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 Susurros de palabras que estallan en el agua • ft. Matthew Brown

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AuteurMessage
Rebeka Rivera
Rebeka Rivera

double face : Gwendolyne Stacy sosie : Claudia Salas dialogue en : #C67171 p'tit nom : Lucy balles tirées : 26 en cavale depuis le : 18/12/2020

bougies soufflées : Vingt cinq !
double identité : Telekinesia
gagne-pain : Thanato - Biologiste sans diplôme...
ligne de coeur : Célibataire.
génome : Inhumaine

bordel : Matthew | Thor | Peter | Y tù ?

MessageSujet: Susurros de palabras que estallan en el agua • ft. Matthew Brown   Susurros de palabras que estallan en el agua • ft. Matthew Brown EmptyMar 11 Mai - 2:51

Susurros de palabras que estallan en el agua.
ft. @Matthew Brown

Les corps n'avaient de cesse de s'entasser, les pertes, aussi bien du côté de l'hydre que de votre côté, héros. Tu as forcé, énormément, jusqu'à perdre connaissance entre les débris, jamais tu n'as autant utilisé tes pouvoirs, jamais tu n'as vu pareil bataille ailleurs que derrière un écran. Mais la réalité est là, Rebeka, tu as tué autant qu'ils ont pu marquer ton corps par le passé. Pour chaque cicatrices, pour chaque traumatismes, tu leur a fait payé au centuple. Tu as découvert là, caché au plus profond de ton âme cette soif de vengeance, pour toute l'humanité dont on t'as privée. Les machines qui appartenaient à AIM par le passé, tu ne pensais pas les revoir un jour, tu ne pensais pas les affronter à nouveau. Ton cauchemar a repris vie, et pourtant tu n'as pas flanché, seuls quelques gestes, seuls certains bruits étaient là pour te rappeler la cruelle vérité : tu ne seras plus jamais la même. Pas après AIM et les laboratoires de tortures, les pseudo instituts de guérison, et tu ne seras plus la même après cette bataille, celle de New-York. Pas après la disparition du premier endroit où, dans ta triste vie, toi l'enfant volée, tu t'es sentie dans un véritable foyer. Mais tu es là, dans les débris, tu n'as pas conscience du chaos alentour, tu n'as pas conscience de savoir si la vie te quitte ou si tu es à nouveau captive. Mais le silence est pesant, le silence règne en maître et tu ne sais pas si il est rassurant ou effrayant. Tes paupières peinent à s'ouvrir, la lumière t'éblouies, tu ne sais où poser tes iris grisés, ton bras lui est toujours amoché, ta jambe gauche remplie d'ecchymoses. Mais l'azur du ciel s'offre à toi, tel l'espoir qu'un nouveau jour se lève, et que la paix règne sur Terre. Est-ce un rêve, une utopie, ou tout simple la vie après la mort ? Il n'y a qu'en te battant un peu plus, en luttant pour te dresser sur tes deux pieds pour arpenter les rues afin de comprendre.

Et c'est en te tenant contre l'angle d'un immeuble que tu regardes la ville qui elle ne semble avoir connue aucune bataille. La calme est de retour, il n'y a plus ni morts, ni cendre, ni fumée, encore moins HYDRA ou les Héros avec lesquels tu combattais. Etait-ce là un mirage, une illusion sous tes yeux rempli d'incompréhension ? Le néant. Les oiseaux chantent de nouveau, l'odeur du gazon fraîchement coupé effleure à nouveau tes narines. Aux oubliettes la fumée obstruant tes poumons, le sang volant en rythme avec les rafales des armes à feu. Plus de cris ni de pleurs, plus de ferraille explosant à l'impact. Le silence. Mais tu connais ce paradis remplies de beaucoup trop de perfection, tu as déjà vu ces images, tu les a chéries un temps seulement. Parce que la réalité était toute autre. AIM a malmené ton corps et ton esprit, tout ton être jusqu'aux profondeurs de ton âme. Quand ce n'était pas des tests corporels, des tests psychologiques, tu avais le droit à ces machines qui te faisaient vivre l'enfer sur une Terre saine. Le vent souffle, et ta chevelure vole avec lui, elle danse allègrement et en replaçant quelques mèches derrière ton oreille, tu observes, tu restes attentive. Et quand au coin de la rue tu aperçois -enfin- quelqu'un tu plisses les yeux, ta vision est troublée par l'épuisement, et pourtant la silhouette se dirige à vive allure sur toi. L'impacte de son corps contre le tiens est douloureux, tu hisses sous celle-ci, mais te laisses faire, bien trop affaiblie pour mener une nouvelle bataille. Mais l'homme te serrant dans ses bras se redresse et son visage, tu le connais, tu l'as côtoyé depuis ta sortie des Enfers. Matthew. Ses mains s'emparent de son visage et voilà qu'il t'attires jusqu'à ses lèvres dans un baiser lourd de sens. Tu es perdue, tu ne sais pas si c'est un rêve ou la réalité, mais tu y réponds, prolongeant le moment jusqu'à ce que l'air ne vienne à vous manquer.

« Matthew je... » Mais ta voix se brise, parce que tu observes le calme alentour et les flashs assaillent tes pensées. Portant ta main valide à ta tête, tu recules par peur, plongée dans un soudaine panique. Tu recules par instinct de survie. « Non... Non ce n'est pas réel... » Tu secoues ton visage qui lui commence à être bordés de larmes, tu fronces les sourcils, ton regard se perdant sur l'asphalte du trottoir. « Tous ces morts... La flammes, les cris, le sang... » Tu penses perdre la tête, et les souvenirs attaquent ton esprit encore et encore, telles des décharges électriques, grimaçant sous chacune d'elles. « Non... Tu n'es pas réel. T'es pas mon Matthew. » Il n'est pas le tiens, il ne peut être qu'une machination de soldats de l'hydre prêts à tout pour te manipuler, pour te faire du mal eux aussi. « Je suis encore sur une de ces machines. T'ES PAS REEL. » Hurles-tu en te plaquant contre l'immeuble glissant au sol, l'air commence a manquer à tes poumons, se gonflant difficilement. Tes mains tremblent, et tes vêtements en lambeaux, tâchés de sang, tu as la vision d'il y a quelques mois déjà, celle de ton corps meurtri, de tes blessures à vif, de ton humanité bafouée. Mais dans l'horreur, la douce voix de Matthew parvient à ton ouïe, une phrase, cette phrase. Veillent sous mon lit les flammes de mon ami. Veillent dans mon esprit, les espoirs de mon amie. Tu plonges alors ton regards grisonnant dans le sien, et te jettes à corps perdu dans ses bras, t'agrippant d'un seul bras à lui, les larmes ne cessant de rouler sur tes joues maintenant pâlottes. « Matthew... Les laissent pas m'emmener. Pitié, me laisse pas toute seule... » T'es effrayée, ce monde si parfait, tu ne comprends rien, absolument rien à tout ce qu'il a bien pu se passer. « Je veux pas y retourner. Je t'en supplie, les laissent pas m'emmener... » Mais ça va aller Rebeka, parce qu'il n'y a plus de tortures prévues, il n'y a que le bonheur que t'attends, et il te serres déjà dans ses bras.
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