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 Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr.

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AuteurMessage
Rebeka Rivera
Rebeka Rivera

double face : Gwendolyne Stacy sosie : Claudia Salas dialogue en : #C67171 p'tit nom : Lucy balles tirées : 26 en cavale depuis le : 18/12/2020

bougies soufflées : Vingt cinq !
double identité : Telekinesia
gagne-pain : Thanato - Biologiste sans diplôme...
ligne de coeur : Célibataire.
génome : Inhumaine

bordel : Matthew | Thor | Peter | Y tù ?

MessageSujet: Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr.   Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. EmptyLun 17 Mai - 0:16

Grito, sólo para ver si estoy vivo.
ft. @Frank Castle Sr.

T'essais de reprendre une vie presque normale, l'hispanique. Mais cela fait bien longtemps que tu tentes ta chance sans grande conviction, aucune même. Parce que ta vie n'a plus jamais été la même depuis que tu as quitté le sol de ton pays natal, douce Espagne. Tes joues bordées de larmes, dans l'incompréhension la plus totale, tu ne savais où ces inconnus t'embarquée ainsi, traînée tel un sac de pomme de terre. Il y a eu l'orphelinat, puis les familles d'accueil. Il y a eu de ces familles adorables qui ne duraient qu'un temps, et l'enfer ici bas sur terre qui était interminable. T'as récolté des coups, tu les as essuyés à l'aide de larmichettes muettes durant les nuits les plus obscures. Jusqu'à la libération d'une famille voulant bien de toi, adolescente que tu étais devenue, oui, mais c'était jusqu'à ce jour qui changea la donne, mondialement parlant. l'A-Day a changé le monde, et pas seulement, tu as été l'une des personnes impactées, l'un de ses spécimens comme pour beaucoup. Toi l'espagnole aux yeux nuageux, tu as ce soir-là vu le reflet de l'abomination dans les iris de tes parents devenus si chers à ton coeur. Inhumaine. La télékinésie est ton fléau, ton fardeau, ta malédiction. Puis il y a eu ces presque deux années de cavales à travers New-York, pour finir captive. Pas de n'importe qui, pas sous n'importe quel bourreau, non. Tu n'as jamais oublié, tu n'oublieras jamais les horreurs que ton corps a enduré, les stigmates que ta chair portera jusqu'à ton dernier souffle sur Terre. Les heures a hurler pour t'assurer que la vie n'avait pas quitté ton corps, les heures sous les coups, sous les mutilations, n'étant qu'un bout de viande, qu'une bête de foire, qu'un cobaye pour des scientifiques sans coeur et sans âmes. Mais au milieu de l'obscurité, tu revois encore ce crâne, cet homme qui hante tes sorgues bordées de démons du passé, qu'il soit lointain ou proche. Rebeka, tu sentirais encore les coups, encore les questions, les injures, l'humiliation, comme si chacune de tes entailles n'avaient jamais cicatrisées.

Si seulement le cauchemar c'était arrêté là. Tu as trouvé un refuge nommé Asgardia, qui aujourd'hui n'est autre qu'un amas de cendres, réduite au silence. La bataille a fait de la Cité une proie, un leurre parfait pour assaillir New-York, et la détruire dans presque toute sa totalité. Arrivée sur un de ces chevaux ailés, en compagnie d'un héros ayant bercé ton enfance bancale, tu n'en revenais pas tes yeux. Et pourtant tu ne les a pas oublié eux non plus, les cris, les hurlements de ses personnes effrayées. Tu n'oublieras pas non plus les flammes qui dansent, les corps qui gisent et le sang qui coule a flot dans les rues teintent d'un carmin si singulier. Non, tout hante encore tes cauchemars, comme le retour à la normale, comme la douleur de tes blessures. L'incompréhension la plus totale. La peur, l'angoisse, tout t'es revenu en pleine figure, et pourtant tu étais là, plus vivante que jamais. Mais il était là, l'homme qui a su conquérir ton coeur, et il a su apaiser la crise qui s'emparait de toi. Mais pour un temps seulement, car l'affrontement New-Yorkais a semble-t-il ramené quelqu'un qui a joué un rôle de tortionnaire envers toi. The Punisher. Tu l'as reconnu ce crâne blanc qui hante encore tes nuits, tu ne l'oublieras jamais, et même lorsque tu sors dans les rues, tu ne te sens plus en sécurité. Plus jamais. Mais aujourd'hui, en sortant tout juste de ton boulot de thanatopracteur, tu marches dans les rues de Manhattan afin de prendre l'air avant de rejoindre votre appartement, quelque part dans Brooklyn. Dans un tailleur pantalon ébène, tu marches d'un pas décidé, presque sûre de toi pour ne pas flancher, tes bottes à talons claquant le rythme de ta démarche sur l'asphalte. Mais là, au tournant d'une rue, tu bouscules quelqu'un, et lorsque tes yeux grisonnants se lèvent vers l'homme, tu recules par instinct. Ta respiration se coupe, elle se fait difficile jusqu'à tes poumons, tes mains tremblent, et sans t'en rendre compte encore, quelques objets se soulèvent dans les airs. Les fourmillements dans tes mains se font de plus en plus présents, pourtant tu forces sur ta voix, ton esprit réclame des réponses que seul lui peut apporter. « Pourquoi... » Doucement, Rebeka, respires lentement. « Pourquoi ? » C'est là le seul mot que tu arrives a prononcer. Mais dans un excès d'émotions fortement mêlées, tu le plaques au sol, sans poser un seul doigt sur son corps, te penchant au dessus de lui, les larmes roulent dans un mutisme complet, bordant tes joues halées. « T'as d-détruit ma vie ! Tu m'as t-tuée pendant p-presque deux mo-mois un peu plus ch-chaque jour ! P-pourquoi !? » Voilà que tu bégaies, Rebe, ça passera...
©️ 2981 12289 0
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Yelena Belova
Yelena Belova

we are not heroes. we are tools. and tools get used.
double face : wanda m. maximoff. sosie : florence. dialogue en : #cccc99. remerciements : (a) bambi eyes (s) SAMURAI. p'tit nom : SAMURAI, léa. balles tirées : 161 en cavale depuis le : 16/11/2020

bougies soufflées : les années passent. déboussolée, tu as perdu la notion du temps. les identités se sont enchaînées, les dates de naissance et les âges aussi. tu ne sais plus, et ça ne t'apporterait rien de savoir.
double identité : la deuxième black widow, pâle copie entraînée pour remplacée la première. ta rancœur mise de côté, t'es devenue white widow, et tu te forges ta propre identité.
gagne-pain : tu as beaucoup de titres à ton actif, une assassin et espionne hors pair, amorale, rongée par de nombreuses années à te rabâcher les mêmes mensonges et poussée par ta haine. t'as eu une période où t'as fait du mannequinat, mais cette époque est désormais révolue.
ligne de coeur : cœur solitaire, on ne t'a jamais laissé l'opportunité de t'attacher assez à qui que ce soit pour faire chavirer ton âme.
génome : tu es une humaine entraînée, mais mortelle.

talents et vertus :
i'm more
than just
a copy of you.

-- super spy ; uc
-- red room ; uc

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 9629dfccbdf8b4ebd96a84aafd4e82acc36b7776

❝ i'm not the killer
the little girls
call their hero. ❞

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. Cf30d7608d46ebe889230f6c947fa54c80e53c17

bordel :
if you touches her,
i will break you--

--for you'll find
i'm a much less
merciful widow.

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. B34e5333c6da18a399a4db82d48ecd9150e6dd1d

--

» the truth rarely makes sense
when you omit key details.

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 8f854832e5ece78ac998a01e4fbc29b88d3b9d30

--

❝ you're a weapon
and a weapon don't weep. ❞

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 59f6dbb7b72417a8915a938bae6f8e386cb535b0

» controlled,
alone,
but brave.

--

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 9e7f32cdd0a186eb19b72c5a82874fe14f3ec549 Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 548556e1edc6d1c1a2ea2569e8bb1fd91f181a97 Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. 171b59c53d11476c8c4e83a209dddbeccd959309

pain
makes us stronger.

--

uc

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uc

--

Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. Adcd163cd8fa0b90d9db3079b5507a1f2e23559b

i've never had control over my own life,
and now i do.

and i want to do something good.

--

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MessageSujet: Re: Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr.   Grito, sólo para ver si estoy vivo • ft. Frank Castle Sr. EmptyLun 17 Mai - 11:29


i know one thing : war changes people. sometimes they see things they can't unsee. come home to find home's not there anymore. it changed. or maybe they did. ( music )-- sujet commun

La bataille à New York t’avait ramené au temps des guerres partagées avec tes défunts compagnons, alors que les corps de tes alliés avaient, chacun leur tour, touché le sol à leur tour. Encore une fois, tu t’étais tenu debout au beau milieu d’un enfer que tu ne maîtrisais pas, le dernier survivant du massacre. Encore le putain de survivant, le seul à rester debout. L’invincible Punisher, une réputation tenace qui tenait toujours malgré les nombreuses années passées. Elle t’a laissé des séquelles psychologiques, cet affrontement. HYDRA a été repoussé, et miraculeusement, tout semblait être rentré dans l’ordre. Comme si rien ne s’était passé. Mais les souvenirs étaient toujours bien là, et pour tout le monde, pas que pour toi. Le sentiment d’impuissance demeurait tel qu’il était compliqué de s’en débarrasser, et tu en dormais encore moins la nuit. A dire vrai, ce n’était pas comme si tu dormais déjà beaucoup. Ton esprit tambourinait contre ton crâne à chaque seconde qui s’écoulait, des migraines à ne plus en voir le bout, une malédiction qui te suit pour être le seul à être resté debout. Le réel se mélangeait avec l’imaginaire qui se modelait dans ta tête, et ton corps fatigué parvenait à peine à se reposer. Les cauchemars se mélangeaient, que tes yeux soient ouverts ou pas. Tu n’as jamais été une personne pure, et tu as fait tant de mal autour de toi. Particulièrement aux criminels et malfrats, parce-que let’s face it, t’es pas le méchant de l’histoire. The Big Bad Punisher, n’est vu comme un monstre à cause de tes actes extrêmes, mais ô grand jamais tu n’allais toucher aux cheveux d’une personne innocente. Tu agissais pour leur cause, et Frank, même si tu refuses que l’on te considère comme un justicier, ce qui est cassé au fond de toi se mêle avec ta volonté de bien faire.

Sauf qu’il a fallu que tu sois l’un des pantins déchus de l’AIM, l’un de ceux qui n’a pas été récupéré par HYDRA par la suite. Cette période de ta vie est encore zonée de floue, mais doucement, petit à petit, les souvenirs te revenaient. Les cauchemars ne faisaient que s’amplifier, et c’était d’ailleurs pour cette raison que tu avais décidé de raccrocher ton costume au crâne légendaire. Tu ne l’avais ressorti que pour la bataille opposant les résistances à l’hydre, mais la culpabilité bouffait tes veines. Tu ne l’as pas porté une nouvelle fois depuis, et il fallait bien le dire, ton esprit avait besoin d’être libéré. Terriblement. Beaucoup de poids et de fardeaux qui te retenaient, et qui continuaient de faire encore beaucoup de mal à ceux que tu avais blessé. Et alors que tu te lèves nonchalamment, la vie devenue une pénible tâche ingrate, tu t’adonnes au quotidien que tu t’es installé, auquel tu t’es condamné à suivre tous les jours jusqu’à ce que la Mort ne daigne enfin venir te chercher – si elle viendra un jour. T’as eu le cran, au moins, de tailler cette barbe de plusieurs mois qui te rendait méconnaissable, au moins pour avoir l’impression que tu n’es pas que l’ombre de toi-même, malgré le fait que ce soit le cas. Et puis t’es sorti, t’es parti sur la route te menant jusqu’à ton taff, et t’évites les regards. Notamment lorsqu’on reconnaît qui tu es, lorsqu’on sait tout ce que tu as fait. Et ton épaule, tu la sens heurter quelqu’un, elle part un peu en arrière, et tu te retournes pour non pas t’excuser mais au moins adresser un signe de tête à l’autre personne. Et là, c’est la décadence.

« Pourquoi... » Tu fronces les sourcils et tu cherches, son visage te dit quelque chose. Quelque chose de négatif, quelque chose qui te ramène à de la douleur, à de la souffrance, et à beaucoup de sang. Quelque chose qui te glace sur place, parce-que plus tu cherches, plus les secondes s’écoulent, et plus tu devines. « Pourquoi ? » Elle répète ce mot, et toi tu cherches encore, tu fais chauffer tes méninges et tu réfléchis. T’as même pas le temps d’en placer une, que tu rencontres violemment le sol et que tu ne sembles pas pouvoir t’en détacher. Tu vois autour d’elle l’agitation qui se fait au fur et à mesure que ses émotions prennent le dessus, et tu devines. Tu devines trop bien. « T'as d-détruit ma vie ! Tu m'as t-tuée pendant p-presque deux mo-mois un peu plus ch-chaque jour ! P-pourquoi !? » Ouais. T’as détruit sa vie. Elle vient balayer le moindre soupçon, confirmant ce que tu savais déjà. Puis tu as des flashs, des visions deux ans en arrière. Tu revois son visage, sa dégaine attachée et les marques indélébiles sur le corps d’une femme qui avait à peine commencé à vivre. Tu te revoies prendre les instruments, tu te revoies t’approcher sans même trembler, et tout ça te semble si peu naturel. Tu sais que c’était pas toi, enfin pas vraiment toi. Tu le sais, mais elle ne le sait pas. Et de toute façon, ça n’excuse rien. Ça n’excuse aucun de tes actes. T’as détruit sa vie, c’est de ta faute. T’allais pas te faire passer en victime, et assumer. Il est peut-être temps que tu payes pour tes actes. « Parce qu’on m’a demandé de le faire. » Tu rétorques à sa question, tu lui réponds parce qu’elle te demande. T’allais pas lutter, de toute manière t’étais même pas certain de le faire efficacement face à quelqu’un comme elle. Elle avait des pouvoirs, toi non. L’équation était vite établie. Vos personnalités s’entrechoquent, alors que tu vois les larmes rouler sur ses joues et que ton visage garde un calme olympien, malgré la culpabilité qui rongeait tes traits. Tu parviens quand même à lever tes mains pour montrer que t’es inoffensif, que tu vas pas lui faire du mal, mais c’est pas facile de convaincre lorsqu’on est une arme ambulante. « Ecoute, si t’as besoin de me frapper, si t’as besoin de me tuer, fais-le. Ça t’apportera pas forcément la paix, mais ça te fera quand même du bien. » Et ça, au final, t’en savais quelque chose. « J’vais pas me battre contre toi. J’ai pas envie de me battre contre toi. » Tu marques une pause, tu la laisses assimiler tes paroles. Tu te doutes qu’elles sont pas spécialement jolies, que c’est pas forcément ce qu’elle veut entendre, mais tant pis. Tu t’en fous, en fait. Elle a le droit d’avoir la vérité. Et il valait mieux une vérité qui blesse, plutôt qu’un mensonge qui fasse plaisir. La vérité, c’était toujours mieux ouais. « J’fais partie des gens qui ont été réquisitionnés par l’AIM. A vrai dire, j'sais même plus ton prénom. Ni même tout ce que je t'ai fait. »
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