| Sujet: (kp) i don't see the city anymore. all that I see are it's dark corners. i look around this room and all that i see are threats Mar 27 Oct - 0:14 | |
| karen page nom complet karen, prénom familier qui a tendance à résonner au creux de ses oreilles. page, crie son patron. nom de code aucun, puisqu'elle ne fait partie de la gente héroïque. elle n'est qu'une civile, une simple civile qui a la fâcheuse de tendance à se mettre facilement dans les ennuis. date de naissance écrire ici. lieu de naissance elle naît à fagan corners, dans le vermont. nationalité/origines américaine pure souche, attachée à ses origines, elle connaît sa petite ville sur le bout des doigts, et les rues de new york city ne lui cachent plus le moindre secret. situation professionnelle certaines carrières n'ont pas réussi à démarrer, comme son envie de devenir une actrice reconnue par ses pairs. actuelle militante sociale, karen était la secrétaire juridique de nelson & murdock. à ce jour, elle opte pour un poste de journaliste au new york bulletin, tente de faire ses preuves, de rétablir les vérités. situation civile son cœur a battu pour le diable, dure séparation qui n'a fait que causer sa solitude. l'amour, c'est compliqué ; c'est peut-être pas pour elle. génome simple humaine, elle fait aussi partie de ces chanceux qui ne se sont pas retrouvés dotés de pouvoirs à la suite du a-day. lieu de résidence/refuge new york city demeure son havre, sa maison ; mais les choses ont tellement changé depuis deux longues années sans foggy et matt. rôle simple civile, la vie est devenue d'avantage difficile suite au a-day. son quotidien a changé, mais pas plus que certains. groupe witnesses.
| | |
tell me what you think
qu'est-ce qui vous rend unique ? (capacités, équipement, gène x, pouvoirs, etc)Simple civile, on parle pourtant de sa détermination comme d'une arme. Sa capacité à fourrer son nez dans les affaires qui ne la regardent pas lui pose souvent des problèmes, mais elle a du cran. Un cran associé pourtant à une peur bien réelle, mais qu'elle ne peut se permettre de faire passer en priorité lorsqu'il y a d'autres choses plus importantes. Elle a dédié sa vie à la recherche d'une voie à suivre, d'une place à trouver dans un monde aussi compliqué dans lequel elle avait osé naître. Si elle pensait, tout d'abord, à devenir une actrice de renom pour véhiculer certains messages, ce fut une idée qui fut rapidement écartée. Actrice moyenne, elle n'était pas destinée à cette carrière choisie par adoration. Karen n'a pas lâché, pourtant ; au contraire, ça l'a poussée à d'avantage s'investir. Militante sociale, engagée, elle a finit par devenir secrétaire juridique, compétente dans une domaine dans lequel elle ne s'était jamais imaginée. Son sixième sens, qui lui permet de côtoyer facilement les embrouilles, lui a permit de développer la capacité d'une enquêtrice accomplie, ce qui lui confère aujourd'hui une facilité supplémentaire dans son rôle de journaliste. Également, Karen n'est pas étrangère à l'utilisation des armes à feu, en possession de plusieurs d'entre elles, mais uniquement comme moyen de défense. La vengeance est un plat dans lequel elle préfère éviter de mettre les pieds, et se contente la majorité du temps d'un vaporisateur d'auto-défense. Elle est aussi une combattante, pas une experte, mais ayant pris des cours de self-defense. Juste au cas où (des cours qui ont finis par lui être propices). Enfin, elle est bilingue, ce lui permet plus aisément de s'adresser à plusieurs types de populations. décrivez votre personnalité. (caractère)Le chewing-gum à votre chaussure, et qui refuse de vous lâcher, c'est Karen. Mentez-lui si vous en sentez la fantaisie, elle est un détecteur de mensonge à elle toute seule. Elle creusera, s'obstinera afin d'obtenir la réalité des faits, afin d'obtenir la vérité qui, à ses yeux, se mêle avec la justice. Et rendre justice, c'est ce qu'elle a dans l'âme. S'investir, lutter, militer ; c'est une battante. Elle n'a peut-être pas une force surhumaine, encore moins la capacité de voler. Le gène X lui est inconnu, et elle n'a pas été victime d'un accident qui aurait pu lui conférer le moindre pouvoir. Pourtant, elle fait partie de ceux qui se battent chaque jour contre les petites injustices de la vie, comme elle serait capable de tenir tête à des crimes bien plus importants. Elle n'a pas froid aux yeux, pourtant l'anxiété et la peur ne lui sont guère étrangères. La crainte ne devrait pourtant pas être un frein, capable de dépasser ses émotions pour accomplir ce qui est juste. Une épaule sur laquelle se reposer, des bras prêts à relever celui qui n'aurait plus la force de le faire. S'il y a bien une chose qu'on ne peut lui nier, c'est sa gentillesse. Chaleureuse, elle tend les doigts au démuni, déposer quelques pièces au sans-abri, aide à porter les courses de sa voisine. Bon vivre malgré les expériences tragiques de son existence, elle fait partie de ces personnes qui, malgré les horreurs, demeurent convaincues que les Hommes ne sont pas tous des monstres. L'humanité se divise en deux parties distinctes, lutte elle aussi. Sa douceur est sa force, son optimiste est contagieux. Éternelle passionnée de l'égalité pour tous, Karen est peut-être simple mais bien loin d'être naïve. Elle reste consciente de ce que le monde peut lui proposer, autant les joies que les tristesses. Avec les années, elle en garde, par ailleurs, un brin de cynisme. que pensez-vous de l'a-day et des anciens héros ?Son avis ne se partage pas, bien consciente de la tragédie qui a su s'abattre sur son peuple. L'ère des héros s'est éteinte en même temps que la figure emblématique du pays, laissant alors la criminalité s'accroître. Des vies arrachées et le sang qui coule le long des murs, les premiers mois ont été difficiles, beaucoup plus difficiles que lorsque les héros étaient encore là. Certains l'ont remarqué, d'autres continuaient de les tenir responsable de ce qu'il s'était produit. Karen, elle est en plein milieu. Elle fait partie de ces gens qui observent, mais qui subissent. Elle tente, désespérément, de s'adapter à un quotidien nouveau, sans pour autant ne pas regarder derrière elle par nostalgie. Elle reste, néanmoins, dans le même camp que les héros déchus, ceux que l'on essaye d'enterrer, ceux que l'on considère, à jour, comme des fugitifs. que pensez-vous de l'aim ?Ils tentent de retourner la situation à leur avantage. Les héros tombent, et eux s'élèvent ; une coïncidence ? Clairement pas. Karen, elle le sait, ça pue. Quelque s'est tramé et quelque se trame. Elle ne sait pas s'ils sont liés à l'A-Day. Néanmoins, elle garde des doutes quant aux réelles motivations de cette organisation qui a, rapidement, gagné en influence mondiale, dirigeant alors de nombreuses infrastructures sur tout le globe et s'imposant dans le marché comme personne n'avait osé le faire. Ils essayent de refaçonner le monde à leur image. Et pour le moment, ça marche. que pensez-vous des inhumains engendrés suite a l'incident ?Pour le moment, elle n'en a croisé aucun. Les inhumains courent tous, pourtant, là-dehors ; sûrement désespérés, elle ne sait pourtant pas comment les considérer. Certains peuvent être dangereux, d'autres non ; tout dépend entre quelles mains le pouvoir tombe. Cette question se soulève aussi pour les mutants comme pour tous les êtres surhumains qui frôlent la Terre, mais pour Karen, c'est surtout une question de bien et de mal, un éternel combat éparpillé dans chacune des espèces. partie histoire
speak the truth, even if your voice shakesQu'est-ce que c'est, d'être un héros ?
Look and the mirror, and you'll know. Les bagages font partie d'une vie que l'on traîne parfois comme un boulet. Faire face à ses propres difficultés n'est pas chose aisée, tandis que certains se réfugient dans leur propre volonté d'accomplir quelque chose, d'autres sombrent doucement dans les gouttes d'alcool, ou préfèrent instaurer un déni autour de son existence. Chacun a sa façon de faire, sa façon de gérer les choses. Être n'a jamais été brodé dans la facilité. Mais s'il y a bien une chose à ne pas écarter, c'est de se soutenir. Tout le monde traverse son propre périple, mais se tourner le dos au lieu de se soutenir divise. Divided we fall. La fin des protecteurs ne signifie pas nécessairement la fin de l'humanité. United we stand. Main dans la main, vaincre ensemble les menaces qui s'abattent sur chacun de nous. L'importance de rester unis, l'essentiel pour être humain.
Le cliché qu'elle tient entre ses doigts présente deux visages familiers : le sien, et celui de Kevin. Cette image lui semble venir d'une autre époque, figée dans un temps auquel elle n'appartient plus. C'est l'un de ses derniers souvenirs de lui, l'une des dernières choses qui la relie encore à son âme. Il n'y a pas un jour qui s'écoule sans qu'elle ne pense à lui, ni même à eux. De son autre main, elle attrape une deuxième photographie, celle-ci plus récente. Ses souvenirs étaient là, sous ses yeux, et arpentant les filaments de sa mémoire. Des événements si lointains mais encore bien présents, comme si elle les avait vécus hier. Le monde, son monde, avait tant changé en si peu de temps. En deux années bien distinctes, qui ont imposé un espace plus radical. Ses pensées vadrouillent, souvent ; elle se souvient du Vermont, de sa petite famille, de ce temps ancien où les sourires fusaient. Elle se souvient du tragique accident, du premier événement qui avait su bouleverser le début de sa vie. Événement qui fut difficile à supporter, à subir. Un événement qu'elle n'oubliera jamais, profondément marquée par la disparition de son frère. C'est par ailleurs, sûrement, pour cette raison qu'elle avait beaucoup déménagé par la suite. Son cœur était désireux de rendre justice et d'imposer une paix pour laquelle les héros se battaient. Ses yeux avaient croisé maintes et maintes fois la silhouette de Captain America, ses oreilles avaient souvent entendu les prouesses des Avengers, et elle a souvent été témoin de la guerre constante opposant les humains aux mutants. Au fond, peut-être que Karen n'est qu'une intrus dans le moule, un vulgaire cheveux à retirer de sa soupe, qu'elle n'a pas sa place. Militer lui semble pourtant si facile, domaine dans lequel elle semble exceller depuis de nombreuses années. Ses pieds l'ont amenée jusqu'ici. Jusqu'à New York City, reconnue, désireuse de poursuivre sa vie dans le meilleur sens possible, en mémoire de Kevin. Au fond, elle sentait qu'elle lui devait ça. Elle refusait sa tragédie d'anéantir sa propre existence. Et ses lèvres, elles s'étirent, tristement. Ses yeux scrutent les deux autres hommes de sa vie, ses amis, ses compagnons, jadis collègues. La crainte semble lui revenir, s'accroît en un sentiment de terreur au sein d'une boule qui prend place dans son ventre, et sa gorge se serre. Où sont-ils ? Où se cachent-ils ? Karen les a pleuré comme s'ils étaient déjà six pieds sous terre alors que, peut-être, quelque part, dehors et dans le froid qui s'installe progressivement annonçant l'arrivée de l'hiver, ils luttent, eux aussi.
Dernière édition par Karen Page le Mar 10 Nov - 23:47, édité 29 fois |
|
❝ she wore the smile like a loaded gun ❞
| Sujet: Re: (kp) i don't see the city anymore. all that I see are it's dark corners. i look around this room and all that i see are threats Mar 27 Oct - 8:01 | |
| you are bioutifoule bb rebienvenue chez oit avec ce perso qui déboîte |
|
| Sujet: Re: (kp) i don't see the city anymore. all that I see are it's dark corners. i look around this room and all that i see are threats Ven 30 Oct - 6:19 | |
| |
|