre à ses côtés que de la laisser oeuvrer seule dans cette pagaille. Rester unis était la meilleure chance de survie en infériorité numérique, et la meilleure chance de riposter avec la même dangerosité que l'adversaire.

La seconde suivante je quittai le champs de force qui protégeait l'armurerie pour retrouver l'extérieur, sorte de grand étage aérien à flanc de tour, où machines et optimisés tentaient d'assaillir l'armurerie. Un jeune homme pyrokinésiste que j'avais entendu parler avec ma nouvelle coéquipière improvisée tentait de tenir sa position pour les empêcher de progresser. Le genre de chose qui me boostait toujours plus pour tenir bon. Qui m'inspirait. Engageant le combat pour dégager la voie pour mes hommes en chemin depuis les étages, je lançai mon bouclier pour dégommer plusieurs agents par ricochets, avant de courir, sauter sur les épaules d'un, deux, trois agents d'HYDRA dépassés par mes acrobaties rapides. Je réceptionnai le bouclier en cours de route à mon bras, armant l'autre de ma hache nouvellement acquise. Il était temps de voir si elle était utile. Dernier bond et je l'abattis sur la machine énorme récupérée d'AIM par l'hydre. La lame asgardienne, forgée par les nains de je ne savais quel royaume d'Yggdrasil, trancha le métal comme du beurre, me permettant d'éventrer la bête métallique d'un coup. Elle grésilla et s'écroula inactive, avant d'exploser. Recroquevillé derrière mon bouclier, le souffle passa autour de moi. Derrière moi, les agents du SHIELD étaient entrés dans l'armurerie.

« Sympa les pouvoirs ! Mais dans une situation pareille on n'est jamais trop équipé, alors fonce à l'armurerie, je vous couvre et on se retrouve en bas pour la suite des festivités ! » lançai-je au garçon, frappant d'un coup de bouclier devant, et du talon derrière moi en simultanée deux robots me venant dessus. Une fois tout le monde en train de s'équiper dans l'Armurerie, je pus donner le signal. « Maintenant Quasar ! » Tout le petit monde encore dans l'armurerie bénéficia du transport aérien par Quasar jusque dans les rues de la cité où le plus gros d'HYDRA se trouvait, et qu'il fallait tenter d'endiguer absolument.

Toujours dans la cour extérieure des hauteurs de la Tour, je réalisai que je n'étais pas le seul demeuré là, hors de l'armurerie partie. « Vous avez raté le train volontairement ou vous comptez partir avec vos pouvoirs ? Sinon je vous en prie, suivez-moi, » fis-je à l'hispanique et au pyromane. Ne perdant pas de temps moi-même, je courus vers les écuries opposées à l'armurerie déplacée, et que j'avais repérées dès mon arrivée dans la zone. Pas de motos, de voitures, de quinjets en cité asgardienne, il fallait donc s'adapter. Je me retrouvai bientôt dans la cour sur le dos d'un destrier majestueux, aux ailes puissantes, harnaché avec un casque de combat bardé d'une corne tranchante. Je stoppai ma monture, plus intelligente qu'un cheval terrestre clairement, près de la jeune femme dans la cour. Dans ma main, je tenais les rennes d'un second cheval ailé, rennes que je lançai au jeune garçon. « Ce sont des bêtes plus intelligentes que les nôtres, vous n'aurez pas de mal à le guider croyez-moi. Sinon Quasar se fera une joie de vous déposer ailleurs plus rapidement que l'escalier si vous demandez gentiment, » déclarai-je, essayant de détendre l'atmosphère avec une pointe d'humour. Je tournai mon regard vers la jeune femme.

« Je pilote et vous faites voler les ennemis dans les airs, c'est dans vos cordes je crois ? » lançai-je en tendant ma main vers l'hispanique dans une invitation à la saisir pour monter derrière moi. Elle avait besoin de ses deux mains pour ses pouvoirs, un duo avec un pilote était donc nécessaire. Quant à l'Inhumain, il semblait pouvoir tenir les rennes d'une main et brûler de l'autre, du moins je comptais dessus. Pas le temps de m'inquiéter pour tous malheureusement, la rapidité d'action et la coordination primaient sur le reste surtout si nous voulions tous nous en sortir et sortir des innocents de cet enfer. Une fois installée, je claquai les talons dans les flancs de l'animal qui décolla d'une traite, direction le ciel embrasé d'Asgardia et d'Atlanta. « Quasar s'occupe des forces aériennes d'HYDRA, quant à nous, nous serons la force de frappe aérienne contre leurs forces au sol, en renfort des civils et des soldats à nos côtés. Accrochez-vous, » achevai-je d'expliquer, opérant un virage en piqué pour survoler les rues assiégées et offrir ainsi des opportunités télékinésistes à ma passagère.

Premier rase-motte qui me permit de frapper des ennemis à coup de hache en passant de mon côté, laissant la mutante gérer de son côté. Renverser des pans de murs sur les ennemis, écarter des civils de tirs, renverser des machines d'HYDRA sur leurs propres forces, tout était imaginable du moment que cela mettait le camp adverse à mal. Retour en l'air pour mieux refaire un passage dans les prochaines secondes. Outre le pilotage, je repoussai les tirs et attaques de pouvoirs à distance tantôt avec mon bouclier ou ma hache, selon qu'un ennemi volant s'approchait trop près de nous. La situation était désespérée et les chances de victoires faibles, mais je ne pouvais juste rien lâcher. Pas une once d'énergie tant qu'il m'en restait pour sauver des vies. « Armer les civils ne sert qu'à gagner du temps pour eux et la cité entière, mais ils ne tiendront pas longtemps face à HYDRA. Il nous faut trouver un moyen d'évacuer le plus de monde possible et tenir nos positions pour leur permettre de le faire ! » Où sont les magiciens à portails ou les super-génies à portails high-tech dimensionnels quand on a besoin d'eux ? Tous à New York, dans une galère aussi grave voire pire, mais ça, pour le moment, je l'ignorais.

Résumé :
- Steve rejoint l'Armurerie où il trouve Beka, qu'il protège d'un coup d'épée d'un Asgardien et rejoint ensuite dans la salle protégée par le bouclier de Quasar
- Il l'interroge sur son bras blessé et son état puis s'équipe de plusieurs armes asgardiennes
- Il ressort pour dégager la cour aérienne devant l'armurerie et permettre à son unité commando d'arriver et d'aller s'équiper à son tour
- Il croise en faisant ça Matthew aux prises avec les machines, qu'il aide à combattre et conseille d'aller s'armer aussi
- Quasar transfère l'armurerie et les gens dedans dans les rues
- Steve resté en haut exprès, trouve un cheval ailé comme monture et embarque Beka avec lui dessus pour agir en duo depuis les airs
- Il a aussi proposé la deuxième monture à Matthew pour qu'il crame tout depuis les airs aussi avec eux
- Ils décollent et entament les premiers rasemottes pour cibler les rangs d'HYDRA dans les rues

la chute d'asgardia
sujet commun - ouvert à tous

La fin est proche.

HYDRA a tout prévu, absolument tout. Et pendant que Asgardiens, Inhumains et Héros tentent de garder la Cité debout, la fin elle, est proche. Les traîtres se sont animés pour vous poignarder dans le dos, et les têtes coupées repoussent inlassablement. Mais au milieu du chaos un seul lieu semble vous importer, tous ici : l'armurerie. Méfiez-vous des apparences, parce qu'Asgardia est grande, les recoins multiples, les assaillants aussi, mais les tactiques sont, elles, déjà écrites. L'ordre de mission tombe : La Cité doit être détruite, New-York est suffisamment amochée, la mascarade est terminée. Trouvez la bombe, et vous finirez en lambeaux, ne la cherchez par et vous pourrez fuir pour vos vies. Mais l'annonce est formelle, partout dans la cité :

Asgardia doit mourir, New-York est attaquée, elle est inutile.

précisions
- La possibilité de faire mourir son personnage ne s’appliquera qu’au sujet commun basé à New York City.
- Aucune limite de mots. Faites avancer au maximum.
- L’issue de ce sujet commun est déjà décidée, et impactera le contexte.
- Dialogues en français.
- Vous êtes libres de poster autant de fois que vous le souhaitez, une fois comme de participer tout le long du sujet commun.
- Vous pouvez discuter du sujet commun dans le sujet flood adéquat.

La chute d'Asgardia

Tu n'es pas très en confiance lorsque les machines de feu AIM arrivent. Mais ce n'est pas le moment de faiblir, Rebeka, parce que ta priorité n'est autre que de tenir bon, pour ce lieu que tu considères comme étant ton foyer. Gesticulant avec habileté tes mains pour faire ainsi virevolter, faire danser les soldats et machines qui foncent droit sur l'Armurerie. Fort heureusement pour toi, voilà une petite brune fort... Oh bah oui, elle ne rigole pas celle-là ! Tu ne sais pas qui elle est, mais son agilité et ses capacités dépassent l'entendement. Tu as à peine le temps de te rendre compte de son absence que ton dos cogne contre une bulle dorée, sans nul doute générée par l'agent. Un fin sourire étire tes lèvres, mais tu ne lâches pas de vue ton objectif, personne n'atteindra la salle sous protection, ni même la barrière protectrice. Et le temps passé ici t'as été fort utile, tu fais danser chaque soldat, chaque machine dans les airs, laissant certains retomber lourdement dans le vide. Mais une voix s'élève et tu la connait, oh ça oui, ce n'est autre que ton partenaire de chambré qui réclame a ce que tu attrapes... Attraper quoi ? Une arme a impulsion électrique ? Une fois dans ta main, tu la fait lentement glissée au sol, tes sourcils se froncent et tu ne comprends pas vraiment. « Matthew, j'ai pas besoin d'un flingue. » Dis-tu en faisant voler un homme qui arrivé sur sa droite. Mais tu n'es pas la seule a râler visiblement, et tu ne peux t'empêcher de rire, cette émotion qui se calme rapidement lorsque ton ami est en mauvaise posture. Un robot résiste clairement à sa boule de feu, et alors qu'il s'en éloigne, toi tu te charges de bloquer le gros joujou d'HYDRA. Et tout en resserrant ta main, le voilà qui vole -vole !- pour s'écraser lourdement au sol. Mais voilà que vous n'êtes plus seuls, non. Un bouclier aux couleurs du pays qui t'as adoptée de force voltige lui aussi entre les soldats. Mais le grand homme arrive aussitôt dans ton dos, l'espagnole, pour parer un épéiste prêt à te trancher. Le son de l'impact sur son bouclier fait de vibranium vrille tes tympans, et tu maîtrises la panique qui s'empare de toi. Encore trop enrôlée dans les tortures passé.

Mais voilà qu'il te hurles dessus en plus, te conseillant de rejoindre l'Armurerie et de t'équiper au plus vite. Tu ne perds pas de temps, et pensant te prendre le bouclier de plein fouet, tu le traverse en fermant les yeux, mais rien. Pas de face aplatie. Chouette ! Une fois dans la pièce, tu attrapes tout ce qui peut bien te tomber sous le main, la télékinésie se chargera du reste. Les lanières de cuir autour de tes hanches et dans ton dos se nouent, et tu glisses plusieurs petites lames à ton ceinturon. Deux grandes épées dans ton dos ainsi qu'une hallebarde. Retroussant les manches de ton pull pour ainsi dévoiler les attaches qui sont tiennes tu armes un peu plus de dagues en tout genre, il n'y en aura jamais assez, et petit bonus cela cachera à la perfection les cicatrices. Mais alors que tu t'affaires, tu sens une main sur ton épaule, et le super-soldat demande si tu peux tenir le coup. « Claro que si, j'ai survécu à AIM, je ne laisserai pas ces connards m'avoir. » Tu regardes ton bras blessé, une grimace étirant tes lèvres. Tu auras pourras ressentir la douleur une fois l'adrénaline redescendue, mais l'heure est à la bataille. Et quitte a avoir les mains de libres, tu attrapes deux dernières armes avant de suivre les directives du soldat de l'Amérique, duquel tu es fan depuis ta plus tendre enfance. Mais la seconde suivante, vous retournez au delà du bouclier afin de livrer une nouvelle bataille, jetant la lance en plein coeur d'un soldat prêt à te tirer dessus, et faisant voler les hommes plutôt que d'user de tes nouveaux jouets. Non loin de ton ami, tu le regarde depuis ta vision périphérique en riant doucement. « T'as jamais vu une femme armée jusqu'au dents, Brown !? » Tu t'assures surtout qu'aucune machine, aucun Asgardiens, que personne d'autre que les agents du Captain ne franchissent la bulle protectrice, n'hésitant pas a détruire d'un poing serré ceux se pensant libres. Mais en voyant le souffle de l'explosion, tu dresses devant vous deux une carcasse de ces machines qui autrefois te poursuivais sans relâche afin de protéger le brun et ta propre personne. Au tour de Matt de s'équiper, et tu lui fais signe d'y aller, te chargeant du reste en attendant. Envoyant valser la machine inactive sur un escadron HYDRA qui foncent droit sur vous, tu ne peux éviter une nouvelle attaque dans ton bras déjà blessé.

Un râle passe tes lèvres et tu manques le coche du voyage aérien que l'agent à l'origine de la bulle dorée offre, la dénommée Quasar. Qu'importe, mais d'ailleurs, une fois vos présences remarquées, le héros vous demande de le suivre jusque la cour, celle des chevaux ailés d'Asgardia. Et pendant qu'il récupère l'un d'eux, tu t'occupes de barrer le chemin de machines usagées d'AIM. Le pégase à tes côtés, dirigé par le super soldat tu souris à ce spectacle, étouffant un rire tout en jetant un coup d'oeil à ton ami. « Croyez moi, il va opter pour la monture ailée. Un vrai gosse ! » Mais quand tu vois la main tendue vers toi, et la proposition tu hausses les sourcils, clairement surprise de pouvoir faire équipe avec l'un des super héros qui a bercé tes nuits apeurées. Levant ton index comme pour lui demander une permission spéciale, tu attires le pyromane vers toi en le tirant par le col de sa t-shirt, sans y mettre un doigt dessus. Tes lèvres arrivent à la rencontre des siennes, un court instant seulement, et quelques mots sont murmuraient à la suite. « Tu restes en vie, claro ? » Puis, glissant ta menotte dans celle du Captain, tu te hisses dans son dos sur le destrier ailé. Le décollage te surprendras toujours, d'ailleurs tu t'agrippe à l'homme de peur de chuter. Hé, c'est que ce n'est pas du faux là sous le costume ! Mais vous voilà au dessus du ciel Asgardien, tout comme celui d'Atlanta et vous serez donc la force de frappe aérienne comme te l'indique le cavalier. Mais tu entends ? Il faut que tu t'accroches -encore- et le virage fait céder l'élastique de ta chevelure brune, mais il te faut réagir vite, et sans plus attendre, tu envois voler par la simple pensée les soldats, et machines alentours. Tu fais même preuve d'une certaine cruauté, telle une revanche personnelle, laissant pleuvoir les corps sur d'autres, les carcasses sur les escadrons de soldats de l'hydre. Et tu fais voler les armes, telles une valse endiablée, sanglante et sans retenue. Il vous faut trouver le moyen de sauver un maximum de monde. « Faire retomber la Cité... » Mais coupée dans ta phrase, tu fronces les sourcils, une machine que tu viens tout juste de soulever te semble différentes des autres. « Une bombe ! » Tu l'envoi valser à l'opposé de votre position, et regarde alors Matthew un peu plus bas. « Oy fireboy ! Des kamikazes, fais gaffe ! » Mais l'annonce est lancée, HYDRA a la ferme intention de détruire Asgardia, et tu tapotes gentiment l'épaule du super héros, pointant son amie en pleine bataille aérienne. « Peut-être qu'elle peut nous sortir de ce pétrin ? On va finir par tous exploser Captain. Un moyen de contacter les forces New-Yorkaises ? » Tu ne manques pas de continuer a livrer bataille de par ta télékinésie. Portant un regard attristé à la Cité. « Je suis prête a rester sur Asgardia, pour la défendre au péril de ma vie. Laissez moi retourner au sol... » L'émotion est palpable dans ta voix, mais une explosion te surprends, et coupe le son qui émane de ta gorge, les traumatismes du passé ne sont jamais bien loin, Rebeka.

(c) ANAPHORE

Résu-May

La chute d'Asgardia

Ok. Un gros taser, du coup. Ce qui est relativement utile pour repousser. Et les deux en plus. Que ce soit une personne normale qu'un inhumains ou même un des robots que je peux voir. Mais mon attention est dévié assez facilement lorsque Captain America vient me parler. Je hausse les sourcils avec lenteur, mes yeux s'écarquillant. Bordel, c'est Captain America... Il te dégomme deux robots comme ça et j'ouvre la bouche.

- Bordel de merde, cette classe intégrale..

Ah merde, il m'a dit d'aller m'armer... Je bouge finalement pour courir dans l'armurerie, traversant la protection qui l'entoure sans problème. Ok, ok. Je dois prendre quoi ? Plus des trucs pour me protéger, je pense ? Aucune idée. Je délaisse l'arme à impulsion électrique et me dirige pour attraper majoritairement des protections pour mon thorax. Je noue les lanières et je regarde les armes. Je pense pas en avoir besoin... Ou peut-être des armes plus... Non, je vais me contenter de celle à impulsion électrique. Je récupère celle au sol et sort de l'armurerie. Hors de question que je m'en aille si la brune est encore là. Et la dite brune s'arme d'ailleurs d'un bon nombre de truc, la vache. Ca fait Tom Raider, ça lui va bien. Je sors avec elle de l'armurerie et ricane.

- Rah si. Mais t'en a peu qui rivalise avec Tom Raider, wow..

Oh ok, ça fait très creepy. J'agite la tête de droite à gauche pour me concentrer sur la situation actuelle. Situation qui est de plus en plus compliqué. Qui semble dégénérer à chaque seconde, finalement. Je suis les quelques personnes qui reste jusqu'à la cours et je hausse les sourcils aux chevaux ailés. La vache, ils sont magnifiques. J'attrape les reines de ma main droite et hausse les sourcils. Encore. Je dois monter dessus ? Fuck.
J'entends d'ailleurs le commentaire de la brune et je lève les yeux au ciel. Bien sûr que je vais monter dessus. J'aurai plus de porter pour toucher Hydra. Je délaisse l'arme. Je n'ai pas suffisamment de bras, de toute façon. J'allais monté sur le cheval mais je me fais attraper par la brune. Je manque de me casser la figure à cause du pied sur l'étrier mais je me rattrape au dernier moment. Beka me tire par le col et rejoint nos lèvres sans attendre. Un contact rapide et elle recule. J'ouvre la bouche et hoche rapidement la tête.

- Oh.. ok ouais! Ok, je vais.. ouais. Ok !

Le facepalm n'est pas loin. T'aurais pu trouver un truc plus cool à dire mais il n'y a que ça qui sort hein. Je les regarder s'enfuir dans le ciel. Ok. Pas trop regarder en bas.. Je grimpe sur la monture et tiens les reines de la main droite. Je prends une profonde inspiration avant que l'animal ne s'envole déjà. Ok, ça fait flipper bordel. J'agite mon bras gauche et fait apparaître une première flamme de quelques centimètres jusqu'à ce que la boule ne fasse finalement dix centimètres de diamètres. Je vise les plus grosses machines et envoi les boules enflammées sur les points stratégiques que je peux desseller. Et j'espère qu'il ne reste que des soldats d'Hydra en bas parce que j'ai beaucoup de mal à différencier le tout avec la hauteur. Je tourne la tête en entendant Beka.

- Kamikazes ?! Mais je vais tout faire péter si je les enflamme ! C'est pas une bonne idée ! Merde !

Une des machines tire dans ma direction et je suis obligé de dévier fortement de ma trajectoire. Je descend un peu plus, perdant de l'altitude. Je cherche surtout une différente entre les machines pour repérer celles qui peuvent exploser. Des colonnes de flammes sont projetés vers les soldats d'Hydra mais je touche une machine et c'est l'animal qui a la rapidité nécessaire pour reprendre de l'altitude. A la suite, plusieurs robots explosent et je lève les yeux vers Captain.

- On va détruire Asgardia si je continue à faire ça ! Il y a pas un autre moyen ?!

(c) ANAPHORE

Resumaydelamortquitue:

la chute d'asgardia | Sujet commun

Virant soudainement sur la droite, Avril vit un missile passer à une poignée de centimètres de son visage, et elle ferma les yeux dans un réflexe incontrôlable. Mais non, pas de grand flash de lumière, pas d'explosion, juste la traînée du missile qui continuait sa route, se perdant au loin. Merde, il était vraiment passé très près celui-là. Avisant le Quinjet qui lui avait tiré dessus – un parmi toute l'escadrille qui lui collait aux basques – la jeune femme tendit le bras, et une rafale d'énergie arracha l'aile droite de l'aéronef, l'envoyant dans une course funeste vers le sol. Piquant à son tour vers le sol, Avril jeta un coup d'oeil vers le champ de force qui protégeait l'Armurerie, et qui tenait bon malgré les tentatives incessantes d'HYDRA de l'abattre. Quelle bande d'idiots. S'ils voulaient faire tomber le dôme, ils allaient devoir faire mieux que ça. Ou réussir l'exploit de l'abattre elle. Pour des maîtres du monde auto-proclamés, HYDRA semblait avoir du mal à comprendre que tant qu'elle était debout, abattre sa construction relevait de la mission impossible. C'était pour ça qu'Avril ne cessait de voler dans les cieux d'Asgardia, abattant toutes les forces d'HYDRA qu'elle pouvait atteindre tout en jouant au chat et à la souris avec eux. Une souris supersonique et shootée aux Bracelets Quantiques. Du coin de l’œil, Avril avisa Captain America et son équipe arriver devant le champ de force, et d'une simple pensée, toute la structure du champ se modifia afin de leur permettre de le pénétrer et de se mettre à l'abri. Et quelques instants plus tard, la voix de Cap se fit entendre dans son communicateur, lui demandant si elle était capable de transporter l'Armurerie toute entière dans les rues en contrebas « Ça... ouais, ça devrait pouvoir se faire. » Elle n'avait encore jamais tenté un truc pareil, mais ça ne devait pas être bien compliqué à réaliser. Wendell avait sûrement du faire ça des dizaines de fois tout au long de sa vie.

Lorsqu'elle reçut le signal de Steve, Avril s'arrêta de voler dans tous les sens, et elle braqua son regard sur l'Armurerie. S'entourant par instinct d'une bulle protectrice pour s'épargner toute intervention de la part d'HYDRA, Avril inspira un grand coup, et ferma les yeux. Puis elle laissa son esprit faire le reste. Elle visualisa sans mal le champ de force s'étendre jusqu'à faire une bulle parfaite, taillant la roche et les matériaux de construction Asgardiens aussi facilement que si ça avait été du beurre. Quelques mouvements de la main, et lorsque la jeune femme rouvrit les yeux, l'Armurerie était posée au beau milieu d'une petite place, et ses occupants commençaient déjà à s'éparpiller dans les rues « Au moins si je prends ma retraite d'agent spécial, je sais dans quoi me reconvertir. » Sans attendre un merci, Avril reprit son ballet effréné dans les cieux d'Asgardia, faisant passer un très mauvais quart d'heure aux forces aériennes de l'Hydre. Dire qu'elle aurait pu tout régler en l'espace de quelques secondes si elle l'avait voulu. Mais dans l'atmosphère terrestre, elle était incapable d'atteindre son plein potentiel, sans provoquer une catastrophe sans précédents au passage. Enfin, ça ne l'empêchait pas de tout ravager sur son passage, c'était simplement... plus long.

Mais alors qu'elle expédiait au tapis ce qui devait être sans aucun doutes un clone d'Iron Man – ou un type dans une armure signée Justin Hammer, les deux revenaient au même – Avril entendit l'annonce d'HYDRA, qui annonçait non sans une once de fierté mal placée leurs véritables intentions. Sans attendre, Avril porta la main à son oreille pour essayer d'atteindre le Triskelion, mais elle ne capta rien d'autre que... rien du tout. Ce qui ne pouvait laisser présager qu'une seule chose « Captain, j'ai plus la moindre liaison avec le QG. Je sais pas comment ils ont fait, mais ces enfoirés ont abattu le Triskelion. » C'était la seule explication. Même si HYDRA avait brouillé leurs communications, son lien quantique avec les consoles coms de la salle des opérations du Triskel était impossible à briser... hormis en détruisant les consoles en question. Mais ça n'était pas parce qu'elle avait perdu son lien avec la base qu'elle était devenue muette pour autant. La trentenaire tourna son regard vers un des Héliporteurs d'HYDRA, avant de lancer « Essayez de pas mourir, je reviens. » La super-héroïne s'élança à pleine vitesse en direction de l'Héliporteur, et elle se posa sans mal sur la passerelle, pulvérisant la verrière au-passage. D'un geste du bras, elle se débarrassa du personnel d'HYDRA présent devant elle, avant de se ruer vers le poste dédié aux communications. HYDRA avait beau brouiller les communications des défenseurs d'Asgardia et l'extérieur, ils ne pouvaient pas brouiller leur propre réseau. Tendant une main, Avril fit apparaître deux petites boules d'énergie, qui se mirent aussitôt en mouvement. La première pénétra dans la console juste en face d'elle, et la seconde ne mettrait pas plus de quelques secondes à arriver jusqu'à sa destination. Et la jeune femme ne put retenir un soupir de soulagement quand elle entendit une voix familière sortir des consoles « Avril? Putain je suis tellement content de t'entendre, on pensait que... » « Wendell, il se passe quoi à New York? » Il y eut un léger blanc, et l'ex-Avenger finit par répondre avec un ton fataliste « Si tu pose la question, c'est que t'es déjà au courant. Avril... ils ont la fille Maximoff avec eux. » Et merde. Si HYDRA avait sorti Wanda Maximoff du trou ou ils la gardaient enfermée, c'est qu'ils se moquaient bien de l'état dans lequel il prendrait la ville. On ne ramenait pas une arme de destruction massive à une bataille rangée quand on se souciait des pertes « Ok... je doute qu'on ait encore accès aux portails, et il nous reste plus beaucoup de téléporteurs ici, alors essaye de nous trouver quelqu'un qui peut faire le pont entre ce qu'il reste d'Asgardia et New York. Captain, vous avez entendu ça je suppose? » Avril avait laissé son micro d'ouvert, donc Rogers n'avait pas perdu une seule miette de sa petite conversation avec son mentor. La jeune femme n'avait pas la moindre envie d'abandonner Asgardia, mais ils ne pouvaient pas espérer battre HYDRA sur les deux fronts. Et Asgardia était perdue d'avance à la seconde ou les faces de poulpes avaient mit en branle leur plan. Et ils étaient tombés dans le panneau comme des bleus. Maintenant, ils étaient obligés de sacrifier la Cité s'ils voulaient avoir un petit espoir de sauver le cœur de la résistance contre HYDRA. Laissant libre cours à sa colère et à sa frustration, Avril tendit le bras vers une cloison dans un geste rageur, et la rafale d'énergie qu'elle tira traversa le bâtiment de part en part, endommageant le réacteur au passage. Avril attrapa une radio sur un type d'HYDRA histoire de garder sa liaison avec Wendell, avant de quitter le navire en perdition, et qui ne tarderait pas à être pulvérisé.

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Raysumay :

» l'assaut sur new york city (SUJET COMMUN - OUVERT A TOUS)
» la chute d'asgardia (SUJET COMMUN - FLOOD)
» sauver le soldat wanda (magnus dynastie, sujet commun privé)
» (topic commun) we could be immortals, just not for long.
» VALHALLA • archiver un sujet terminé