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 back to normal ((TONY))

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MessageSujet: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyDim 6 Juin - 19:15

tony
&
ari
back to normal
Cette tour avait toujours fait forte impression. Quoi de plus normal ? Imposante, sublime - à l'image, selon les tabloïds, de son propriétaire. Tony Stark ne laissait personne indifférent, cela avait toujours été plutôt clair. Mais tu n'étais pas venue pour admirer la vue, même si tu doutais à présent du bien fondé de ta démarche - et si tu l'ennuyais ? Néanmoins, cela faisait quelques temps que tu n'avais guère croisé le cinquantenaire, et c'était presque triste, quand tu songeais qu'il n'y avait pas si longtemps, vous aviez beaucoup travaillé ensemble concernant le vaccin contre le virus ayant touché tant de gens. Cela semblait remonter à des années-lumière en même temps qu'à hier. La relation au temps pouvait, parfois, être très perturbante. Mais c'était grâce à l'effort de tant de gens que les pouvoirs de tant d'autres avaient pu être remis sous contrôle. Dont les tiens. Tony avait été d'une grande aide - tu lui en serai éternellement reconnaissante. Avec un petit sourire, tu songes aux légers accidents qui avaient eu lieu lors de tests. Notamment celui où, incapable de maîtriser la gravité, l'entiéreté du laboratoire s'était mis à léviter, Tony et toi-même y compris. Avec le recul, c'est devenu amusant ; sur le coup, tu avais beaucoup moins ri, de peur que le brun ne soit blessé. Tu voyais déjà les gros titres : Incident à la Stark Tower : le milliardaire n'aimait pas la poésie ! ou autres idioties dans le genre.


Mais les tests avaient été longs, menés à bien et sous bonne surveillance. Tony y avait veillé. Et tu devais le reconnaître, s'il était parfois - souvent - puéril, tel un adolescent, cela ne changeait guère des élèves que tu avais à l'institut. Tony s'était cependant révélé plus que l'homme dont parlaient les journaux. Plus qu'un simple milliardaire playboy à la vie essouflante, plus qu'un héroïque homme d'affaires à l'armure rouge et or. Et au fur et à mesure de vos petites sessions, tu t'étais découvert une amitié pour lui, pour son intelligence vive, pour sa verve et son insolence, pour ce côté protecteur, pour sa volonté de fer. Tu avais eu bien des préjugés sur l'homme, sur le héros ; tu ne pouvais t'en prendre qu'à toi-même de voir combien tu t'étais trompée et combien il était un homme bon, sous bien des aspects. L'environnement de la tour faisait remonter une tonne d'émotions - cette crainte qui t'avais si longtemps tordu l'âme, celle non pas de perdre ton pouvoir, mais d'en voir le contrôle t'échapper, puis la peu anxiogène de blesser autrui, de voir d'autres souffrir par ta faute. Ta nature douce, tranquille, avait longuement ruiné tes nuits aux visions déchirantes d'innocents dont tu aurais le sang sur les mains. Visions vaines, sans motif, mais qui secouaient encore ton coeur fragile.


La tour s'ouvre à toi, avec une familiarité bienvenue. Friday doit sans aucun doute déjà être à l'oeuvre pour prévenir Anthony Stark - dommage que tu ne puisses pas faire une surprise en entier, mais c'est là la rançon de la gloire. Mieux vaut trop de sécurité que pas assez. Tes pas t'amènent jusqu'à lui - non sans que Friday te guide d'ailleurs un peu. C'est que la tour peut se révéler labyrinthique, même pour toi qui y a passé quelques temps, déjà. Enfin, la silhouette de Tony se dessine dans la pièce où il semble occupé - comme toujours. Tu l'as rarement vu désoeuvré, et tu admires encore une fois combien son intelligence vive, sa débrouillardise ont pu l'amener aussi loin. « Bonjour Tony, je ne vous dérange pas ? Je passais dans le coin, et j'ai vu cette petite lumière discrète en néons STARK, ce bâtiment si sobre qu'on le remarque à peine » plaisantes-tu avec un sourire léger, l'humeur taquine, le regard bienveillant qui se pose sur le visage à présent familier. Tu restes près de l'entrée, presque timidement, si ce n'est cette étincelle dans tes prunnelles noisette. « J'ai eu la présomption de me dire que vous voudriez savoir si le vaccin n'avait eu aucun effet, même après tout ce temps.» Nouveau petit sourire de ta part, toujours avec cet air amical, presque joueur. Et, avec un soupçon de volonté, tu supprime la gravité de vos deux corps qui, très doucement, très lentement, se mettent à léviter puis à s'approcher l'un de l'autre jusqu'à ce que vous soyez proches, comme si vous aviez une discussion normale ; la gravité évanouie, tu ne sens plus la masse de ton propre corps, détournée à présent, et une sensation de liberté s'épanouit en toi comme à chaque fois, énivrante. « Votre patiente se porte à merveille - et la gravité également » et, très délicatement, vous retombez au sol comme si quelqu'un vous y déposait avec douceur. Tu souris enfin, l'air presque provocateur. Peut-être que son humeur enfantine, adolescente jusque dans ses railleries, a déteint sur toi ? Tu replaces quelques mèches de tes cheveux bruns derrière ton oreille, manquant de glousser, fière de ta petite entrée comme une gosse. « Et vous, comment allez vous ? J'en oublie mes bonnes manières, à tenter de vous impressionner avec mon entrée en fanfare » déclares-tu avec une sincérité ingénue, avec un éclat de rire doux. Tu clos enfin les lèvres, le regard posé sur lui de haut de ta petite taille. Par un certain côté, sa présence t'a manqué, depuis la fin de vos expérimentations et le recours au vaccin. Tu es heureuse d'avoir pris ce temps pour le revoir, même quelques instants - tu es consciente de ce temps que tu voles à son travail, et tu ne lui en voudrais même pas s'il te congédiait vivement. Tu espères, sottement sans doute, qu'il soit un peu heureux de te revoir.



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Anthony E. Stark
Anthony E. Stark

sosie : Robert Downey Jr dialogue en : #ff9900 p'tit nom : Ves balles tirées : 93 en cavale depuis le : 16/10/2020

bougies soufflées : Officiellement 50 ans, biologiquement 40 ans. Mentalement? Eternel ado.
double identité : Iron Man
gagne-pain : PDG de Stark Entreprise pour ce que ça vaut dans le contexte actuel. Inventeur de génie qui pond des armures comme d'autres pondent des photos de leur petit-déjeuner sur Instagram.
ligne de coeur : Célibataire qui en profite.
génome : Humain

talents et vertus : - Intelligence Exceptionnelle
- Inventeur génial
- Trop riche pour son bien
- Sens des affaires
- Très bon pilote
- Bon combattant au corps à corps
- Technologies diverses et variées créées et brevetées par lui-même
- Polyglotte
- Excellent tireur


MessageSujet: Re: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyMar 8 Juin - 1:31



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Ariel Deboisblanc & Tony Stark


La tour Stark avait toujours été le sujet de débats dans le milieu médiatique. Extravagance de son créateur, tâche dans le décor de New-York, phare de la nouvelle technologie et obélisque annonçant les technologies de demain, preuve de l’ego de son propriétaire. A vrai dire, elle était un peu tout cela à la fois. Tony ne se cachait pas de l’avoir fait aussi grande et avec son nom dessus tout simplement parce qu’il en avait les moyens. Elle était aussi cependant devenue sa tour d’ivoire. Malgré les nombreux bureaux qui s’y trouvaient, le dernier étage était aménagé pour être le sien, véritable loft spacieux où il pouvait regarder la ville de toute sa hauteur en écoutant la musique qui lui plaisait, se plongeant sur les plans de nouvelles armures encore et toujours, de nouveaux projets plus grands encore. Mais cette tour était aussi un moyen pour lui de protéger les civils en se plaçant directement une cible sur le front. Les menaces n’auraient jamais à le chercher bien longtemps pour l’attaquer en faisant des dommages collatéraux qui étaient purement évitables. Insolent envers ses ennemis, cette tour était une façon pour lui de leur dire où il était et qu’il n’avait pas peur d’eux. Un pied de nez qui les forçait souvent à l’attaquer de façon frontale, ce qui était bien souvent prévu par le héros.

Alors qu’il s’amusait à réfléchir sur un moyen de fournir la totalité de new-york en énergie propre et renouvelable grâce au réacteur arc en écoutant Sympathy for the devil des Rolling Stone, l’hologramme qu’il ne connaissait que trop bien apparu en s’asseyant sur son bureau.

« Tony, vous avez invité Miss Deboisblanc à vous rejoindre ici ? » Demanda Friday avec un ton légèrement suspicieux. Le milliardaire souleva un sourcil, surpris de la question. « Tu le saurais si c’était le cas, tu as accès à mon emploi du temps, Friday. Pourquoi tu me demandes ça ? » Répondit-il. Ariel Deboisblanc était une connaissance de quelques temps, maintenant. Une mutante, professeur à l’institut et avec qui il avait de fait déjà collaboré quelques fois en tant qu’Avengers. Cependant, il avait été bien plus souvent en contact avec elle après le A-Day, lorsqu’elle s’était proposée pour être l’une des principales patientes et « sujet » visant à la création du vaccin contre le M-Pox. Autant dire que Tony avait pris soin de prendre toutes les précautions nécessaires et même plus pour ne pas qu’elle risque sa vie en agissant ainsi. Le scientifique et ingénieur ne pouvait qu’apprécier le courage qu’il avait fallu à cette femme pour se proposer de subir des tests pouvant être dangereux pour sauver sa population et les plus jeunes mutants. Bien que leurs premières rencontres étaient pour le moins formels, sa patiente ayant sûrement de lui cette image négative lancée à tort et à travers par les journaux qui aimaient rabâcher encore et encore ses frasques maintenant légendaires et son côté playboy assumé, mais elle avait su passer au-dessus de cela, pour au final devenir une compagnie plaisante pour lui plus qu’une simple patiente « test ».

« Tout simplement parce qu’elle vient d’entrer dans la tour et qu’elle semble vouloir venir vous voir. » dit alors l’intelligence artificielle, semblant quelque peu frustrée de ne pas être au courant qu’une telle entrevue devait avoir lieu.

« Eh bien laisse-la venir, je ne suis pas contre ce genre de surprises. Et encore une fois, je ne le savais pas. » Dit-il avant que son assistante privée ne disparaisse en acceptant ses ordres, laissant alors la professeur de lettres le rejoindre dans sa tour.

Lorsqu’elle passa la porte, la jeune femme lui demanda si elle ne le dérangeait pas, lui disant qu’elle était passée en voyant le petit néon accroché en haut de la tour.

« Ariel, quelle surprise ! » Mentait-il, surjouant la surprise pour montrer à l’institutrice qu’il savait qu’elle allait venir. Il reprit un visage plus naturel pour continuer sur sa lancée, se levant de son bureau où s’amoncelaient différents plans et autres idées griffonnées sur du papier. « Vous voir n’est jamais dérangeant, du moment que vous ne venez pas me parler de la comptabilité de Stark Industries… et pour le néon, vous me connaissez, je suis l’humilité incarnée. »

Bien sûr, lui-même ne croyait pas à ce qu’il racontait, il connaissait trop bien son ego et ne cachait en rien qu’il faisait dans la démesure pour beaucoup de choses tout simplement parce qu’il pouvait se le permettre, agissant bien souvent comme un sale gosse prêt à accepter énormément de challenges. Lorsqu’elle commença à parler du vaccin, son attention fut bien plus centrée sur ce qu’elle s’apprêtait à dire, espérant qu’effectivement, elle n’avait pas eu d’effets secondaires, ce qui pourrait être catastrophique. Cependant, le léger sourire plein de malice qu’elle avait en disant cela semblait vouloir dire le contraire. Un sourire qui faisait plaisir à voir, d’ailleurs, se disait-il alors qu’il sentit soudainement ses pieds se soulever du sol et son corps se rapprocher du sien sans qu’il ne puisse rien faire. Tony maudissait son cerveau qui ne cessait de se dire que ce pouvoir pouvait être intéressant et avait un fort potentiel qu’il serait intéressant de voir plus en profondeur. Toujours en l’air, il se retrouva alors face à la mutante qui dit qu’elle se portait à merveille alors que leurs corps retombaient délicatement sur le sol. Instinctivement, comme une bonne manière qu’il avait toujours gardé depuis qu’on lui avait inculqué dès son plus jeune âge, il tendit la main pour attraper celle de son interlocutrice avant que ses pieds ne touchent le sol pour qu’elle atterrisse sans heurt. A bien y penser, c’était stupide puisqu’elle gérait elle-même leur atterrissage mais le geste avait tout simplement était purement instinctif.

Tony appréciait le léger sourire provocateur et fière d’elle que la femme laissait transparaître derrière le sourire qu’elle lui adressait en replaçant sa mèche tandis qu’elle lui demandait comment il portait, avouant qu’elle avait voulu l’impressionner. Répondant à son sourire par le sien, Tony répondit.

« Ravi de voir que vous vous portez à merveille ! De mon côté, tout va bien… Enfin, si j’oublie qu’une majeure partie du monde est contrôlée par des espèces de super-nazi avec leur armée de clone et que les journaux me disent fauché sans comprendre que mon « fauché » est assez différent du leur. » Dit-il, presque exaspéré par la situation. A les écouter, l’inventeur était pas loin d’être à la rue, ce qui était une grossière erreur de jugement. Ses revenus étaient bien moins conséquents pour le moment mais il lui restait malgré tout un sacré pactole à utiliser avant d’être véritablement sur la paille. De plus, de nombreuses idées qu’il avait pouvaient encore être mises en œuvre pour renflouer ses caisses. « Et pour couronner le tout, je reçois aujourd’hui-même la visite d’une charmante femme qui a le don de me faire me sentir plus léger quand je la vois. Que demander de plus. » Termina-t-il à son tour avec son côté charmeur et provocateur qui ressortait encore une fois. D’un geste de la main, il l’invita à s’asseoir dans l’un des fauteuils non loin de la fenêtre qui donnait un panorama sur tout New-York. Se dirigeant vers le bar, il sortit de ce derniers deux verres et une bouteille de vin non ouverte qu’il amena sur la table.

« Un petit verre ? C’est un petit vin que j’ai acheté il y a quelques temps, un Romanée Conti grand cru de 1945. Il parait qu’il est très bon. » Dit-il en présentant la bouteille comme un sommelier, ne s’amusant pas à se vanter, pour le moment du moins, que ces bouteilles étaient considérées comme les plus chers au monde.
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MessageSujet: Re: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyMar 8 Juin - 21:12

tony
&
ari
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Ariel retint un gloussement alors que Tony, théâtral comme toujours, feignait la surprise - elle n'était pas dupe, Friday avait dû l'avertir à des kilomètres à la ronde dès son entrée dans le bâtiment, voire même avant. Ce devait être grisant de posséder une telle entité, une telle vision des choses, un peu effrayant même quand elle l'imaginait. Elle n'aurait su que faire de Friday. Mais Tony l'employait sans aucun doute à de multiples affaires, à l'aune de son génie. « Vous parler de comptabilité ? Voyons, je n'ennuie jamais mon monde avec les chiffres. » Tu aimes les lettres, toi, la poésie et les mots, non les nombres. Même si, par la force des choses, tu as dû t'intéresser aux lois de la physique, étant donné le pouvoir que t'as donné la nature. Il a toujours été bon de comprendre comment les lois universelles fonctionnent, surtout quand l'on maîtrise l'une d'elle. Tu ne rajoutes rien sur l'humilité incarnée, tu te contentes d'un regard amusé, un rien d'yeux levés au ciel pour mettre en doute les dires de l'homme. C'est qu'en connaissant Tony, tu peux te le permettre - néanmoins, tu reconnais que même s'il possède un égo surdimensionné, il a presque le droit d'en faire étalage, après tout. Tu as eu la joie de découvrir que derrière les apparences, il était un homme bon, bien meilleur que ce qu'on pouvait dépeindre de lui.


Tony sembla reprendre son sérieux à la mention du vaccin ; tu départis rapidement la situation de son élan dramatique, tu n'avais pas l'intention de l'inquiéter. Tu souris, délicatement, touchée par la galanterie qu'il forme de son geste, comme si tu descendais d'une voiture et qu'il pouvait t'aider à t'en extirper. Geste amusant, galant et poli. Qu'il soit dit que Tony est un homme aux bonnes manières. Un chevalier servant, version 2.0, dont l'armure est un tantinnet plus moderne que dans les anciennes gestes de la Table Ronde. Ce n'est pas plus mal - tu n'es pas sûre que les casques aux formes désuètes de l'époque auraient convenu au milliardaire. « Tout roule comme sur des roulettes, alors » susures-tu doucement, avec un sourire en coin, avant de poser ta main sur son avant-bras. Tu ne lis plus les journaux ou les tabloïds, n'ayant nulle confiance en eux ; leurs mensonges avaient formulés les frasques de Tony, et de bien d'autres, avec l'acidité et l'hypocrisie de ce domaine journalistique. Tu ne voulais pas lire de choses cruelles et fausses - ni cruelles et vraies, d'ailleurs. « Fauché, hein ? Il est vrai que maintenant que j'observe avec plus de détails, vous semblez sur le point d'être mis à la rue ... Vous savez où me trouver, ma porte vous est ouverte » lances-tu avec un clin d'oeil. Bien que pleine d'humour dans ton discours, la proposition est cependant sincère. Tu roules encore des yeux au ciel, entre amusement et embarras, le visage exprimant bien combien Tony n'est qu'un vil flatteur. Tu ne doutes guère que de charmantes demoiselles, il doit en voir passer - ses frasques de playboy sont connues, et il doit sans doute connaître nombre de mannequins, actrices et autres créatures tout aussi divines, auprès desquelles une mutante professeure doit être le cadet de son attention. Mais tu as la gravité pour toi, au moins.


Léger rire devant les mimiques feintes de Tony, qui s'improvise sommelier - cela ne t'étonnerait pas qu'il s'y connaisse réellement au point de surpasser bien des français. Ou même toi. Tes propres connaissances ne doivent guère rivaliser. « Vous proposez du vin à une française ? Vous jouez un jeu dangereux » que tu t'amuses, avant de réaliser quel genre de cuvée il a proposée ; tu te mets à marmonner, tout bas, gênée : « Oh Tony, non ... ne vous sentez pas obligé ... je ... » mais tu t'interromps avec embarras, joues roses ; s'il a envie lui-même de boire cette excellente bouteille, qui es-tu pour l'en empêcher ? Et puis, il a titillé ta curiosité ; tu as envie de goûter cette cuvée qui sera sûrement la meilleure que tu goûteras jamais. Tu t'approches de la baie vitrée, observant la ville en contrebas, charmée par la vue. « Les affaires vont si mal que ça ? » tu soupires enfin en lui lançant une oeillade en coin ; le sous-entendu de ton timbre de voix doux est sans appel, il n'est pas là pour te rendre des comptes et s'il veut changer de sujet ou ignorer ta question, qu'il le fasse. Tu as attrapé le verre de vin et après avoir lancé un grand sourire au brun, tu goûtes le vin après l'avoir laissé respirer. L'arôme heurte les papilles ; presque un siècle qu'il attend d'être dégusté, et tu ne lui feras pas défaut. Tu as un claquement de langue appréciateur, les lippes extatiques, soupir langoureux du plaisir du bon vin. « J'ai le droit de désirer ne plus boire que ça jusqu'à la fin de ma vie ? » plaisantes-tu en haussant les épaules d'un air navré - ce n'est pas possible, mais tu peux toujours en rêver. « J'ai été rendre visite à Gwendolyn, il y a peu. Son ventre s'arrondit de plus en plus. Elle a de la chance d'avoir tant de gens autour d'elle pour la soutenir et l'encourager - à lever le pied, surtout » dis-tu dans un petit rire, en baissant les yeux, prunelles voilés de tes longs cils. Le souvenir nostalgique d'un projet semblable te revient, frappe en plein coeur, repart comme il était venu, sauvage et féroce comme un fauve ; tu retiens un petit soupir chagriné, bois une nouvelle gorgée pour te donner contenance. « Quel est votre secret pour avoir l'air encore aussi jeune ? J'aurai bientôt plus de rides que vous » protestes-tu en tendant un index faussement accusateur vers le milliardaire. Tu hausses un sourcil, sourire en coin ; « mais le bouc vous va mieux, je vous l'accorde. » L'humour de Tony t'a contaminé ; tu ne peux t'empêcher de lancer quelques boutades, à moins que le vin ne te monte à la tête, quelle belle excuse. Pourtant, tu approuves, tu adhères à cette légéreté qu'il amène avec lui, cet amusement permanent ; s'il peut être sérieux, c'est dans ces moments simples, doux, que tu apprécies d'autant plus sa présence. « Sur quels projets travaillez-vous, en ce moment ? Promis, je ne suis pas une espionne, je garderai le secret, croix de bois, croix de fer » et tu fais ces gestes de gosses, quand ils promettent de garder les promesses ; tu as un petit sourire, mais tu es curieuse de connaître ce qui peut intéresser Tony, ces derniers temps. Une nouvelle version de son armure ? Tu as longuement hésité à lui proposer de l'aide sur quelque chose en rapport avec la gravité, mais comment exprimer, expliquer un pouvoir que tu contrôles par réflexe, aussi naturellement que la respiration ? « In vino veritas » cites tu Baudelaire avec un sourire mutin, malicieux, avant de boire une nouvelle gorgée de vin. Puis ledit verre lévite autour de toi, par jeu, par amusement ; pour un peu, tu proposerais à Tony de vous envoler, de vous dépayser un brin, mais folie que voilà.


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Anthony E. Stark
Anthony E. Stark

sosie : Robert Downey Jr dialogue en : #ff9900 p'tit nom : Ves balles tirées : 93 en cavale depuis le : 16/10/2020

bougies soufflées : Officiellement 50 ans, biologiquement 40 ans. Mentalement? Eternel ado.
double identité : Iron Man
gagne-pain : PDG de Stark Entreprise pour ce que ça vaut dans le contexte actuel. Inventeur de génie qui pond des armures comme d'autres pondent des photos de leur petit-déjeuner sur Instagram.
ligne de coeur : Célibataire qui en profite.
génome : Humain

talents et vertus : - Intelligence Exceptionnelle
- Inventeur génial
- Trop riche pour son bien
- Sens des affaires
- Très bon pilote
- Bon combattant au corps à corps
- Technologies diverses et variées créées et brevetées par lui-même
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- Excellent tireur


MessageSujet: Re: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyMer 9 Juin - 23:31



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Ariel Deboisblanc & Tony Stark


« Et c’est une qualité que vous ne devez jamais perdre. Croyez-moi, personne n’aime la comptabilité… Sauf pour s’endormir. » Lâcha Tony lorsque son « invitée » s’exprima au sujet de son peu d’envie de l’ennuyer avec de quelconques suites de chiffres. Bien qu’il soit un businessman talentueux, le quinquagénaire préférait de loin se focaliser sur la partie recherche et développement de ses affaires que sur les chiffres qu’il engrangeait. C’était des informations superflues à ce stade et il ne pouvait se permettre de les écouter éternellement. Après la petite mise en scène de la professeure de Lettres pour montrer sa capacité retrouvée à maîtriser ses pouvoirs, elle confirma avec ses propres mots que tout allait bien, achevant sa petite tirade par un sourire auquel il répondit par le même geste. La jeune femme semblait heureuse d’avoir retrouvé ses pouvoirs et surtout le plein contrôle sur ces derniers et Tony ne pouvait que comprendre cela. Lui-même détestait perdre le contrôle sur ce qu’il faisait, ce qu’il pouvait faire. Ce n’était pas pour rien qu’il prévoyait toujours plusieurs coups d’avances sur ses adversaires. Être pris au dépourvu, devoir laisser la place à la chance et au hasard était une chose qui l’ennuyait au plus haut point. De plus, le fait qu’elle aille bien signifiait que les mutants étaient en partie tirés d’affaire. Bien sûr, ils avaient toujours d’autres problèmes, mais au moins le M-pox n’en était plus un.

Enfin, lorsque vint la question des pertes d’argent de Stark Industries et, de fait, celles de son propre compte en banque, la mutante lui dit avec un humour teinté de vérité que si jamais il avait des problèmes, sa porte lui était toujours ouverte, lui faisant un petit clin d’œil complice qui fit lever le coin de ses lèvres en un fin sourire derrière son bouc alors qu’il lui répondait. « Eh bien je passerai à l’occasion alors. Je me sentirais mal de refuser l’invitation. Enfin… Prévenez quand-même Logan que je suis autorisé à venir chez vous, je n’ai pas envie qu’il vienne me montrer ses griffes pour rien. »

Alors qu’il la vit rouler des yeux lorsqu’il s’amusa à lui faire un compliment charmeur, il leva lui-même un sourcil, surpris de cette réaction malgré tout. « Je sais, vous vous dites que je dois dire ça à toutes les femmes. Ce n’est pas tout à fait faux mais au-delà des apparences, vous avez aussi du vocabulaire, un caractère plaisant. Croyez-moi quand je vous dit que vous avez probablement plus de charme que les mannequins qui viennent me voir pour se faire bien voir et être prises sous leur meilleur angle par des paparazzis. »

Alors qu’il servait le vin, la jeune femme commença à vouloir le défier de par ses origines française avant de se raviser et d’être gênée face à la bouteille qu’il avait débouchonné, lui disant qu’il ne devait pas se sentir obligé de sortir un tel cru.

« Ces bouteilles ne s’ouvrent pas quand on se sent obligé de le faire, ma chère, mais quand on en a envie. C’est le principe d’un vin de luxe. Pour les formalités, j’ai une bouteille vide du même vin que je remplis d’un vin moins cher. C’est toujours amusant de voir certaines personnes jouer les experts avec du beaujolais nouveau. Donnez-leur un autre emballage et ils vous diront que vous avez versé de l’or dans leur verre. » Dit-il avec un air légèrement exaspéré par cette manie de vouloir sembler plus cultivés et plus fins qu’ils ne l’étaient. En un sens, même s’il restait une diva, celui que l’on nommait Iron Man préférait de loin boire une bière avec ses amis Avengers qu’une coupe du meilleur champagne avec d’autres entrepreneurs qui pensaient vivre dans dans un épisode de Game of Thrones. Faux-semblants, trahisons, messes basses… Tout y était, et pour les dragons, on pouvait compter sur le squat du Sanctum pour en faire apparaître à diverses occasions. Alors qu’elle admirait la vue, la jeune femme lui demanda si les affaires allaient si mal que ça. Il haussa les épaules et s’approcha d’elle.

« Disons plutôt qu’entre AIM qui avait pris la tour Stark et maintenant Hydra qui contrôle une partie du monde… La clientèle ne se bouscule pas au portillon. La situation n’est pas catastrophique, cependant, j’ai toujours de quoi vivre pleinement et il faudra encore beaucoup de temps avant que je ne me retrouve à devoir vous demander de m’héberger sous peine de dormir dehors. »

Lorsqu’elle flatta le vin qu’il avait choisi, exprimant son souhait de ne plus boire que cela, il sourit du coin des lèvres, d’un air légèrement narquois. « Vous risquez la déshydratation, il n’y a plus beaucoup de bouteilles de cette date en circulation. Et faites attention, pour l’avoir fait, ne boire que de l’alcool, même de qualité, ce n’est vraiment pas recommandé. »

L’alcoolisme avait en effet longtemps été un fléau pour lui. Fléau qui avait repointé le bout de son nez dans les deux ans qui avaient suivi l’A-Day et qu’il avait de nouveau surmonté. Il savait que boire un verre de temps en temps pouvait encore être dangereux et ranimer son ancienne addiction, mais il savait qu’il pourrait se modérer, ce qui était très clairement un grand pas par rapport à certaines fois précédentes. Elle parla ensuite de Spider-Girl, la jeune araignée enceinte recrutée par Steve.

« vous avez bien fait. On essaie tous de la raisonner à ce sujet, mais c’est à croire que certaines personnes n’écoutent jamais ce qu’on leur dit de faire. » Ho, il pouvait parler, lui. L’enfant terrible des Avengers, celui qui n’en avait toujours fait qu’à sa tête et qui ne savait pas faire autrement. Au moins maintenant Steve ne pouvait plus lui reprocher d’avoir recruté quelqu’un sans en avoir parlé avec tout le monde auparavant, et ça, ça avait le mérite de lui retirer une épine du pied. Malgré tout, au fond de lui il espérait que la grossesse se passe bien, tout simplement. Lorsque vint sur le tapis sa jeunesse apparente, Tony sourit d’un air presque mystérieux.

« J’ai des produits pour la peau qui font des merveilles. » Dit-il faussement avec un léger clin d’œil. « Non, disons tout simplement qu’au bout d’un moment, pour améliorer la machine, il fallait améliorer l’homme. Enfin, je vous rassure, rien d’étrange, je ne suis pas un cyborg ! » Dit-il alors avec un rire dissimulé. Il n’en était pas un mais il avait maintenant une armure en permanence sur lui-même… Ou plutôt en lui-même. Il approcha son visage de celui de son interlocutrice avant de dire tout simplement.

« Quant aux rides que vous dites avoir, je n’en vois pas une seule qui puisse altérer ce que je vois. Jolis yeux noisette, soit dit en passant. »

Il n’avait pas oublié la question sur ses projets lancée par l’institutrice et il se recula un peu avant de dire tranquillement. « Ho plusieurs choses en fait… Je voulais voir à créer un réseau d’électricité auto-alimenté par un réacteur arc pour alimenter la ville de New-York. Une énergie plus propre, infinie et moins cher pour ses utilisateurs. Ce serait une bonne chose mais je vais devoir batailler avec d’autres entreprises dont ça entâcherait le business. Sinon… » Il tendit son bras devant lui et ce dernier commença à se recouvrir seul d’une armure qui semblait sortir de lui-même, ce qui était le cas. Il bougea alors son bras dans son armure rouge et or avant de la faire disparaître à nouveau.

« Je l’ai appelé la Bleeding Edge. Armure composée de nanomachines, j’ai fait les plans avec la princesse du Wakanda. Comme ça, je n’ai plus besoin d’appeler une armure ou de mettre du temps pour en équiper une. Je suis purement et simplement Iron Man.» Dit-il alors avec un sourire provocateur. Peut-être allait-elle lui faire une remarque sur sa propension à faire des expériences risquées sur lui-même pour améliorer ses possibilités d’action face aux menaces que les Avengers affrontaient, mais l’expérience était faite et fonctionnait, il ne voyait donc rien à regretter.

« A vrai dire, c’est en faisant des expériences pour implanter ces nanomachines que j’ai développé une légère régénération cellulaire, sûrement les nanomachines qui réparent mes cellules plus rapidement qu’elles ne devraient l’être. C’est pour ça que je vieillis moins vite et que mes capacités physiques restent au top. » Il s’approcha alors de l’institutrice et lui dit en la regardant droit dans les yeux.

« Mais si ça ne vous dérange pas, j’aimerai que ça reste un petit secret entre vous et moi. C’est une information qui pourrait valoir cher. Vous pouvez faire ça pour moi ? Et je promet de faire au moins une chose que vous voulez, peu importe laquelle. Ca me semble un bon compromis, non ?» Dit-il avec un léger sourire. Cela permettrait peut-être aussi à Ariel de proposer quelque chose qui sortirait de l’ordinaire et au milliardaire de voir quelle genre de chose elle pouvait désirer quand on lui laissait le contrôle de la situation.
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MessageSujet: Re: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyJeu 10 Juin - 18:51

tony
&
ari
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Tes lippes aggrandissent leur sourire quand Tony continue de plaisanter. Il n'a pas tord - la comptabilité n'a jamais rien eu de très sexy ou d'incroyablement divertissant. Les chiffres ne sont pas ton domaine ni ton truc. Et c'était amusant de voir qu'un homme d'affaires, génie reconnu et scientifique de renom, comme Tony puisse délaisser de tels sujets également. « Je me souviendrai de vous chanter une berceuse sur les avis fiscaux, un jour » ripostes-tu ; la scène ne manque pas de piquant, bien qu'elle soit absolument absurde et n'arrive jamais. Les probabilités sont du zéro exact. Pour la simple et bonne raison que tu ne vois aucune bonne raison pour laquelle tu chanterai une berceuse à Tony Stark, pour commencer. Ce début de discussion vous a mit en jambes ; tu retrouves la familiarité, la complicité qui a pu se créer entre vous au cours du temps passé et cela te fait du bien, rassasie une partie de toi affamée de compagnie et d'allègre futilité. Quand Tony accepta volontiers de passer te voir, tu souris doucement. Tu avais pris depuis peu un appartement à New-York mais tu disposais encore de ta propre pièce là-bas, mais avant de le préciser, tu te moques gentimment : « Vous auriez peur de Logan, un grand garçon comme vous ? » et l'air malicieux, l'oeil pétillant, tu es narquoise. Puis, tu ajoutes : « Vous pouvez aussi passer me voir ailleurs, j'ai pris un appartement à New-York, c'est parfois bien plus pratique que de vivre à l'Institut. » Tu hausses les épaules ; la balle est dans son camp et s'il souhaites passer un jour, qu'il s'en sente libre, il sera le bienvenue.


Quand Tony te reprit d'un air confondu sur ton roulement d'yeux, tu battis des paupières, confuse. Entre l'amusement de l'entendre avouer qu'il se montrait charmeur avec tout ce qui lui plaisait, et l'étonnement de la sincérité de son compliment, de son appréciation. Tu te mordillas la lèvre, les joues prenant une teinte rose. « Mince, si j'avais su qu'il y aurait des paparrazis, je me serai repoudré le nez » murmures-tu d'un ton faussement artificiel ; tu lances cependant un sourire à Tony. « Je note que vous aimez une tête bien faite mais pleine, ce doit sûrement être moins ennuyant comme ça » glousses-tu doucement. Même si tu imagines, sans difficulté, que nombre de célébrités doivent désirer ardemment traîner avec Iron-Man. Malgré la légère dépréciation de ces derniers temps, et les journaux qui continueront à jamais de casser du sucre sur tout ce qui attire l'attention, il reste un homme populaire aux frasques avérées. L'épisode du vin te laisse rougissante comme s'il t'offrait un cadeau trop grand, trop beau pour toi. Mais l'anecdote laissa tomber la légère gêne que tu pouvais ressentir. « Vous êtes un véritable fripon, Tony. » Tu t'exclames avec la joie d'une gamine, parce que ce petit fait, cette petite anecdote, est si drôle. Le monde dans lequel il évolue est plein de requins et de faux-jetons. Tu ne pourrais guère y tenir ; tu admires la force qu'il doit avoir pour tenir tout cela d'une main de fer, pour connaître les codes et continuer de faire ce qu'il désire au mépris du qu'en-dira-t-on. « Vous jouez souvent ce genre de tours ? » demandes-tu, avide d'en savoir plus. Et puis, cette façon de vivre, cette légèreté, cette malice qui trône chez Tony te divertit, t'amuses. Tu ne frôleras jamais son monde, mais qu'il te le raconte un peu et ton imagination débordante s'anime, s'enflamme. Et puis, il a le don d'animer sa voix, de porter ses légendes, et tu te prends à rire encore en imaginant tout cela. Mais peut-être n'y a t-il pas forcément épisode à rire ; ton inquiétude pour Tony n'est pas feinte. Tu es certaine qu'il retombera sur ses pieds ; il est plein de ressources, d'énergie et d'idées. Tu grimaces quand il parle d'AIM et d'Hydra - il a tout à fait raison. « Je suis sûre que le vent va tourner et que tout va s'arranger. » Tu peux paraître bien naïve, sur ce point ; pleine d'un espoir fou que tout ira mieux, toi qui veut que le monde devienne meilleur. Tout s'arrangera - pour Tony, pour l'univers, pour toi. Tu positives, faute de mieux. C'est presque ironique. « Nous sommes passés du joug technologique au joug tyrannique ; je ne sais pas si on peut dire qu'il y a du mieux mais ... » marmonnes-tu avec un sourire sans joie, plein d'un sarcasme mordant. Mais tu hausses encore les épaules ; tout cela te pèse un brin et tu voudrais pouvoir balayer ces adversaires d'un chiquenaude, annihiler tout le pouvoir qu'ils ont accaparés pour faire le mal. Qu'une telle malveillance, qu'une telle cruauté existe te fait froid dans le dos. Heureusement, il existe des gens comme Steve ou Tony qui combattent ces démons faits de chair. Tu changes de sujet, peu subtilement ; tu manques de te frapper le front du plat de la main avec une nouvelle grimace. « Je vais suivre vos sages conseils alors, même si je regretterais cette saveur somptueuse. »  Façon détournée de dire combien tu apprécies le vin - et la compagnie en elle-même n'a rien pour rabaisser la situation. A dire vrai, sans Tony pour le partager, le vin te paraîtrait plus fade, sans doute. Tu espères qu'il ne t'en voudras pas d'avoir oublié son passif avec l'alcool ; à le voir à présent, qui se douterait de ses anciens démons ? Néanmoins, le démon des simagrées semblait tenir Tony en son poing. Tu émets un petit rire moqueur ; « Oh oui, certaines personnes refusent totalement toute sorte d'ordre ou de hiérarchie ; le même genre de personne qui aime faire ce qu'elle veut et qui se montre têtue non ? Je vois tout à fait le genre » que tu glisses en tapotant du bout du doigt le torse du brun avec un sourire en coin. C'est qu'il aurait presque l'air innocent, en parlant de Gwen la tête de mule, mais il n'est pas mieux. Véritable électron libre, tu songes que personne n'a jamais dû faire ployer Tony contre son gré.


Les plaisanteries sortent de tes lèvres, l'haleine légèrement fruitée qui accroche ses arômes sur tes lippes. Les minauderies de Tony sur sa jeunesse corporelle t'amusent. Il t'intrigue, également. « Améliorer l'homme » répètes-tu dans un souffle à peine audible, tentant de démêler les propos mystérieux. « Y'en a t-il vraiment besoin ? » que tu taquines gentimment, l'air faussement malin. Tu cilles quand il s'approche de toi, plonges ton regard dans le sien, d'un noir d'obsidienne. Tu hausses un sourcil, entre une fière joie coquette et une satisfaction surprise et stupéfaite. « Peut-être utilise t-on les mêmes crèmes alors » tentes-tu avec un air narquois ; tu continues de l'observer, réellement curieuse. Il semble cacher quelque chose ; il n'a aucune raison de t'en révèler la teneur, bien sûr, mais tu ne demandes pas mieux, sans savoir que ta question s'en approche dangereusement. L'énergie verte est posée sur le tapis, tu hoches la tête, réfléchissant déjà à l'impact d'un tel projet quand Tony embraye sur d'autres propos et, laissant sa phrase en suspens, tend son bras entre vous. Automatiquement, tu baisses les yeux. Ils s'écarquillèrent doucement, tes pupilles noircissent, ton souffle se coupe, tes prunelles reflètent plus fortement la lumière en prenant des tons d'or brun. Tu portes une main à ta bouche, théâtrale sans le vouloir, puis ta main libre, ton verre venant flotter près de toi dans un réflexe, tu viens poser le bout de tes doigts sur l'armure, frôle le métal, qui reprend rapidement sa forme de bras humain. Tu retires tes dextres de la peau tiède et ferme ton poing, embarassée de ce geste de pure surprise enfantine. Tu relèves les yeux vers le visage du quinquagénaire, l'air électrisé. Tu sens, tu devines combien ce qu'il vient de montrer est à la fois secret, incroyablement mystérieux et totalement époustouflant. Et ses explications ne font qu'épingle cette certitude dans ton crâne. « Vous l'avez toujours été » sussures-tu, tendrement - IronMan a toujours été Tony Stark, après tout - « mais vous touchez autre chose là, je dois vous avouer. » Tu vois cette provocation, cette espèce de fièvre chez Tony qui te gagne, fait rougir tes joues devant son excitation de petit garçon en train de montrer son projet de science. C'est à la fois adorable et un peu effrayant, quand tu songes qu'il a fait des expérimentations sur lui-même. « Vous ne changerez jamais. Pour repousser les limites, vous n'hésitez pas à vous mettre en danger. Mais vous le savez déjà, vous n'avez pas besoin d'une leçon de morale alors ... Félicitations. Je ne peux qu'être admirative devant ce que vous êtes capable d'accomplir ! » Tu ne caches pas ton intérêt et ton émerveillement innocent. Le génie de Tony te heurte avec fracas, comme à chaque fois que tu tentes d'imaginer sa vaste intelligence. Il est loin d'être stupide ou enfantin - malgré quelques travers dignes d'un adolescent. Tu l'écoutes parler de nanomachines, non sans baisser les yeux, quelques fois, sur son bras comme si l'armure pouvait en rejaillir, de carmin et d'or. « Cette armure vous offre de nouvelles capacités très sympathiques, dites-moi, » fais-tu d'un air rêveur avant de le fixer tandis qu'il s'approchait à nouveau.


Tony n'avait sûrement pas cherché à créer ce petit frisson au creux de toi, mais peine perdue, tu laisses ton visage ébahi se mettre à sourire d'un air provocateur à ton tour. « Peu importe ce que je veux ? Oh, Tony, vous ne saisissez pas le poids de vos mots » ronronnes-tu, ton sourire s'étirant. Mais si d'autres pourraient rêver d'argent, de belles voitures, les possibilités infinies ne te sont finalement pas aussi artificielles. Tu fais semblant de réfléchir à haute voir, pour le taquiner. « Quelle incertitude, que choisir ? J'ai presque l'impression d'avoir un génie juste pour moi. » Tu lui tournes le dos, mains en bas des reins, attitude pensive. Puis tu te retournes et à nouveau, ton index se pose sur le poitrail de l'Avenger ; il y tapote les muscles, fièrement. Fini de taquiner.  « Je vous promets bien entendu de garder ce secret juste pour moi. Que vous l'ayez partagé me suffit. Mais vous m'avez promis à demi-mot le monde entier, et je compte bien en profiter. Allons nous amuser. Sortons. Il me semble que nous n'avons jamais partagé un moment en dehors de cette tour - bien qu'elle soit parfaite, bien sûr » dis-tu avec un éclat de rire enthousiaste. « Libre à vous d'essayer cette nouvelle forme d'armure - je me doute que vous l'ayez déjà fait. Et puis - qui sait, si l'on fait la course, qui de nous deux gagnerait ? » le provoques-tu à nouveau, regard taquin, brûlant de défi. Tu t'élèves à quelques centimètres déjà, le regard flamboyant, bravache et joueuse ; Tony est plus grand que toi et tu lévites déjà, plus petite que lui encore, qui s'élève de sa stature plus imposante que la tienne. Tu n'as pas envie de songer aux choses sombres. Tu étais venu dire simplement bonjour, mais voilà une trop belle occasion. Tu cesses soudain de sourire, l'air modeste. « J'aimerai presque vous arracher à tout cela, à vos petits soucis, vos tracas, mais peut-être avez-vous du travail plus important, pardonnez-moi » que tu rougis, brusquement irrésolue. « Mais si ce n'est possible aujourd'hui, vous pouvez me faire la promesse qu'un jour, on défiera le ciel ensemble. » Et, d'un air têtu, hardi, tu finis ton vin d'une gorgée, te mordilles la lèvre et lève un regard vers le ciel. Tu aimerais ardemment t'y élever, sans plus rien penser à autre chose, mais Tony n'est pas aussi libre que toi. Tu râlerais presque - et puis, s'il fait ce qu'il veut ... Véritable girouette, tu lui attrapes la main et vous vous élevez à nouveau. Ensemble, cette fois. « Vous savez quoi ? Au diable tout le reste. Oubliez mes réserves, et on sort. Pas de discussion. Ou je vous kidnappe - la gravité peut être une maîtresse exigeante » que tu t'amuses à exhorter, le regard amusé. « Friday ? Quel temps fait-il, dehors ? » demandes-tu doucement, incertaine de savoir si l'IA te répondra ou non - attendant doucement voir, quitte à ce que Tony réclame l'information. Vous vous élevez encore, et tu t'approches de Tony, l'air enjoué. « Avez-vous déjà volé de cette manière ? Il ne s'agit pas vraiment de vol, à dire vrai. Mais vous voilà sans armure, sans avion ou autre machine autour de vous. Juste votre corps et la gravité - ou plutôt son absence. Vous ne pesez presque plus rien et chacun de vos mouvements est libre de toute attache. Est-ce que vous partagez cette sensation ? Cette exaltation, cet ébahissement face à la liberté que cela procure ? » souffles-tu, électrisée ; Tony n'est pas le premier à qui tu dénies la gravité, mais pour une fois, tu demandes à autrui ses sensations. Tu as toujours aimé cet état de lévitation, où tu ne pèses plus rien, où tu es si légère qu'une plume, où tu peux toucher les étoiles du bout des doigts et renier l'univers tout entier. Est-ce que Tony ressent ça, aussi ?


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Anthony E. Stark
Anthony E. Stark

sosie : Robert Downey Jr dialogue en : #ff9900 p'tit nom : Ves balles tirées : 93 en cavale depuis le : 16/10/2020

bougies soufflées : Officiellement 50 ans, biologiquement 40 ans. Mentalement? Eternel ado.
double identité : Iron Man
gagne-pain : PDG de Stark Entreprise pour ce que ça vaut dans le contexte actuel. Inventeur de génie qui pond des armures comme d'autres pondent des photos de leur petit-déjeuner sur Instagram.
ligne de coeur : Célibataire qui en profite.
génome : Humain

talents et vertus : - Intelligence Exceptionnelle
- Inventeur génial
- Trop riche pour son bien
- Sens des affaires
- Très bon pilote
- Bon combattant au corps à corps
- Technologies diverses et variées créées et brevetées par lui-même
- Polyglotte
- Excellent tireur


MessageSujet: Re: back to normal ((TONY))   back to normal ((TONY)) EmptyDim 13 Juin - 20:17



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Ariel Deboisblanc & Tony Stark


Tony haussa les épaules avec un air presque penaud lorsqu’Ariel lui demanda s’il avait peur de Logan. « Si je devais décrire l’évidence, je dirai que c’est moins de la peur que de l’appréhension. Il me rappelle quelques hommes bourrés dans des pubs irlandais. On leur dit bonjour pour être polis et on se retrouve très vite par terre avec le nez en sang sans savoir pourquoi. » C’était en tout cas la vision qu’avait Tony du mutant griffu. Il n’était certes pas du côté des criminels et essayait tant bien que mal de sauver le plus de vies… Mais c’était une sacré tête de nœud qui utilisait plus souvent ses poings que sa tête. S’il avait eu envie d’être plus virulent, il aurait probablement dit qu’il se demandait si l’ossature en adamantium du mutant n’empêchait pas son cerveau d’être oxygéné suffisamment mais cela pourrait être mal perçu et il s’en abstint. Lorsqu’elle lui expliqua qu’elle avait un appartement à New-York, en dehors de l’institut, il répondit alors avec un léger sourire. « Eh bien je n’y manquerai pas. Et je vous comprends, vivre sur son lieu de travail ce n’est pas toujours sympathique. Enfin… » Il regarda autour de lui, le panorama, son bureau, le bar, le vin qu’il tenait. « Je suis assez mal placé pour dire ça. »

La réplique sur les paparazzi de l’institutrice lui fit alors souffler du nez par amusement. Avant même qu’il ne puisse répondre, une voix résonna alors dans la salle.

« Sachez qu’un Paparazzi ne viendra déranger monsieur Stark dans cette salle, je m’en assure personnellement. » Dit alors Friday, sur un air fier d’elle et à la fois blessée dans son orgueil. Tony fit un geste de la main vers les enceintes posées ici et là vers le mur avant de hausser les épaules. A vrai dire, il ne savait pas trop ce que leur faisait subir Friday, mais comme il n’y avait jamais eu d’enquêtes pour meurtres ou autres, l’inventeur supposait tout simplement qu’elle les faisait tourner en bourrique avant de les envoyer dans le local à ordures. Il avait fallu peu de temps à son assistante pour faire un parallèle entre les Paparazzis et des déchets après tout, maintenant qu’il y pensait. « Et je pense effectivement qu’un bon échange est plus agréable que de discuter avec une personne qui termine toutes ses phrases par « tu vois » et un claquement de chewing-gum. Et oui, j’ai connu quelqu’un comme ça. Par contre, je ne saurai pas vous dire son nom… » Dit-il en écarquillant les yeux. Lui qui avait une excellente mémoire photographique, presque eidétique, il lui semblait impossible de remettre le doigt sur ce nom. « A vrai dire elle ne me l’a probablement jamais donné. » Dit-il alors en hochant les épaules, comme s’il s’en fichait, ce qui était clairement le cas. Enfin, ils revinrent sur le vin, et alors qu’elle lui demandait s’il jouait le tour du faux vin assez fréquemment, il répondit d’un hochement de tête qui semblait tout simplement vouloir dire qu’il avait fait cela pas mal de fois. Après tout beaucoup de ses collaborateurs n’étaient pas des personnes avec qui il avait tout simplement envie de sympathiser et pour certains, il n’avait tout simplement même pas envie de collaborer avec eux. Nécessité faisant foi cependant, il n’allait pas non plus gaspiller un bon alcool pour des gens avec qui il n’aurait même pas envie de partager une petite bière.

L’institutrice dit alors qu’elle était sûre que le vent allait tourner pour ses affaires lorsqu’il annonça les quelques problèmes qu’il rencontrait. « Le vent tourne toujours. Pour le reste, il faut savoir aller dans le même sens que lui. Je me fais assez confiance pour ça. » Dit-il, comme pour appuyer les certitudes de la jeune femme et affirmer qu’il était sûr que les affaires reprendraient de plus belle.

« Au moins les mutants ne sont plus en danger d’extinction, c’est déjà ça de pris. Et puis du moment que certains se battent contre Hydra, on aura toujours une chance de gagner. » Dit-il pour remonter le moral de son interlocutrice qui semblait malgré tout un peu abattue par les envahisseurs successifs auxquels ils avaient dû faire face.

« Ho vous savez, en un sens, si elle était en état d’affronter Hydra pleinement, ça m’amuserait vraiment de ne plus être la seule personne à donner des migraines à Fury… Mais je sais aussi que si elle est ne serait-ce qu’un peu comme moi, ce n’est pas toute seule qu’elle va prendre la bonne décision de reculer pour mieux sauter. Le genre de personnes à vouloir sauter les étapes, courir avant d’apprendre à marcher. » Toutes ces choses qu’on lui avait toujours reproché, que son père lui avait toujours dit… Et qu’il n’avait jamais vraiment écouté. Il avait souvent fallu que les autres Avengers le pousse à se reposer lorsqu’il était blessé ou mentalement instable. C’était aussi eux qui l’avaient aidé lorsque son alcoolisme avait pris des dimensions dangereuses pour les autres et lui-même.

Lorsqu’Ariel lui dit qu’elle se doutait qu’il se mettait en danger pour repousser les limites du possible suite à ses propres expérimentations sur lui-même, il dit alors avec un sourire fier de lui et à la fois empli d’une gratitude face aux félicitations qu’elle lui avait donné. « De toute façon, la pression exercée par les différentes armures que je porte, leur vitesse et tout le reste m’aurait mis à la retraite depuis longtemps sans ces expériences. Ca a quelque peu changé la chimie de mon corps, mais je ne m’en porte que mieux alors… je vois ça comme une victoire. »

Et très vite, après la proposition qu’il fit à la jeune femme, il se retrouva à léviter légèrement, ne sentant plus son poids, flottant comme dans de l’eau qui ne le mouillait pas. L’institutrice demanda à Friday la température extérieur et cette dernière lui donna sans aucun problème, ce qui étonna Tony auquel l’intelligence artificielle répondit tout simplement.

« Cela fait quelques jours déjà que je vous dit que prendre l’air serait bon pour vous, Tony. Puisque vous ne m’avez pas écouté, je prends cette opportunité pour prendre soin de votre bien-être. » Puis elle coupa la communication tout en ouvrant la fenêtre. Aux interrogations de la professeur de Lettres, le milliardaire répondit tout en testant ses mouvements.

« non, je n’ai jamais vraiment « volé » ainsi. Quand je n’ai pas mon armure, c’est souvent d’autres personnes ayant la capacité de voler qui me rattrape. C’est plus confortable que d’être emporté par Thor et son marteau, je dois avouer. » Dit-il en regardant ses membres flotter et en sortant par la fenêtre pour s’élever encore un peu et regarder le ciel étoilé, sentant le vent frais de la nuit passer sur son visage.

« On en oublie presque à quel point le silence extérieur est plaisant à force d’être enfermé… » Puis son regard se posa sur les étoiles. « Dire que quand j’étais petit, je voulais visiter l’univers… Maintenant, entre les chitauris, les skrulls et les symbiotes, ça me semble une destination moins chaleureuse. » Il soupira alors, presque comme un enfant déçu. « ils sont loin de la réalité, Yoda et Chewbacca… » Puis, reposant rapidement son regard sur son interlocutrice. « Assez parlé de moi. Et vous alors, vous vouliez être professeur, en étant plus jeune ou c’est venu plus tard ? » Demanda-t-il à la jeune femme. Cependant, quelques idées germaient dans son esprit, se demandant s’il pourrait appliquer cette méthode de vol à son armure pour des vols spatiaux ou, à l’inverse, améliorer les capacités de son amie avec de la technologie de son cru.

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