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 I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly

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Gwendolyne Stacy
Gwendolyne Stacy

double face : Rebeka R. & The Winter Soldier sosie : L. Reinhart dialogue en : #DB7093 remerciements : LucyLullaby p'tit nom : Lucy balles tirées : 110 en cavale depuis le : 18/11/2020

bougies soufflées : 27ans (16 Juin 1994)
double identité : Ghost-Spider - Spider-Gwen
gagne-pain : Avengers, rien que ça. Merci Stevie Wonder !
ligne de coeur : Partage sa vie avec un tégénaire drôlement sexy.
génome : Humaine mordue par une araignée, finger in the nose.

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Benny | Peter | Matthew | Cap | Kaine | MJ | Crew | Avengers | Maybe you ?

MessageSujet: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptySam 21 Nov - 23:01

I'm here, mainly for you


Elle était revenue, et son seul espoir était de retrouver son âme sœur. Car oui, il n'avait eut de cesse d'envahir ses pensées durant ces deux dernières années, Benjamin. Elle s'était énormément inquiétée pour lui, et même si, du point de vue de sa sécurité, le brun était a même de le faire seul, c'est plus sur sa fragilité que Gwendolyne avait peur. Lui qui était en quête de réponses, aux nombreuses questions qu'il pouvait bien se poser sur toute son existence. La blonde n'avait aucunement confiance dans les agissements de l'AIM, pour sûr, ils pouvait vous retourner le cerveau en moins de deux, et c'est bien cela qui l'effrayée. Comment allait-elle réagir si ils avaient réussi à l'avoir lui ? Ils pouvaient très bien s'en prendre à n'importe qui, mais pas à son plus cher ami, qui au fond d'elle n'en était plus vraiment un, vu les sentiments. Mais tout ça aller rapidement être réglé, l'araignée était de retour, et sa mission première était de s'assurer du bien être de sa moitié, quoi qu'il lui en coûte, et peu importe dans quelles conditions.

Et si aujourd'hui aurait pu être une journée des plus banales pour la jeune femme, elle n'allait pas pouvoir relâcher la pression de sitôt. Un réveil en sursaut, encore et toujours, une douche chaude rapide, comme si celle-ci allai pouvoir apaiser son âme. Et une tenue des plus banales à ses yeux, un pantalon de cuir noir, une chemise blanche dont un seul côté était rabattu à l'intérieur, et quelques boutons non fermés au col, elle se para d'un poncho en guise de manteau, le col roulé de celui-ci la protégeant du froid. La blonde, déterminée à retrouver Benny, elle partie à sa recherche dans les rues de... Oh, elle n'avait que faire de où elle pouvait bien être, sa priorité n'était autre que lui, et uniquement lui. Alors, paraît de ses bottines à talons, car oui, elle est et sera toujours le genre de femme à l'aise dans une paire de dix centimètres, autant que dans des baskets. Et surprenant, la seule à porter des lunettes de soleil en plein mois de Novembre, ce ne pouvait être qu'elle. passer incognito, c'était là sa règle d'or. Son bonnet cachant un peu ses cheveux, tout était fait pour être la plus discrète possible.

Et c'est une habitude qu'elle prit de ses nombreuses expéditions durant les deux dernières années, faire comme si elle n'était personne du moment que la mission ne commence pas. Il faut savoir être futée par moment quand votre survie est en jeu, ou était-ce la liberté ? Qu'importe, au fond. Elle n'avait pas retenu le nom de cette ville, aux abords de la grosse pomme, c'était là le cadet de ses soucis, et dieu seul sait qu'elle s'en faisait, l'Arachnide. Bien sûr, elle aurait très bien pu se rendre à l'endroit exacte en tissant maintes et maintes toiles, mais voulant jouer la sécurité, ce n'était pas là la meilleure idée du siècle. Mais le froid s'emparant de tout son être, elle se présenta dans un lieu au hasard, noir de monde, sans forcément annoncer son arrivée, ou presque, puisque seul le claquement de ses talons sur le sol indiquait qu'une nouvelle personne était là, en chair et en os. Ils semblaient tous avoir un sujet de discussion autour de l'actualité, son actualité à personnelle, la Justice. Elle s'installa alors sur un vieux fauteuil, éloignée du petit groupe, croisant ses jambes en soupirant. Après avoir enfin retiré ce qui l'abritait du froid, relâchant sa chevelure d'or de l'emprise de son bonnet, elle prit appui avec son coude sur sa cuisse dominante, reposant toutefois son menton dans la paume de sa main gauche. « On est là pour boire le thé, ou pour enfin rétablir la justice ? » Dit-elle en souriant grandement, bien que visiblement agacée. Mais la surprise qui suivit était de taille, le brun dos à elle se retourna, et son visage se figea, neutre de toutes émotions ou presque. Et si les larmes lui montèrent aux yeux, elle se retint de se laisser aller de la sorte face à ce petit groupe, redressant son visage, et pinçant doucement ses lèvres, après un possible long moment de silence, sa voix, loin de toute assurance, sortie timidement d'entre ses commissures. « Benjamin ? » Se redressant, elle s'avança, lentement, n'ayant aucune idées si elle pouvait alors courir se blottir dans ses bras. Bien trop de possibilités se présentant à elle, elle n'osa rien dire, ou rien faire de plus, laissant le brun juger pour une fois, de la suite des événements.





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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyLun 23 Nov - 15:41

gwen & ben

       

Je le savais. Et pourtant, j'ai nourri l'infime espoir que cela ne se passe pas de cette façon. J'ai caressé l'utopie, j'ai volé trop proche du soleil et j'ai ployé face aux flammes inextinguibles de mes trop faibles ambitions. Je savais qu'en demeurant à New York, je pouvais être débusqué du jour au lendemain. Mais j'ai essayé. Je suis resté. Je me suis projeté dans un lendemain où personne ne ferait attention à moi, et où je n'aurai nul besoin de faire attention aux autres. Mais non, il est clair que je me faisais des idées. À partir de quel moment me suis-je dis que cela fonctionnerait ? J'ai avorté les angoisses. Mon menton s'est, de nombreuses fois, réfugié dans mes bras croisés. J'ai contemplé la ville... morte. Cherchant naïvement quelque chose qui au fond puisse apaiser ces maux. Ces maux que j'ai causé à moi-même. Me retournant vers l'horizon, tout me semblait désormais plus laid. Les couleurs ternes, le vend désagréable, un hiver qui me semblait humide...

Il a suffit qu'elle s'éclipse, et le tout a perdu de son confort. C'est pour cela que je dois la retrouver. Après l'avoir convaincu de sauver sa peau, je me retrouve à fuir la mégalopole pour la retrouver. L'enquête fut rude, mais au vue des dernières manifestations, je pouvais m'assurer de la retrouver. Nous ne guérissons jamais de ce qui nous manque. Nous nous adaptons, on se raconte diverses vérités. On doit vivre avec nous-mêmes, avec la nostalgie de toute une vie. Décider un instant que nos chemins doivent se séparer. Inconcevable. Parce que le pire est d'être celui qui reste, celui qui aime encore. Je ne la traque pas, je la recherche avec besoin irrépressible de... Je ne sais pas. Je n'ai qu'un instant. Je lui envoie alors l'éternité en l'espace d'une simple minute. L'infini dans un simple mot.  Alors, la voir, dans l'instant éveille en moi un sentiment de plénitude. Ma casquette me rendrait uniquement reconnaissable pour elle, mon style vestimentaire ne lui échappe pas. Une veste en jean recouvrant un sweat à capuche. Un jean sale, mais un visage qui ne peut lui échapper. Me retourner, l'apercevoir... Son itinéraire était le bon. J'ai vu juste...


« Gwen... »


Gwen, accueille moi, j'arrive dans la vie. Je suis prêt à dépenser l'existence au gré de notre envie. J'abandonnerai mon âme à loisir pour l'attrait du plaisir de te retrouver chaque soir n'importe où. Ne pas écouter le bruit, tout laisser s'éteindre, s'évanouir et que s'impose le silence. S'asseoir et attendre. Alors vient la certitude de l'être aimé. J'ai fermé les yeux, toutes ces nuits depuis son avancée. De nouveau, elle se présente. Sous une lumière nouvelle qui sublime la nature et les villes. Mes lèvre s’entrouvrent, mais je contiens cette effusion d'émotions. Le lieu ne s'y prête pas. Et pourtant, je retrouve l'irrésistible envie de la prendre dans mes bras. Mes doigts tremblent, mon esprit est en proie à la confusion. « Je t'ai retrouvé... » Une faible intonation qui souligne pourtant une joie ne pouvant se quantifier. Le bruit autour de nous s'accentue, et je m'approche d'elle. Pas à pas, je me saisis de sa main pour nous emmener à l'extérieur de cet endroit. Rêverie, vapeur de la pensée. Non elle est réelle. Elle me dépouille du superflu et alimente ma positivité au sein d'une richesse que nul autre ne peut avoir.  Difficile ont été ces nuits où je me suis demandé ce que le futur pouvait nous réserver. Difficile, de se dire qu'il faut prendre comme cadeau ce que la journée nous apporte. Et pourtant, c'est ce que je fais.

Mes mains se calent sur ses joues, comme si je tentais de réaliser, elle est réelle. Elle vient m'inspirer les émotions les plus fortes...

« ... J'aurais dû partir avec toi à ce moment, je suis désolé Gwen. Je... Tu es là. »



(c) REDBONE



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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyMar 24 Nov - 0:25

I'm here, mainly for you


Il était là, de ton son être, sous ses yeux ébahit. Et diable qu'il n'avait pas changé. Gwen était sûre d'une chose en apercevant de nouveau les traits de son visage, l'entièreté de sa présence. Les sentiments hurlants du plus profond de son âme étaient bels et bien de l'amour, et sans nul doute le plus pur qui soit. Parce qu'ils se sont rencontrés en étant eux même en quête de réponses, n'en trouvant qu'une seule en commun. Cette casquette, elle aurait dû le voir venir à des kilomètres, et pourtant, elle n'avait pas grand espoir de le croiser. Il avait toujours le même style vestimentaire, comme si la veille ils venaient de se séparer, et pourtant le manque lui ne mentait pas. Beaucoup trop de temps loin de lui. Et sa voix, Ô sa voix faisait oublier les deux dernières années à la tête blonde du duo. Il tremble, ce n'est peut-être pas perceptible pour les autres, mais il y a des signes que ne trompent pas pour l'Araignée, elle le connait, peut-être plus qu'elle-même ne puisse en savoir sur sa personne. Il l'a trouvée. Timide, mais elle était pourtant bien là, en chair et en os. Le bruit se fait plus intense alors, et la jeune Stacy ne recula pas lorsqu'il s'avança, au contraire, elle tendit simplement son bras pour attraper ses affaires. Comme si leurs esprits étaient de nouveau -enfin- reliés, il ne comptait pas rester ici, un besoin d'être seuls, rien que tout les deux. Et lorsque leurs mains se rejoignirent, un contact, la glace autour du cœur de la femme se brisa, laissant place aux émotions usant ses entrailles. De l'air, ils en avaient bien besoin.

Et les voix laissèrent place aux sons de la nature, de la ville, de la vie. Elle eut à peine le temps de se couvrir convenablement afin que le froid ne s'empare pas de nouveau de tout son être. A visage découvert, elle tenait encore ce masque d'inconnue dans ses mains, ne voulant en rien quitter son visage. Ces traits qui lui avaient tant manqués, sa présence, non, elle voulait pleurer de joie, de soulagement, et empêcha pourtant ses yeux de laisser une quelconque larme percer au grand jour. Non, elle devait être forte, elle est forte. Jusqu'à ce que un nouveau contact s'offre à elle, ses menottes sur les joues rougies par le froid, la chaleur de sa présence. Un simple contact physique, et pas seulement, un échange de regard s'y accompagna, un soupire aussi. S'en suivit rapidement les regrets qu'il avait dû ravaler depuis toutes ces années, des excuses, mais sa présence. Oui, elle était là, changée, mais belle et bien là. Fini les voyages aux quatre coins du monde, les missions à travers vents et marées. Ou du moins, fini de vivre dangereusement loin de lui, Benjamin. Mais le silence qu'elle garda n'était pas la meilleure manière de le rassurer. Un sourire radieux s'installa sur ses lèvres délicatement roses, une larme s'échappant enfin de ses prunelles humides. « Je suis là. » Souffla-t-elle à demi mots. Avant de céder à son envie folle, une étreinte. La chaleur de son corps, son coeur battant là, juste sous le sien, deux pièces de puzzles ne pouvant ainsi plus jamais se quitter. « Ne t'excuses pas. S'il te plais, tu étais sans l'ombre d'un doute plus en sécurité ici qu'à mes côtés. »

Ca oui, elle en avait parcourut du chemin, des épreuves. Certaines parcelles de son corps en portait encore les stigmates, régénération surhumaine ou non, elles étaient bien là. Un souvenir. Mais le plus important la tenait maintenant dans ses bras, rien de plus, rien de moins. Elle se recula, sans pour autant que ses mains ne quittent l'emprise autour de sa nuque. « J'ai eu si peur pour toi, Ben. C'est moi qui aurait dû rester avec toi, qu'importe les conséquences. » Mais le danger rôde, elle devait surveiller ses arrières, qu'importe le lieu où elle se trouvait. Comme une mauvaise habitude, même après que tout ce chaos ne soit fini, il n'y avait que dans ses bras qu'elle se sentait pleinement en sécurité. Sans plus tarder, remettant bonnet et lunettes, elle l'entraîna alors avec elle à travers les ruelles. Un lieu sûr, ils avaient besoin d'un lieu où elle pouvait être elle-même. Son petit appart, son squat, sa planque. Oui, il n'y avait que là où elle pouvait prétendre à une presque tranquillité, et une fois en ces lieux, elle pu se débarrasser de sa protection contre le froid, dévoilant les courbes féminine de son corps au travers de ses vêtements, sans doute trop proches de celui-ci. Mais elle avait besoin de lui, d'un contact. Son corps si près du sien, elle contempla l'azur de ses prunelles. « Benny, je... Tu m'as tant manqué. Je n'ai pas les mots... » Elle voulait déjà céder à une autre pulsion, lui faisant ainsi comprendre qu'elle l'aimait, que sans lui, et tout comme lui, loin de sa présence, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même. Pourtant, sans même s'en rendre compte, son visage s'approcha, se stoppant à bonne distance, comme l'attente d'un accord tant espéré.





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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyMar 24 Nov - 21:55

gwen & ben

       

Ce monde pourrait paraître d'un ennui essoufflant, et au plus profond de moi je nourris la conviction que nous pouvons apporter quelque chose à ces ruines du passé. Mes yeux ne peuvent se séparer des siens, ils en perdraient toute confiance - toute lumière. L'avenir deviendrait un bien sombre tombeau, cerné d'un monde différent du sien. Alors qu'à ses côtés, dans une simple marche, je me sens capable de briser la profondeur de l'immensité. Je peux désunir la vie, anéantir la mort, éliminer l'hivernale ossature de la peur pour n'en faire naître que l'ambition. C'est dire ce qu'elle peut m'apporter dans cette vie qui appelle bien trop à la division. Tout nous encercle, nous et nos confuses paroles. Comme de longs échos qui de loin se confondent dans une ténébreuse et profonde clarté. Les parfums, les couleurs et les sons se répondent - nos regards se confondent.   Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, les deux araignées que nous sommes se répondent avec une articulation gracieuse. Elle me donne l'expansion des choses infinies, en un mot, un sourire et une phrase. Gwen, cette blonde déité en laquelle je crois depuis bien plus longtemps que je me permet de penser. Parfum familier que mon odorat se souvient, et qui ne cesse de flatter mon existence.. Comme si en elle, j'y retrouvais la force. Cette force. C'est de cela dont parlait Karen. Me trouver une raison d'être.

« C'est pas aussi simple, l'AIM a réussi à me débusquer. Si j'étais resté à New York, je serai dans leurs laboratoires à l'heure qu'il est... »

Une confession à voix basse, pour ne pas trahir d'où nous sommes issus. Et je me vois déjà l'emporter loin de tout ça, loin de cette vie de fugitif, de justiciers... Mais cela coule dans nos veines et l'immense sensation de plénitude prend le dessus, elle est là. Et c'est tout ce qui compte au final... Et tout nous mène à cet endroit où la discrétion n'a plus à être de mise. Un endroit clos où personne ne peut briser cette sphère. Les murs ne semblent pas avoir d'oreilles, au dernières nouvelles. Une fois débarrassé de ma veste, mon sac finissait sur le sol. Dans ce dernier, tout l'arsenal qui faisait de moi le héros que j'ai décidé d'être. J'emploie l'écoute la plus sincère, ses mots sonnent alors comme un réconfort, comme si je vivais une nouvelle vie. J'abandonne cette vie de barman. Cette vie insignifiante pour retrouver ce que j'ai de plus cher. « Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler Benny... » Un brin de sarcasme ponctué par un sourire plus ou moins visible, elle savait selon l'intonation que ce n'était pas la première fois que je m'en plaignais comme un enfant peu satisfait. Mais son visage s'approche non dangereusement du mien. Dans un monde où ce à quoi l'on tient peut disparaître sans laisser de traces, du jour au lendemain, chérissons ce que nous possédons. Protégeons ce qui en vaut la peine. Laissons mourir le poison qui rampe jusqu'à nous.

Nul ne peut retenir le temps. J'oublie que ce dernier ne fait que passer - il ne s'arrête pas. Là, ce n'est pas parce que je ne sais pas parfaitement où nous mènera tel ou tel chemin que je dois forcément rester figer. Mais ses mots, viennent exploser cette forteresse de solitude. Ces incertitudes, tout vol en éclat. Même la peur du lendemain n'est pas présente. Non, à présent c'est un regard qui évolue. Je lui adresse un regard qui ne sait trouver l'équilibre, mais mes lèvres viennent s'élever, lentement. Elles soulèvent une humeur, un sentiment de réconfort. Quelque chose comme ça. Quelque chose comme une caresse, quelque chose comme de la chaleur au sein de l'être. « Toi... » Un ton faible, qui ne laisse aucun doute sur l'absence de manque. Plus... un léger amusement, une légère fierté qu'elle se soit positionner sur la question. Mon regard se plisse d'une intensité prononcée. Il véhicule monts et merveilles, il véhicule autant de messages... qu'elle saurait les décrypter. Elle saurait aussi remarquer que d'un pas, je m'avance vers elle. Que le monde entier, autour de nous, aille se faire foutre. Parce qu'à présent, c'est notre instant. C'est celui où mes lèvres capture les siennes avec une passionnée presque irrationnelle, une profonde fougue. D'un élan de courage, sans doute mal placé. Je lui écris par la gestuelle. Ces trois mots et sept lettres.



(c) REDBONE



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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyMer 25 Nov - 1:27

I'm here, mainly for you


L'AIM, cette plaie. De héros à coupable, de tout ce qu'ils défendent depuis l'éternel. Comme si l'erreur ne pouvait trouver sa place dans le hasard de la vie, comme si, un beau jour, le bien voulait faire le mal au point de détruire tout ce pour quoi ils se battaient. Envers et contre tout. Douce hérésie, utopie où ils plongèrent l'humanité entière. Il était en danger, et son cœur peiné. Elle aurait dû tisser des toiles plus tôt, afin de venir à son secours, à sa rencontre. Forte était la chance que jamais il n'eût fini dans leurs laboratoires, Ô triste torture. Faux scientifiques, implacable curiosité qu'était l'humanité pour eux, ils s'essayaient à devenir des savants. Mais ils laissèrent pourtant la folie s'emparer d'eux, du monde entier. Le principal n'était autre qu'il était désormais en sécurité -bien que pas tout à fait- mais encore plus, réunis. De lui et elle à eux. Une réunion cartésienne, ils se cherchaient mutuellement, et le simple fait de sa découverte recolla les morceaux volant en éclats deux ans plus tôt. Benjamin. Ce nom gravé au plus profond de son existence, sa plus belle rencontre de ses vingt-six années de vie.

Et puis, la chaleur de l'intimité, d'un instant loin de l'animosité environnante. Se dévoiler changée, devoir arborer des vêtements presque sages. Enterrer la douce époque de l'enfance, temps de l'innocence. Voler en éclat la joie de sortir, d'être soi. Héroïne du jour devenue meurtrière de la planète. Fini les voyages à l'autre bout du monde, cette presque vie de chimiste, d'aventurière. Divers aptitudes pour une seule cause. Ô douce Justice. Et puis, vînt le temps de l'admiration, des retrouvailles péniblement méritées. Abandonnant l'abri délicatement posé sur leurs épaules, prêts à parer l'hiver naissant. Il était toujours lui. Avec ou sans les réponses tant désirées, son regard n'avait pas changé. Il était là, comme dans ses souvenirs, chimères du passé évanoui. La guerre, le chaos, l'apocalypse, qu'importe le nom de ce nouveau monde, le sien portait celui de l'être tant espéré. Des sentiments descriptibles que par trois petits mots, aussi simples soient-ils. Et puis vint le temps d'un surnom, qui ne lui sied guère, signifiant qu'elle était prête. Oui, mais prête à quoi ? A répondre présente à ses côtés, pour l'éternité. Sa voix, touchée par le sarcasme si familier, pas de Benny, pour lui du moins. Comme si après deux ans loin l'un de l'autre, elle arrêterait de le taquiner. Diable Ô grand jamais, parce qu'elle aimait, autant qu'elle pouvait l'aimer, l'entendre geindre comme l'enfant devenu adulte qu'il est.

Mais la terre entière pouvait bien disparaître, accompagnée d'un nuage de fumée. Elle n'en avait que faire, du moment qu'il était avec elle, près d'elle, rien qu'à elle. L'horloge de la vie n'attend pas, l'amour ne périt pas, il patiente. Sagement, attendant le retour de cette partie manquante de l'âme. Le chemin ne connait pas de fin, il s'agrandit, comme le corps vieillit, petit à petit, pas après pas. Et si demain n'existe pas, peut l'importe, la tégénaire, du moment qu'on ne lui arrache plus l'essence de sa vie. Ne plus laisser la distance si douloureuse entre eux, cet épais brouillard les emprisonnant l'un sans l'autre. Ne pas trouver les mots, mais lui faire savoir, ce que le cœur hurle mais que les vocalises emprisonnent. Elle. Si mélodieuse, des paroles tant espérées un son recherché jusqu'au tréfond de l'enfer maintenant vide, puisque les démons sont dès à présents ici. Mais les yeux sont messagers de l'âme, et ils ne mentent jamais. Oublier les misères du monde pour eux. Nous. Vient le temps d'une douce caresse, celle de ses lèvres, rencontrant -enfin- les siennes. Fougue passionnelle, amour sincère. Aucuns rejets, ses mains agrippées à sa nuque, elle ne voulait plus le laisser s'échapper. Cocon rien qu'à eux.

Seul l'air, qui venait à manquer l'obligea à se séparer. Mais sans jamais s'éloigner de trop, le temps d'un regard. Nouveau-né. L'amour, dans toute son entièreté. Un tendre sourire, accompagné d'un léger rire, comme si l'évidence était innée. Mais qu'écris-je, elle l'est. Mais elle devait le dire, le faire parvenir jusqu'à son ouïe. « Je t'aime. » Douce félicité, tendre ivresse qui vous empoigne le palpitant. Voici venir le temps de savourer la vie. De rire, un peu plus, venant jouer les acrobate tout contre lui, dans un saut léger et délicat. Prendre appuie sur la musculature de ses épaules, et emprisonner ses hanches de ses jambes. Jouer les koalas le temps du reste de leurs vies. Un soupire, soulagée, elle revint à l'attaque de ses lèvres, son corps plus près que jamais du sien. Hardiesse de l'instant présent, échange bouillonnant. « Je ne veux plus jamais être séparée de toi. Benjamin Reilly. » Un murmure hurlant de vérité, rien ni personne ne pouvant l'en empêcher. « Plus de toi, ou de moi. J'ai tant espéré un nous ces deux dernières années. Ben, un nous. » Un tout. Un théorème enfin complet. L'authenticité.





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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyMer 2 Déc - 10:42

gwen & ben

       

Ô prélude amoureux, rituel des âmes en peine. Nos lèvres deviennent fougueuses, elles goûtent, mordillent. Les langues se délient de sincérité mais aussi par la sensualité. Un cœur est assez grand pour embrasser toutes les formes de ressentis. Mes sentiments se condensèrent pour rejoindre le tombeau de mes autres affections. Béatitude manifestée. Embrassons-nous, infortunés. Pressons nos cœurs gonflés l'un contre l'autre, jusqu'à ce que la peine se soit totalement déversée. Oublions le ciel et la terre, et prolongeons cette étreinte céleste. Aussitôt séparés, je ressentirai cette vie, épuisée, qui n'a plus rien à nous offrir qu'une nouvelle existence. Comment puis-je aimer ce que je ne peux embrasser ni du regard, ni de la pensée. Comme aiguiser cette attirance, comme invoquer l'incendie à partir d'étincelles sous la pluie battante de la mélancolie ? Le cœur battant, les lèvres en feu, dans la volupté la plus pure. Ici-bas, nous voilà sans boussole. Mon cerveau façonné s'est alors mis à déconstruire les obstacles de ma vie, il anesthésie mes maux. Le chagrin ne grandit pas, les murs qui nous ont vu grandir eux nous observent. Amants, prêts à escalader le monde. Le musée de ses pensées éclate alors, nous nous sentons plus que vivant. La rigidité du monde nous permet de nous en façonner un plus confortable.

Où juste elle et moi avons conscience de ce qui est le plus important. Nos cris de peur deviennent des cris d'ambition, dépassant le rebord d'une fenêtre avec vue sur le néant. Notre gloire personnelle, celle de rendre le monde meilleur. Un peu plus, chaque jour. Mais nous l'avons fais chacun de notre côté, et une fois réunis... J'ai la conviction qu'aucune force ne peut nous perturber... Avec la sensation constante qu'ensemble, le ciel nous coupe du crépuscule et laisser germer le sublime aurore. Il nous empoisonne d'un frisson ineffable. On chasse fatalement le néfaste, aucun martyr, juste de nobles causes. Parfois nos silences sont bombardés par les froides étoiles d'hiver, empêchant nos êtres de s'épouvanter, rendant ce silence alors ... agréable. Il n'y aura plus d'abruptes séparations. Une seule déjà une extrême déchirure. Loin de moi, mes rêves étaient envahis de nos moments partagés, souhaitant un retour de cette femme qui a toujours su trouver le moyen de me faire sourire. Images trop vivantes du songe, âme transcendante qui disperse les nuages hostiles au-dessus de ma tête. En ouvrant les yeux, je réalisais alors une nouvelle fois la poussière de son absence.

« Le monde en attend beaucoup de nous. Je tiens à me tenir à tes côtés quand nous allons devoir faire nos preuves... Je veux t'aimer, encore. Et encore. »

Une faible intonation. Nous nous aimons, profondément. Les combats à mener arriveront, et nous nous dresseront, intensément. La proximité est toujours présente, un baiser vient se déposer délicatement sur son front. Mes mains s'emparent de sa taille, doucement, lentement. Mes doigts se referment délicatement sur les courbes de la blonde déité. Atemporel, notre lien. Ici, l'on fête le commencement de ce qui n'a pas de fin. La joie inépuisable d'être un hymne permanent à la vie, et ses bras, emplis de présent - je veux j'y engouffrer pour serrer ma compatriote aimée contre moi. La ramenant d'avantage contre moi, je souhaitais sentir sa poitrine contre la mienne. Et Gwen, elle vrombit la vie - manifestant les silences disparus. Elle me fait vibrer, au pas qui sonne dans un cortège sans fin. Un cortège d'audace qui se donne en spectacle devant mes yeux d'adultes. J'ai toujours su saisir l'instant, comme une fleur que j'insère entre deux feuillets. Rien n'existe avant, après. Dans la suite infinie des heures que comptabilisent notre relation, je saisi l'instant. Un nouveau baiser s'invite, car ce monde est en guerre. Quelles pertes auront nous à subir ? Qui aura le droit de vivre un lendemain ? Alors, il est temps pour tous de chérir ce que l'on a de plus cher.


« Gwen Stacy, putain... Qu'est-ce que tu m'as manqué. Viens là. »



(c) REDBONE



Dernière édition par Benjamin Reilly le Lun 7 Déc - 12:12, édité 1 fois
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Gwendolyne Stacy
Gwendolyne Stacy

double face : Rebeka R. & The Winter Soldier sosie : L. Reinhart dialogue en : #DB7093 remerciements : LucyLullaby p'tit nom : Lucy balles tirées : 110 en cavale depuis le : 18/11/2020

bougies soufflées : 27ans (16 Juin 1994)
double identité : Ghost-Spider - Spider-Gwen
gagne-pain : Avengers, rien que ça. Merci Stevie Wonder !
ligne de coeur : Partage sa vie avec un tégénaire drôlement sexy.
génome : Humaine mordue par une araignée, finger in the nose.

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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyDim 6 Déc - 22:41

I'm here, mainly for you


Enfin, après tant d'années, elle se sentait complète, l'Araignée. Il est son monde, Benjamin, le nom de la thèse où sont notés monts et merveilles à son sujet, battant le rythme en symbiose avec le sien. Tu n'as besoin de personne d'autre, Gwendolyne. Ce brun ténébreux, mais si lumineux à la fois annonçait une vie des plus comblée, le Nirvana assuré. Mains dans la mains, le malheur n'avait qu'a bien se tenir ! Un but commun, une même envie, un seul et même désir, le retour de la justice, la vraie droiture du passé. Mais en cet instant, rien ne les importaient que de se retrouver, s'aimer, se cajoler. Terminé les moments de doutes, l'incertitude qu'un jour ils soient réunis. Fini les voyages, ou du moins, pas sans qu'ils ne le partagent. Il viendra le temps des preuves, même si la blonde elle en avait déjà suffisamment fait. Viendra le jour où ils devront combattre, côte à côte. Douce appréhension d'une perte, oui, elle était apeurée. Elle ne se le pardonnerait jamais si un jour le malheur s'abattait sur lui. Ô grand jamais. Elle avait besoin d'oublier le chaos, afin de se laisser aller à lui, à eux. Une bulle où la vie -leurs vies- peut enfin être presque normale, une parenthèse d'amour. L'aimer jusqu'à la fin de sa vie, encore et encore. Et encore. Ne plus le laisser seul, ne plus vivre de solitude et de danger. Vivre. Dangereusement, paisiblement, pleinement.

Et puis, un frisson, un contact des plus plaisant. Ne la lâche plus, Ben, elle a autant besoin de toi que tu as besoin d'elle. Ne t'éloignes pas, Ben, seulement si tu veux briser son cœur. Ô tendresse de sa chaleur. Elle s'abandonne volontiers, la tégénaire, dans cette étreinte si rassurante. Sentir son cœur battre sur le même rythme, douce mélodie à cappella, doux hymne à leur retrouvailles. Attire-la encore plus oui, l'ardeur de la lionne laisse place à la brebis, fragile et si douce. Le manque laisse place à sa présence, son touché, son amour. Le néant n'a qu'à bien se tenir ! Aller Gwen, admire-le. Ne loupe pas cette occasion de le détailler. Il est si merveilleux, et comment ne pas se perdre dans l'océan de ses yeux ? Encore un peu plus contre lui, un peu plus de sentiments, une explosion infime. Laisse les démons affronter d'autres justiciers, pour le plaisir de t'abandonner à lui. Douce risette sur ses lippes, une phonation se fait entendre, docilité de l'instant présent. « Je ne compte plus partir. Pas sans toi. » Et un nouveau contact, le bout de son nez contre le sien, dans un lent mouvement de négation. « Mon merveilleux Benny. » Sourire enjôleur, sarcasme à son paroxysme. Il n'aime pas ce surnom ? Qu'importe, cela fait bien trop longtemps qu'ils ne se chamaillent plus. Il pouvait très bien la nommer Maxine, qu'elle continuerait avec ce Benny. L'évidence même est qu'elle ne supporterait pas que quelqu'un d'autre l'appelle ainsi.

Tente, Gwendolyne. Elle se recula, ne le lâchant pas pour autant. Peur de sa disparition. Sans trop regarder où aller, sa dorsale rencontrant le mur menant à sa chambre. Rire mélodieux, envoûtant. Symbiose de leurs palpitants, elle l'attira à elle. « Je ne veux plus passer un seul instant loin de toi, Ben. » Un millième de seconde sans lui serait un blasphème. Un nouveau baiser, passionné, amoureux, langoureux. Se défaire de sa chemise fût un jeu d'enfant, dévoilant doucement, prudemment les courbes de son buste. Le laisser découvrir ce qu'il ne peut voir sous d'innombrable tissus, elle recula son visage, fine risette sur ses lèvres. Sourire charmeur. « Je pense que nous avons bien des choses a rattraper, monsieur Reilly. » Un clin d'oeil, et une langue taquine entre ses dents.





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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptyMer 9 Déc - 21:57

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MessageSujet: Re: I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly   I'm here, mainly for you ||| ft. Benjamin Reilly EmptySam 12 Déc - 3:36

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T'es heureuse Gwen. Je veux dire, le vrai bonheur, cette sensation de plénitude, d'être entière, d'être toi, la vivante -survivante- que tu es. Tu revis à ses côtés, tu penses uniquement à lui -à vous- tu veux t'abandonner corps et âme dans ses bras, blondie. Il est tout ce qui te manques, t'es camée Gwendolyne, et ta drogue à toi porte le doux nom de Benjamin. Tu sais qu'il est ta lumière au bout du tunnel, autant que t'es la sienne, et tu connais la vérité jeune fille. Durant ces deux dernières années, t'as espéré, tu t'es même surprise à prier bon sang, parce que t'avais une seule envie : le retrouver. T'as rêvé de ce jour promis, la conjonction de vos deux âmes, la symbiose parfaite de vos sentiments, le rencontrer pour ne plus jamais le quitter. Tu passerais tes journées à le contempler, dans toute son entièreté, parce qu'il t'animes, sans même que lui, ou même toi Gwen, vous vous en rendiez compte, vous vous donnez la force de continuer. A quoi ? Et bien, à vous battre pour qu'un jour meilleur naisse, et qu'un jour -qui sait ?- vos enfants, espérant que ce ne soit pas vos arrières petits enfants puissent vivre dans un monde où seule la joie envahit leurs vies, loin de la peur du lendemain. Il te rend dingue, et crois-moi chérie, t'as le même effet sur lui.

Jeune Stacy, crois moi, tu rêves de vieillir avec lui. Je sais aussi que tu rêves de fonder une famille, sans jamais le dire de vive voix, mais pas avec n'importe qui. Tu rêves d'une famille, seulement avec lui, car toi et moi on sait très bien que t'abandonnerais l'idée si c'était avec autrui. Tu vois grand, et t'as raison, parce qu'il est ta raison de vivre, il te donne le courage nécessaire pour ne jamais te laisser avoir, même si tu dois ressortir d'une bataille dans un sale état. T'as adoré voyager aux quatre coins de la terre ces deux dernières années, pourtant t'es sans nul doute plus heureuse encore d'être privée de ça, du moment qu'il est près de toi. Chère Gwendolyne Maxine Stacy, il est temps pour toi -pour vous- d'écrire le reste de votre histoire, et crois-moi, elle sera extraordinaire, miraculeuse, inoubliable. Ne laisse plus la tristesse t'envahir, parce qu'il est ton rayon de soleil, Ben, il est l'effaceur de tes moeurs. Et tu t'amuses déjà à le contraindre d'un surnom -d'un diminutif- qu'il n'apprécie guère, et toi, et bah ça te fais rire mon enfant. Et croit-le ou non, il dira amen à tout du moment qu'il est avec toi, comme tu vendrais ton âme pour sauver la sienne, parce que -oublie pas- t'es une justicière. T'es euphorique, Gwen, bienheureuse dans ses bras, son champ de vision, t'as un avantage que d'autres ne possèdent pas. Benjamin.

Et tu frisonne, le contact de la pulpe de ses doigts t'enivre, bordel Stacy tu l'aimes à en mourir ! Il s'agrippe à toi, comme si au chapitre suivant t'allais ne plus jamais revenir, pourtant tu comptes pas partir, rassures-moi ? Diantre que non ! Et tu souris, parce qu'il a raison, ne le laisse plus te filer entre les doigts, il a besoin de toi, et t'as besoin de lui. Et ce sourire ! Ton coeur fond comme la banquise, parce que t'as bien essayé de te protéger, mais t'y es pas arrivé, tu t'inquiétais, souviens-toi, t'en a même perdu le sommeil blondie ! Maintenant, je t'assures, lèves le pied, parce que même si tu comptes repartir, tu t'assureras encore, dans l'éternel, à le retrouver. Un nouveau baiser, plus ardant, plus passionné que jamais. Plus rien n'existe, à par cet homme à la beauté renversante, celui qui a le don de te rendre vulnérable, de te faire voir la face cachée de Ghost-Spider. Et chaque passage de ses mains sur ta peau opaline t'arracherais presque un soupire, une réaction que tu rêvais de ressentir, il profite de cette silhouette féminine tant désirée, et toi, bien évidemment que tu le laisse faire, parce que t'attendais que ça. Il y a ce jeu, exalté, de deux langues qui s'offre un échange débridé. Oublies la distance, tu veux une proximité -sa proximité-. Et tu le laisses guider la danse, cette valse endiablée dont tu réclames la réalité, tu t'abandonnes tout à lui là, sur le moelleux de ton matelas. Complémentaires, comme sur le damier d'un échiquier, il est ton Roi et tu es sa Reine.

Tu es sienne. Pas totalement, Gwen, mais tu veux l'être, tu veux qu'il te fasse sienne, pour l'éternité a partager ensemble. Tu veux lui appartenir, dans l'immortalité. Il est là, plus dominant que jamais, et toi, t'adores ça. « Fais-moi tienne, pour l'éternité. » Tu souris, et tes joues elles sont rosies d'amour, de cette chaleur qui s'empare de ton corps, de ce désir. Tes mains se faufilent, comme de petites souris malicieuses au commencement de ce t-shirt omniprésent, et t'es gentille blondie, tu l'aides à le retirer. T'en perds pas une miettes pas vrai ? Tu l'admires, tu tombe amoureuse, infiniment, ce sentiment qui ne connaîtra jamais de fin. Et tu dessines chaque formes de son torse, de son être, avant de glisser tes mains sur son visage. Non, ce n'est que le bout de tes doigts délicats, comme si il était constituait de porcelaine capable de se briser l'instant suivant. Tu le fixe, tes prunelles pétillent, t'es dingue Stacy. Et tu te fiches pas mal des quelques cicatrices sur ta peau laiteuse, il connait ta vie, il sait que t'es prête à tout. Mais toi, t'es qu'une seule envie, le dévorer des yeux. Tu redresses ton visage, délicatement, pour venir taquiner la ligne de sa mâchoire, parce qu'y a pas plus malicieuse que toi Gwendolyne. Partagée entre tendre baisers et douces morsures, tu glisses plus bas, dans son cou, cette peau fine que tu rêves de marquer, telle la prédatrice que tu es. Mais, tu joues avec le feu, chérie, parce que tu stoppes ton amusement pour venir capturer ses lèvres. Sauvageonne que tu es, l'obligeant même a coller son corps encore plus près, tu veux ressentir, tu le veux lui. Et d'un murmure, là, frôlant ardemment ses lippes, t'oses. « Je veux un nous, Benjamin. Fais-moi oublier qu'un jour la distance a existé entre nous. »





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