Bring me to life ||| ft. Thor Odinson

Bring me to Life
ft. @Thor OdinsonTu dois vivre, bats-toi. Ce sont ces mots que tu te répètes chaque jour, telle une prière religieuse, instinct naturel de survie. L'AIM a eut raison de toi, et te voilà prisonnière, captive, un vulgaire jouet à leur botte, Rebeka. Tout cela pour quoi ? Parce que l'A-Day a changé ta vie, à tout jamais, de jeune femme lambda tu es devenue un monstre. De la fierté de tes parents adoptifs, tu es devenue une abomination. Tout cela parce que, soudainement, ce pouvoir dont tu n'avais nullement connaissance a fait son apparition, sous des émotions fortes. La peur, de ce voleur qui s'est alors introduit chez vous pensant que personne n'était ici. Puis, toujours aussi effrayée, lorsque tes parents sont rentrés de leur dîner, et que tu as fais claquer la porte derrière eux. Ce regard hante encore tes nuits, tes pensées. Tu as fuis, tu t'es battue presque deux années durant, tu as été vaillante et courageuse, l'hispanique. Rebeka, jamais depuis ce kidnapping, duquel tu n'as aucun souvenir si ce n'est la peur, as-tu ressenti cela. Bats-toi. Il a suffit d'une minutes d'inattention pour que tout bascule, brunette. Pas assez rapide, non expérimentée, quel est le nom de ton pouvoir, de ta capacité ? Télékinésie. Utile, tu n'as pas besoin de te déplacer pour que les objets viennent à toi, ou aux autres d'ailleurs. Dangereux, hors de ton contrôle, tu ne sait pas comment t'y prendre. Tu souffres, Rebe, et le manque de fatigue ne t'as pas aidée. Tu es tombée dans une chasse à l'homme, non, une chasse à la femme. Tu fais partie de leurs cibles, tu n'est qu'un sujet a étudier, malheureusement. Inhumaine. Et te voilà prisonnière, transférée dans ce qu'ils appellent un Institut de Guérison. Ta vie, jeune Rivera, ne sera plus jamais la même.

Tu as été malmenée, par les agents AIM, par les androïdes, par tous. Tu as rêvé de cette vie stable dont tu bénéficiais pendant un temps, tu l'as idéalisé. Et malheureusement, la violence fait déjà partie de ton passé, dans certaines familles d'accueil, tu as reçu bien des raclées, inexpliquées comme rationnelles. Mais ici, c'est une autre histoire, c'est un tout autre degrés de animosité. Ici, tu connaîtras l'Enfer sur Terre. Rebeka, au sein de l'institut où tu es, tu seras traitée comme si toute humanité avait quittée ton être. Tu n'est qu'un passe temps, un objet de recherches, rien de plus, et tu subiras une batterie de test, essayant de comprendre ce gène qui te rends si spéciale. Mais toi l'audacieuse, en étant ainsi effrayée, ton pouvoir est incontrôlable, bien trop souvent, tu feras voler tout ce qui se trouve dans la pièce. Parfois même la personne présente, parfois même l'androïde. Tes larmes ne calmeront pas leur curiosité, bien au contraire, la supplications non plus, tu les incitent même a continuer. Jusqu'à ce que tu ne deviennes qu'une coquille vide, tu commences lentement a baisser les bras, belle espagnole. C'est en voyant ton corps que n'importe qui ici serait en mesure de comprendre, tu es brisée, pas seulement physiquement, mais mentalement, psychologiquement. Ton buste est violacé, les cicatrices, les blessures, tout ton corps porte la marque, aussi douloureuse soit-elle, des horreurs que tu as vécue. C'est lors d'une mission menée contre l'institut où tu te trouves que tu aperçois enfin une possibilité. Une chance t'es offerte pour retrouver une pseudo liberté, une pseudo vie. La première fois de ta vie où tu arrives a contrôler ta capacité, la télékinésie, c'est pour te sauver la vie. Tout s'enchaîne rapidement, et lorsque tu vois -enfin- la lueur du soleil, lorsque tu sens les rayons de l'astre de jour sur ta peau halée -pourtant pâle- une voix te pousses alors. Tu es vivante.

Tu cours, malgré la douleur, malgré les vertiges qui s'emparent de toi, tu ne sais pas où aller, tu passes la première nuit dans le premier train dans lequel tu réussis à t'infiltrer. Tu recommenceras la nuit suivante, et celle encore après. La journée, tu te battras comme il t'es possible de le faire, abîmant encore un peu plus ton corps meurtri. Jusqu'à ce qu'un panneau s'affiche. Oklahoma City. T'en a parcouru du chemin dis donc ! Mais t'es épuisée, tu n'as pas fermé l'oeil depuis plus de soixante heures, tu es faible et l'angoisse te gagnes de plus en plus, tétanisant ton corps tout entier. Tu as du mal a respirer, et c'est au beau milieu de la rue que tu perds connaissance. Et tu revis l'horreur derrière tes paupières closes, tu arrives malgré les soins qui t'ont été prodigués de ressentir l'infâme douleur qui fait partie de toi. Rebeka, tu es en sécurité, pourtant lorsque tu te réveilles en sursaut, tout lévite autour de toi. « NON ! » Que tu hurles, à bout de souffle, envoyant de l'autre côté de la pièce tout ce qui se trouve, arrachant même la perfusion à ton bras. Tes larmes prennent d'assaut tes joues poupines, et tu trembles telle une feuille morte sous le vent automnale. « Calmez-vous, vous êtes en lieu sûr ! Nous nous trouvons à Asgardia ! » Les mots n'apaisent rien, ils sont bien obligés d'appeler du renfort, et pas n'importe qui, un blond d'une grandeur indescriptible arrive, et ce marteau. Tu connais ce marteau, une divinité nordique a laquelle tu ne croyais pas. « Je... Non. Je ne veux pas y retourner, pitié. » Tu te redresses, en grimaçant, et quitte le lit où tu reposes. « Je préfère mourir maintenant que de retourner là-bas. » Tu tente de le repousser, mais à la place, la porte claque. Tu essais de nouveau, encore, encore et encore. T'es épuisée, et tu tombes alors que tu es sur le point de contourner le dieu devant toi. Tu le regarde, en larmes, secouant ton faciès dans un dernier geste désespéré. « Je vais vous attirer plus d'ennuis qu'autre chose. Je vais repartir... Je -- peux me lever. » Tu connais déjà la suite, ils vont tous te questionner, as-tu des parents ? Non. As-tu quelqu'un a contacter ? Non. Mais surtout, tu l'attends, cette question. Que t'est-il arrivé, belle petite brunette ? Tu sais déjà quoi répondre. L'Enfer.

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Bring me to Life
ft. @Rebeka Rivera Il y a de ceux qui comme moi avaient déjà quelques milliers d’années et qui n’étaient encore que dans leurs jeunes âges parce que c’était bel et bien le cas j’étais bien loin d’être l’homme qui étaient mourant et j’en avais vu des civilisations, que ça soit sur Terre, ou dans les autres royaumes que je devais protéger et dont je m’efforçais d’être digne depuis toujours. J’avais vu bien des choses, bien des prises de têtes et bien d’autres choses ce qui n’était jamais très simples, bien que ses derniers temps j’avais eu le temps de pouvoir voir tout ce qui manquait dans mon monde et les punitions de mon père m’avait appris au moins une chose c’était de connaitre un peuple qui valait la peine et avec qui je m’étais pris d’affection plus que grande c’était un fait et je ne pouvais pas dire le contraire. Une affection qui m’avait tout de même poussé à défier mon père, alors que sa réponse était pourtant très claire sur la question que je lui avais posée pour aider ce peuple avec qui il m’avait un peu forcé à cohabiter en me punissant et il se plaignait que je veuille les protéger ensuite ?

Odin n’était pas d’accord pour qu’Asgard devienne un refuge pour ses personnes innocentes, alors j’avais tout de même décidé de construire Asgardia afin d’être un refuge. Un refuge ou j’avais été suivis par d’autre divinité et autres guerriers de mon peuple. Donc ma douce ex petite amie, il fut un temps ce n’était pas toujours très simple. Mais pourtant c’était bien le cas, pas toujours très simple de vivre pendant un millénaire et d’avoir toujours la même passion constante même si Sif avait une place constante dans ma vie, je ne pouvais pas réellement me permettre de trop constater l’existence d’Odin ou même ses ordres. Mais je ne pouvais pas juste rester ainsi sans rien faire, alors que je pouvais au moins en protéger autant que je le pouvais. Contraindre un dieu était difficile, il n’y avait probablement que des dieux qui pouvaient se battre les uns contre les autres.

Ce qui était assez drôle c’était bien le fait que je n’avais jamais vu un de ses sales petits robots chercher à m’emprisonner, probablement parce qu’un coup de tonnerre et ses derniers étaient tout simplement foutu et que ça n’allait pas changer les choses. Bien qu’aujourd’hui nous étions en refuge, je faisais tout de même attention à qui rentrer sur Asgardia, enfin du moins surtout ceux qui venaient de sortir d’un des labos d’AIM. C’est d’ailleurs en ce jour qu’on m’avait prévenue qu’une personne, une jeune femme venait d’arriver sur Asgardia et qu’elle se trouvait dans un sale état. Elle devenait probablement de s’enfuir d’un des labos, ce qui n’était pas aussi aisée. Et comme toujours, munie de mon célèbre marteau après avoir quitté la pièce ou je déjeuner, je me rendis donc vers la jeune femme. L’observant dans un premier temps, elle semblait totalement effrayée. Et en vue de l’état de son corps je pouvais bien comprendre, laissant Mjollnir se poser par Terre. Mon regard se posa sur la jeune inhumaine qui était totalement paniqué et ça pouvait bien se comprendre dans un sens. « Nous n’avons pas l’intention de vous renvoyez la bas mademoiselle. Ce n’est pas le but d’Asgardia et encore moins pour participer à votre torture que j’ai créé Asgardia. » Dis-je simplement en regardant la petite brune, la rattrapant avant qu’elle ne touche le sol pour la reposée sur son lit malgré le fait qu’elle veuille partir, ça ne me faisait ni chaud ni froid cependant je ne la forcerais pas à rester si ce n’était pas ce qu’elle souhaitait. Bien que probablement dans les prochains jours, le temps qu’elle récupère. « Vous ne nous causerez pas d’ennuis. Ce monde est fait pour que vous puissiez être en sécurité, les robots qui auraient la stupidité de s’attaquer à des dieux seraient bien stupide. » Dis-je en regardant la brune, relevant sa tête pour la regarder dans les yeux, en me montrant probablement plus délicat que je n’avais l’habitude de l’être mais soit. « Je ne te forcerais pas à rester ici, si ce n’est pas ce que tu souhaites, mais pour les prochains jours tu vas rester ici. Tu as l’air épuisé et tu es bien plus en sécurité ici que si tu étais dehors mademoiselle. Reste quelques jours histoire de te reposer, manger à ta fin et si d’ici la fin de semaines tu veux partir, je ne t’obligerais pas à rester ici. Ca doit être un choix de rester ici, la seule chose que je te demanderais c’est de taire l’endroit ou tu as trouvé Asgardia si tu veux partir. » Bien que ce n’était pas vraiment un secret, et même si nous avions une technologie un peu plus avancé que les humains, ça ne changeait pas que je ne souhaitais pas à ce qu’on connaissent toutes les entrées.

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» Thor Odinson
» Thor Odinson - Fortunately, I am mighty!
» i had all and then most of you ; some and now none of you (thor&wanda)
» you can have anything in life if you will sacrifice everything else for it. ☽ nico
» Matty Ampli Moran is looking for life