AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
FORUM FERMÉ.



cliquez sur les icons pour découvrir les
scénarios proposés

guide du petit nouveau
⋅ pour les petits nouveaux/les invités, vous pouvez consulter l'aide
mise en place pour vous aider à créer votre personnage.
⋅ il vous est possible d'aller faire une demande de rang.
⋅ vous pouvez aller consulter les missions disponibles juste ici.
⋅ il vous est possible d'aller faire une demande de mission.
⋅ au cours de votre évolution au sein du forum, vous pouvez être
amené à changer le groupe de votre personnage.
⋅ n'hésitez pas à aller régulièrement vérifier les intrigues pour vous
tenir informé de l'avancement du concept du forum.
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 witchy gravity (ariel)

Aller en bas 
AuteurMessage
Wanda M. Maximoff
Wanda M. Maximoff

yes, there is something uncanny, demonic and fascinating in her.
double face : yelena belova. sosie : lizzie. dialogue en : #ab2826. remerciements : (a) jojofeels (s) SAMURAI. p'tit nom : SAMURAI, léa. balles tirées : 980 en cavale depuis le : 21/09/2020

bougies soufflées : si jeune, fleur de l'âge gâchée par les tragédies.
double identité : douce terroriste aux allures écarlates, ils te craignent plus qu'ils ne t'admirent.
gagne-pain : pantin articulé, arme de destruction massive aux allures écarlates. contrôlée par une puce de l'hydre.
ligne de coeur : love is for souls, not bodies. et maintenant, le néant. la colère. la peine. le deuil.
génome : unique en ton genre, ton gène mutant se mêle à autre chose. à quelque chose de plus puissant.

talents et vertus :
i have
everything
under control.

écarlate e.kaʁ.lat (adj.) ; of a strong to vivid scarlet red shade.

-- telekinesis ; manipulation of objects.
-- blasts of kinetic energy ; energy blasts, waves, or bolts that push, pull, or blow away targets.
-- time manipulation ; manipulate and control the course of time.
-- mind manipulation ; manipulation of other's actions, thoughts or feelings.
-- shape reality ; creating a new reality, an alternate world.

❝ oh you,
you terrible thing,
you,
beautiful thing. ❞

witchy gravity (ariel) Tumblr_o61mnhaYLt1tcbbzao1_500

bordel :
the question is not
who is going to let me.
it's who is going
to stop me.

witchy gravity (ariel) Tumblr_o8z9uas9Z81u4kolmo3_250

--

» goddamn right,
you should be
scared of me.

witchy gravity (ariel) Tumblr_o61mnhaYLt1tcbbzao3_500

--

❝ sooner or later,
every man
shows himself. ❞

witchy gravity (ariel) 2e56881edc7336a591e109ac2ff7cfb8147c8579

» girl unmakes herself,
unmakes themself,
unmakes everything,
invents a world of nothing,
drowns on empty.

--

witchy gravity (ariel) Tumblr_ph4l53gstN1xbcfefo4_250 witchy gravity (ariel) Tumblr_ph4l53gstN1xbcfefo5_250 witchy gravity (ariel) Tumblr_ph4l53gstN1xbcfefo9_250

i used to think of myself one way,
but after this i am something else.
still me, i think.

but that’s not
what everyone else sees.


--

thank you
for choosing me
to be your mom.

witchy gravity (ariel) Ec1f856ce2312d37e7e2579139804797f77fc8b0

a family is forever.
we could never truly
leave each other
even if we tried.

--

witchy gravity (ariel) Tumblr_p7owtzjzgT1vu7wv8o1_540

we were too close to the stars,
i never knew somebody like you.
falling just as hard,
i'd rather lose somebody than use somebody
maybe it's a blessing in disguise,
i see my reflection in your eyes.

--

witchy gravity (ariel) Tumblr_o61mnhaYLt1tcbbzao2_500

RP 1RP 2RP 3
RP 4RP 5


MessageSujet: witchy gravity (ariel)   witchy gravity (ariel) EmptyDim 6 Juin - 20:39



dark clouds on every sky, we run fast towards the light. you said that you could hear people laughing just like a happy life. all those years, we spent alone. there must be life after tragedy... shout out for someone to hear and there's nothing left but the memory > @ariel deboisblanc


Tes yeux contemplent avidement le plafond. Tes mains reposent presque tranquillement sur ton abdomen, et tu laisses tes pensées divaguer. En ce moment, t’avais la même routine tous les jours. Et les gens avaient appris à lâcher du lest, à te foutre un peu plus la paix. T’oubliais pas les fois où on avait pu t’insulter, où on t’avait balancé des trucs – parce-que même à ce jour, une sorcière, c’était une damnée, quelqu’un qu’il fallait brûler. Et qui n’apportait que malheur. Mais ces fois commençaient à se faire lointaine, et ta routine aidait. Mais les images de ton sauvetage ne cessaient de te revenir. T’avais pas eu l’occasion de rencontrer ta famille, après ces événements. Et plus tu y songeais, plus tu pensais que c’était le moment de le faire. Magneto, ton père, n’était pas un homme sur lequel, habituellement, tu comptais. Si à l’époque il a su tirer Pietro et toi des emmerdes, tu avais vite compris quel genre de personne il était. Mais il s’est quand même montré là, présent, et il a participé à te faire reprendre conscience de qui tu étais.
Et tu savais pas trop comment tu te sentais par rapport à ça.
Tu avais tant méprisé Erik, que l’imaginer te secourir ne t’avait jamais traversé l’esprit. Plus maintenant, en tout cas. Et pourtant, il a rassemblé les troupes – ta sœur, ton frère, tes enfants, et même ton futur gendre – pour venir vous tirer de l’hydre. Tu savais le mal que tu avais pu faire autour de toi, mais t’avais presque l’impression que les choses avaient été plus faciles, lorsque tu étais devenue l’ennemi. En fait, c’était plus facile de ne plus être entièrement responsable de ses actions, de ne pas être soi-même, de ne pas affronter ses pires émotions. Tu ne ressentais pas les effets de l’endommagement que leur puce avait pu exercer sur ton mental. Mais maintenant que tu étais tirée d’affaire, si. Et c’était un gros souci. Ça t’empêchait souvent de fermer l’œil, ça te torturait psychologiquement. Te relever de tout ça allait être très difficile, tu en avais conscience. Mais n’était-ce pas là un mal pour un bien ?

Sans même t’en rendre compte, tes paupières s’étaient closes, te laissant divaguer à travers tes pensées. T’avais beaucoup matière à réflexion, c’était peut-être aussi à cause de ça que tu n’arrivais pas à bien dormir. Te reposer te semblait être un luxe, maintenant. La nuit fut compliquée. Tu as piqué du nez de temps à autre et, d’autres fois, ton cerveau avait refusé que tu ne trouves le sommeil. Tu t’es réveillée le visage boursouflé et les traits fatigués. Mais, ça aussi, c’était devenu une habitude.

Deux heures plus tard, tu gares ta voiture sur le trottoir en face de celui menant à l’Institut. Tu dévisages un instant la bâtisse, un peu hésitante, mais ce n’est que le temps de quelques secondes. Tu coupes le contact, t’ouvres la portière, et tu t’extirpes du siège. Refermant sur ton passage, tes yeux n’avaient pas quitté un instant l’Institut des yeux, et tu te retrouvais à la dévisager encore une fois. Un bref moment, avant de rassembler tout ton courage, de briser définitivement la routine que tu t’étais installé, et de pousser le large portail du domaine. Tu t’aventures – non sans prudence, parce-que faut pas se leurrer, autour de toi se trouvaient des dizaines de mutants, qui ne contrôlaient pas tous entièrement leurs pouvoirs qui plus est – dans les jardins, que tu traverses jusqu’à rejoindre le grand bâtiment. Tu rentres sans trop de difficultés, poussant la porte grinçante de l’Institut pour rentrer. Là, tu restes un instant sur le pas de la porte, et tu observes autour de toi. Ce devait être la pause midi, au vu de l’heure que tu vérifies sur la montre à ton poignet droit. Les couloirs étaient bondés de jeunes gens. Tu te souviens avoir été comme eux, il fut une époque. Au final, t’es aussi instable qu’eux. Si ce n'est pas plus. Les étudiants se bousculent, des gens aux pouvoirs qui se remarquent et d’autres non, alors qu’ils semblent soit se précipiter dehors, rejoignant la porte derrière toi, soit traverser les couloirs pour disparaître Dieu savait où – n’ayant jamais visité l’Institut, cet endroit ne t’était pas familier. Puis, au bout d’un moment, tu décides enfin à t’avancer. Tu attrapes la capuche d’un étudiant qui passe en courant sous ton nez, le stoppant net dans sa course. I need to see Magneto. Une délicatesse que tu n’as pas encore su retrouver depuis ton retour de l’hydre. Les yeux du gamin s’écarquillent lorsqu’il reconnaît ton visage, et il hurle. Tes sourcils se froncent et, par réflexe, tu le relâches. Il reprend sa course, jetant quelques regards derrière lui, sous les yeux presque horrifiés de ses camarades. Autour de toi se forme un cercle silencieux de jeunes gens qui ne savent plus où se mettre, ni quoi faire. Tu comprends leur crainte, mais ça ne t’empêche pas de poser ta question à l'ensemble de l'assemblée, sans pour autant perdre le calme dans ta voix. Where is Magneto ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité

Invité

MessageSujet: Re: witchy gravity (ariel)   witchy gravity (ariel) EmptyLun 7 Juin - 10:32

wanda
&
ari
witchy gravity
D'un geste léger, tu refermes le livre avec une douceur aux bonnes manières, tandis que la cloche sonne une époque révolue - celle du cours où des élèves t'écoutent. Déjà, un brouhaha enthousiaste éclate tandis qu'une masse d'adolescents se redresse des chaises sur lesquelles ils s'étaient tenus. Pourtant, ils attendant ton feu vert et tu leur souris, reconnaissante de pouvoir appuyer un peu ton autorité. « You will read two pages for Thursday. We will discuss this in class, so make up your own mind. » Et, pour une fois, aucune protestation ; ils apprécient de pouvoir les donner, leurs avis, justement. Parce que tu fais en sorte que chacun soit écouté, que tous puissent avoir conscience que leurs jugements ont un impact, qu'ils doivent cultiver cette capacité à avoir son propre opinion. Fût un temps où tout aurait été plus simple si d'autres n'avaient pas réussi à mettre sous leur joug de puissantes autres personnes - tu chasses encore, d'un cil tremblant, timide, les souvenirs qui reviennent, les cauchemars qui hantent, sans distinction, le jour comme la nuit. Trop de sang et trop de violence, le passé a cela d'horrible et de craintif.


Rangement consciencieux ; tu as toujours été d'un ordre maniaque. Chaque chose à sa place. Comme si la qualité de ton environnement, l'ordre qui pouvait y régner pouvait t'aider à organiser tes pensées, à chasser le bazar sous ton crâne, les tempêtes d'émotions. Tu t'empares sagement d'un livre dans lequel un marque-page dépasse - une petite lubie à toi, ça, les marques-pages - et tu sors de la classe. L'heure du déjeuner a sonné, et beaucoup doivent déjà s'être rué en direction de leur prochaine pitance. Qui les jugerait ? Beaucoup sont des adolescents, et les hormones, la mutation, les premiers émois, tout cela pèse sur leurs corps en évolution. Tu n'as pas cette excuse, tu admettras donc calmement ta gourmandise et le fait que tu sois affamée comme si tu avais bataillé avec des lions toute la matinée. Au son de quelques saluts amicaux, tu traverses les couloirs sans même plus remarquer ce qui pourrait l'être - les couleurs ternes ou vivaces de peaux ou de protubérances, excroissances de diverses matières ou même quelques pouvoirs maîtrisés utilisés par réflexe défensif ou insinctif. Tu suis le groupe le plus important, la masse déterminée à aller déjeuner le plus vite possible. C'est familier, ce brouhaha de voix, cette chaleur que dégage la foule, la sensation d'être une parmi d'autres. Et puis, quelque chose se passe. L'atmosphère goûte la crainte, et tu tempères alors ton allure pour t'approcher du point d'impact de l'évènement. « what's ... » que tu murmures, mais nul besoin qu'on te réponde, car tu discernes enfin la silhouette. Elle n'est venue ni masquée ni camouflée. Pourquoi le ferait-elle ? Wanda est chez elle. Même si beaucoup d'élèves, tout à leur peur primitive, semblent l'oublier. Tu ne feras pas cette erreur - tu songeais au jugement et à la conscience, tout à l'heure, l'ironie veut que Wanda eut été l'une de celle qu'Hydra domina ; marionnette sous leurs doigts habiles, elle avait fait de terribles choses, sans conscience aucune. Ton myocarde se serre aux atrocités perpétrées. Mais elle n'était plus pantin de chair et de magie - elle était là, et clairement, elle désirait quelque chose. Tu navigues entre les élèves figés jusqu'à atteindre le cercle, puis le vide autour de Wanda. Encore une fois - ce serrement de coeur, face à ce rejet, à ce refus de la reconnaître comme une victime, elle aussi. Tu tapes dans tes mains, claquement autoritaire, figure professorale. « You have nothing else to do ? Lunch, for example ? » que tu clames, fermement.


Ils semblent tous s'ébrouer, ébahis, apeurés. Ils lancent encore nombre de regards vers vous, mais peut-être que le calme que tu figures les atteint, à moins que leur appétit ne soit trop exacerbé. Ou qu'ils soient juste heureux de te laisser gérer Wanda. Tu te tournes vers elle, léger sourire aux lèvres. Tu n'as pas peur, tes prunelles luisent d'une compassion et d'une douceur sincères. « Hello Wanda. I thought I heard you were looking for Magneto. I'm sorry, I'm afraid he's not here. But do you want a cup of tea or coffee, meanwhile ? » Le sous-entendu est tendre - elle est la bienvenue, elle est acceptée. Du moins par toi. Et si tu ne peux obliger les autres à la comprendre, au moins peux-tu donner l'exemple. Lippes qui élargissent le sourire, comme pour l'inviter à accepter ; tu ne doutes pas que Magnéto devrait bientôt être libre. Tu es curieuse de savoir ce que la fille désire au paternel, mais tu n'auras pas l'affront de te mêler de leurs affaires. Si Wanda veut en parler, libre à elle. La question de si elle va bien se perd sur tes lèvres ; tu penches la tête sur le côté, enfin, pour l'observer. Elle a les traits tirés, la carnation pâle. Tu voudrais pouvoir l'aider, sincèrement. Autour de vous, l'institut a reprit le cours de sa vie, non sans qu'on vous jette - ou plutôt qu'on jette à Wanda - de curieux regards scrutateurs. « We can go to my office, if you want, we'll be there ... out of sight, I would say. » Toujours cette espèce de délicatesse maladroite. Wanda ne désire peut-être pas être ainsi observée, mais va t-elle croire que tu veux la cacher ? Diable, épineuse situation. Tu te contentes donc de la regarder, franchement, tes prunelles posées sur son joli visage.


CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
 
witchy gravity (ariel)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» gravity falls ((ariel))
» étoiles mélodieuses (ARIEL)
» we fight every night for something ((ariel))

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NO MORE HEROES :: ARCHIVES :: ARCHIVES :: ARCHIVES DES RPS-
Sauter vers: